Les romans de chevalerie, ou de cloître, qui nous restent de cette période médiévale sont, autant que nous pouvons maintenant juger, de mince valeur littéraire. C'était communément de simples imitations de traductions, ils empruntaient leur trame et même leurs sentiments à des précurseurs français, et, si on les étudie maintenant, c'est seulement à cause de l'intérêt qu'ils offrent au philologue.