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Il fait bon relire des Astérix des anciens temps, riches en belles bagarres dont les poissons d'ordralphabétix font souvent l'objet, riches en jeux de mots et en situations cocasses.

Quelle différence, me demanderez-vous, avec les albums qui sortent depuis la disparition de Goscinny ? j'ai envie de répondre : nos bons vieux Astérix nous rappellent peut-être nos jeunes années, et proposent des histoires plus simples, moins alambiquées, des personnages peut-être plus expressifs, peut- être parce que notre quotidien semblait plus simple aussi, nous n'étions pas surinformés, entourés de médias comme aujourd'hui et notre accès à l'information était plus imités (là, vous allez me dire OK Boomer ! je le sens).

Dans le présent ouvrage, nos deux héros se retrouvent par hasard, sur une terre, vraisemblablement une île, et ne cessent de se demander où ils sont, partant des connaissances acquises de leurs précédents voyages pour identifier un peuple dont ils ignorent le nom, les coutumes et la situation géographique. le lecteur, lui, situe à peu près le lieu où ils ont échoué et connaît le peuple autochtone. On peut donc affirmer que la volonté de l'auteur était une sorte d'interactivité entre lecteur et héros : découverte d'une terre inconnue, interprétation des héros qui fait sourire, interprétation du lecteur qui possède les réponses aux questions de nos amis Gaulois. Belle réussite !
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Une histoire de poisson pas frais -- c'est souvent le cas au village gaulois malgré la proximité de la mer -- est à l'origine d'un départ d'Astérix pour une improbable pêche puisqu'ils perdent très vite le filet...

Au fil des flots et des tempêtes, ils aboutissent sur une île... qui pourrait bien être l'Amérique. Les auteurs ne craignent rien en faisant précéder Christophe Colomb par les gaulois invincibles, pleins de certitudes mais aussi de doutes, affrontant toute mission avec opiniâtreté et succès.

Je l'ai trouvé un peu fade cette traversée et ses protagonistes moins convaincants que dans d'autres albums. Il reste de l'humour à volonté et, finalement, peu importe l'histoire bien alambiquée, le tout est de se divertir en compagnie des gaulois, mais il y a eu de meilleurs opportunités dans la série.
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Peut-être l'album d' Astérix de Goscinny et Uderzo que j'apprécie le moins.
Le scénariste s'est quand même un peu pris les pieds dans le tapis, avec cette invraisemblable histoire de pêche... La potion magique à bon dos.
Mais Goscinny et Uderzo voulaient certainement faire un clin d'oeil aux lecteurs sevrés des aventures d'Oumpa-pah depuis longtemps abandonnées au profit de celles du guerrier gaulois.
Bon. Il reste tout de même la virtuosité graphique d' Uderzo pour compenser ce scénario famélique.
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Un vrai régal que cette aventure de nos chers gaulois.
Non seulement ils traversent l'Atlantique pour découvrir un nouveau continent avant tout le monde, mais en plus, ils nous abreuvent de bons mots et de références cocasses, comme Obélix qui ne veut plus manger de "chien chaud" ou les chefs vikings qui font du Shakespeare.
Vite lu mais toujours un super moment, et vraiment je le répète, j'adore Obélix !
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Qui a découvert l'Amérique ? Beaucoup diront Christophe Colomb bien sûr à moins que ce ne soit les Vikings, ces téméraires navigateurs venus du Grand Nord ! Mais non, il se peut aussi que par hasard, sans s'en rendre compte, le nouveau monde ait été découvert par nos sympathiques Gaulois !

Un regrettable problème d'approvisionnement ! C'est une catastrophe, le poisson de Lutèce n'arrive pas jusqu'au village de Petibonum. Pourquoi ne pas aller le pêcher directement dans la mer juste à côté ? C'est simple et rapide ! Voilà donc Astérix et Obélix embarqués vers les bancs de poissons tout proches, sur un simple rafiot. Une mauvaise interprétation du terme "jeter le filet", une erreur de navigation et voilà l'embarcation dérivant pendant plusieurs jours et plusieurs nuits interminables. Sans rien à boire ni à manger nos gaulois se croient en perdition, jusqu'au moment où ils atteignent une terre inconnue, qu'ils prennent pour la leur, l'Armorique ! Mais ils vont de surprises en surprises, ils se heurtent à de gros volatiles (des glouglous), à des Romains déguisés coiffés de plumes ou à d'autres peuplades qu'ils ont du mal à identifier... Aventures, disputes, castagnes, festins, banquets comme à l'accoutumée ! Nous sommes en pays de connaissance.

Je viens de relire cet album acheté dans les années 80 à l'époque où mes enfants étaient petits et fans de ces héros mythiques. Pour ma part, je n'avais pas été enthousiasmée par ce récit d'aventures et je ne le suis toujours pas près de quarante ans plus tard. On y trouve bien quelques bons jeux de mots, des traits d'humour, des patronymes amusants, mais l'histoire par elle-même m'a paru lourde, j'ai eu du mal à m'y intéresser vraiment et à en sourire de temps en temps. Pour moi, ce n'est donc pas un des meilleurs albums d'Astérix, mais il y en a d'autres !

#Challenge Riquiqui 2024
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Mettez vos livres d'Histoire au feu et les profs au milieu, oubliez Colomb, oubliez Amerigo, oubliez les Vikings car ceux qui ont découvert l'Amérique, c'est Astérix et Obélix !

Avec un drakkar Vikings sur leurs talons, certes, mais à la photo finish, les Gaulois furent les premiers à mettre leurs pieds sur cette île qui a tout de celle de Manhattan.

Mais avant de poser les pieds sur une Terre Inconnue bien avant l'émission de Frédéric Lopez, nos Gaulois vont commencer leur aventure par une bonne bagarre au sujet du poisson qui n'est pas très frais.

Incroyable mais vrai, incroyable mais pas frais, Ordralfabétix fait venir son poisson de Lutèce (oui, madame, de Lutèce) alors qu'il a la mer adossée au village ! Pécher du poisson, non mais ça va pas la tête ??

Mon seul bémol sera pour l'excuse un peu bidon qui est le déclencheur de toute cette aventure rocambolesque : il faut du poisson relativement frais à Panoramix pour préparer la poisson magique, pardon, la potion magique et nos deux amis sont donc chargé d'aller en pécher un peu en mer.

Si vous allez pécher avec Astérix et que ce dernier vous demande de jeter le filet, attachez-le d'abord, ne faites pas comme Obélix… Sans poissons à pécher, sans nourriture à avaler, on est heureux de tomber sur les pirates et, pour une fois, on ne leur coulera pas leur bateau.

Bourrés de clins d'oeil, cet album n'est pas le plus fin en calembours, ni le meilleur au niveau des romains, puisqu'ils sont absents, mais voir nos deux Gaulois sur les terres Américaines sans que eux ne le sachent (ils n'auraient pas pu) a un côté amusant.

Loin des magnifiques "Astérix chez les Bretons" ou "Astérix en Hispanie" qui possédaient un scénario et un humour haut-de-gamme, cet album est tout de même plaisant à relire et il sert bien pour commencer le Mois Américain puisque les deux précités avaient, eux aussi, été utilisés en ouverture des Mois Anglais et Espagnols.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Lu en espagnol.
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Incroyable, pas l'ombre d'un romain sur qui taper dans cet épisode ! Mais on commence à comprendre des choses sur les odeurs qui se dégagent de la poissonnerie d'Ordralfabétix...
Et Astérix et Obélix vont permettre aux Vikings de faire une grande découverte bien avant Christophe Colomb !
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Le rythme de publication des albums de la série est désormais établi à un par an, et l'alternance tacite voyage / village impose aux deux auteurs de réfléchir cette fois à une nouvelle et lointaine destination pour nos héros. Or les destinations européennes éligibles ont déjà été parcourues de long en large.

Goscinny et Uderzo se permettent donc, non sans une certaine audace, de nous proposer une nouvelle version de l'exploration du « Nouveau Monde », exploit impossible à l'époque des Gaulois au moins autant que celui de Tintin se rendant sur la Lune en 1950. N'étant plus à un anachronisme près, les auteurs peuvent ainsi s'approprier la découverte de l'Amérique, en coiffant sur le poteau les découvreurs officiels. L'album paraît en 1975 après une prépublication dans le quotidien Sud-Ouest la même année. A cette époque, les fouilles archéologiques sur le site terre-neuvien de l'Anse aux Meadows battaient leur plein et, selon Uderzo, les journalistes scientifiques étaient friands de réponses sur les véritables découvreurs de l'Amérique. Les Viking avaient-ils vers l'an 1000 devancé le fameux Christophe Colomb qui n'était arrivé à destination qu'en 1492 ?

On peut l'annoncer sans suspense, cet album est considéré aujourd'hui comme le plus mauvais de la période Goscinny-Uderzo (tout en restant supérieur à nombre de publications ultérieures, réalisées sans Goscinny). Prix à payer pour une idée peut-être trop audacieuse et difficile à accepter ? Pourtant, comme dans chacun des albums de cette première période, des pépites d'humour sont bien présentes, mais pas de quoi cependant déclencher une ruée vers l'or.

Deux raisons à cela : la faiblesse du scénario et les occasions manquées. Force est de constater que le scénario reste indigent du début à la fin de l'album, et ne permet pas de répondre aux attentes des lecteurs, devenus au fil du temps plus exigeants, et habitués à plus de contenu et de péripéties.

Le scénario tient en trois lignes : il manque un ingrédient dans la potion magique, Astérix et Obélix sont chargés de trouver l'ingrédient manquant (du déjà vu, dans un contexte différent, dans l'album n°16 : Astérix chez les Helvètes, et qui sera repris plus tard dans un album de la période Uderzo seul, le n°26 : L'Odyssée d'Astérix) ; il ne s'agit ici ni d'édelweiss ni d'huile de roche mais de poisson frais, ce qui entraînera nos héros à partir pêcher en mer, malgré leur manque d'expérience (la mission n'est bizarrement pas confiée à Ordralfabétix), à s'aventurer sur les rivages d'un monde inconnu, à prendre contact avec des amérindiens, puis, à revenir au village via le Danemark grâce à un équipage de Vikings bien opportunément rencontré sur place.

Ce scénario semble devoir être étiré au maximum pour remplir les 48 pages contractuelles : la traditionnelle scène de bagarre due aux poissons avariés d'Ordralfabétix, déclenchée cette fois par Abraracourcix en raison de l'absence de ses porteurs tombés malades, s'étale sur trois pages (pages 6 à 8) ; le gag de l'imitation des Gaulois par leurs traits de caractères, qui s'étend sur une page, est répété deux fois (pages 26 et 38) ; une mise en scène minimaliste, bien qu'astucieuse, permet de s'affranchir totalement des dessins d'Uderzo, l'une entièrement blanche (page 5), l'autre presque totalement noire (page 11)… Qu'est-il arrivé à Goscinny ? Pourquoi s'est-il contenté d'un scénario aussi indigent ? Je vais tenter de donner quelques explications plus loin (cf. les occasions manquées). Cette fois, il faut bien reconnaître que si l'album n'est pas désagréable à lire, c'est surtout grâce au talent indéfectible d'Uderzo, dont le dessin reste exceptionnel, à plus d'un titre, et sauve ainsi la mise. J'y reviendrai également.

Cet album se focalise sur la découverte de deux peuples : les amérindiens et les scandinaves. de fait, les références culturelles émaillent le récit comme autant de clins d'oeil appuyés et de bon aloi. La description de la culture amérindienne via des stéréotypes ethnologiques (chants et danses autour d'un feu, totems, canoë en écorce de bouleau, tipis en peau de bête, tomawaks en pierre taillée, etc.), est toujours appréciée, et on sourit aux anachronismes savamment dispensés rappelant les États-Unis d'Amérique : une évocation de la Statue de la Liberté éclairant le monde (page 35), dans la pose d'Astérix qui cherche à attirer l'attention d'un drakkar viking aperçu au loin, ou les éléments emblématiques des décorations étatsuniennes qui remplacent les traditionnelles étoiles ou oisillons tournant autour de la tête d'un personnage assommé (pages 22, 23 et 25).

En l'occurrence, le premier amérindien rencontré par Obélix se fait assommer trois fois, et ce sont successivement les insignes de colonel de l'US Air Force (des aigles tenant des flèches entre leurs serres), les cinquante étoiles blanches alignées sur le fond bleu du drapeau des États-Unis et des cocardes étoilées de l'US Air Force qui apparaissent au-dessus de sa tête. Certains de ces détails curieusement oubliés dans la page Wikipédia de l'album, m'ont donné l'occasion de la réactualiser.

D'autres éléments complètent cet inventaire : la présence des « glouglous » qui seraient meilleurs farcis (page 18) évoquent Thanksgiving ; l'allusion au hot-dog (pages 28 et 29) ; la réplique très western d'Obélix : « En courant les prairies, j'ai appris une chose ou deux, ouaip ! » (page 32) ; la transposition de la citation de Neil Armstrong, prononcée par Kerøsen lorsqu'il pose le pied sur le sol américain : « Un petit pås pøur møi, un grånd bønd pøur l'humånité ! » (page 36).

Du côté scandinave, et plus particulièrement danois, on appréciera : la frise d'entrelacs finement sculptée du drakkar, le chiot Zøødvinsen, un magnifique dogue danois arlequin à l'encolure impressionnante (page 33 et suivantes) ; la référence à la Petite Sirène du conte d'Andersen, écrivain danois (page 41) et les références à Hamlet, pièce de Shakespeare se déroulant au Danemark, avec la tirade du chef Øbsen « Hmm... il y å quelque chøse de pøurri dåns møn røyåume... » (pages 45) et celle de Kerøsen « Être øu ne pås être, telle est lå questiøn... » (page 47).

On ne trouvera dans cet album aucune caricature facilement identifiable (j'ai cherché sans succès celle qui pourrait correspondre à Neuillisursen, le viking raconteur de sagas fortement typé vieux sage intello). On peut cependant admettre, conformément au jeu de devinettes pour initiés déjà évoqué ailleurs, qu'un autre type d'hommage soit bien présent. C'est cette fois une estampe qui aurait servi de source d'inspiration à Uderzo, en l'occurrence « La Vague » du peintre japonais Hokusai, qui représente une énorme vague sur le point d'avaler une embarcation (reprise et adaptée page 10). J'ai rappelé les différents tableaux suggérés dans les albums d'Astérix dans ma critique du n°18 : Les Lauriers de César.

La mer déchaînée est représentée ici de façon exceptionnelle grâce au génie d'Uderzo, qui n'hésite pas à mouiller sa chemise et même à encrer ses doigts pour représenter un ciel d'orage où se devinent les marques de ses empreintes digitales (pages 10 et 15). Pour montrer le changement de météo, il représente également une splendide mer d'huile colorée au soleil levant (page 12) et une mer agitée à l'approche des côtes américaines (pages 16 et 17).

La qualité des dessins d'Uderzo sauve donc l'album, en cicatrisant la déception du scénario, ce qui montre bien que les deux auteurs, très complémentaires, ne pouvaient fonctionner efficacement que si le duo était constitué et à la manoeuvre.

J'ai parlé plus haut d'occasions manquées, donnant un sentiment de trop peu ; sans vouloir passer pour un insupportable donneur de leçon, je peux suggérer quelques pistes non exploitées. On aurait par exemple pu imaginer des allusions à Christophe Colomb ou à Fenimore Cooper. Elles sont remplacées par la citation de Neil Armstrong, d'ailleurs préférable car mieux connue et tout à fait de circonstance. Bien joué !

Les références au « Nouveau Monde » auraient cependant pu être plus étoffées, notamment par des clins d'oeil aux oeuvres antérieures de nos deux auteurs : Oumpah-Pah le peau-rouge, jeune indien de la tribu des Shavashavas, était en effet tout désigné pour apparaître en guest star (le motif à tête de chat représenté sur son pagne pouvait être réutilisé, ou mieux, un ancêtre sosie du personnage pouvait faire partie de la tribu). Il est vrai que les « crossovers » n'étaient pas encore monnaie courante à cette époque dans la bande dessinée. On a vu depuis Lucky Luke et Blueberry traverser sans problème les planches de la série des Durango, et Tintin ou le capitaine Haddock en caméo dans Blake et Mortimer ! Goscinny n'a pas osé aller aussi loin, peut-être par peur de critiques dénonçant une solution de facilité ou une publicité à bon compte. Pour terminer, on me signale dans l'oreillette qu'un personnage ressemblant à Oumpah-Pah est bien présent dans le film d'animation Les douze travaux d'Astérix, sorti en 1976. Certes, mais ici, ma critique ne porte que sur la bédé publiée en 1975 !

Les références danoises, pouvaient elles-aussi être mieux exploitées. Les navigateurs danois, formant un équipage assez atypique et hétéroclite, ne trouvent pas l'espace suffisant pour pouvoir être développés et auraient sans doute mérité mieux.

Quoi qu'il en soit, cet album recèle, on l'a vu, quelques pépites et mérite bien sûr d'être lu ou relu. Cependant, il confirme la fin de l'âge d'or de la série, qui se termine selon moi avec Astérix en Corse. Les deux albums suivants du duo Goscinny-Uderzo ne parviendront pas non plus à se hausser au niveau de ce dernier. Astérix chez les Belges, le dernier album scénarisé de Goscinny, sera une sorte de chant du cygne, au milieu des vilains petits canards (Andersen n'est jamais très loin), et avant la Grande Traversée du désert d'Uderzo
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Quel plaisir de retrouver nos deux compères gaulois :-)

Et quelle aventure mes amis, une traversée sur un petit bateau de pêche en parallèle avec un drakkar viking pour une découverte qui leur est d'ailleurs attribuée à savoir, le nouveau-monde. J'ai adoré la rencontre avec les indiens et le récit épique de la chasse commune, j'ai rigolé de l'imbroglio entre les vikings et nous deux amis, j'ai aussi retrouvé l'esprit commun des deux peuples européens qui finalement se retrouvent autour d'une franche bagarre. Car il faut bien le rappeler, cette saga n'aurait pas eu lieu si au lieu de vendre du poisson de Lutèce parfois pas très frais, Ordralfabétix vendait du poisson pêché à deux pas du village ;-)

Je me suis régalée des jeux de mots toujours omniprésents, des mimes ma foi particulièrement explicites et de l'amitié parfois orageuse entre nos deux gaulois qui fait de cette série une si belle réussite. Et finalement, si j'aime le poisson, je suis un peu comme Obélix, les cochonnailles c'est toujours bons et ça se mangent sans faim. Un petit boudin blanc au chou vert ramené d'Ardennes pour l'apéro, juste un régal ;-)
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