La physionomie d'abord! Le visage,on le sait, dit tout ou rien. Il peut exprimer tous les sentiments, vertus ou vices. Il peut porter ostensiblement les marques du génie ; il peut pétiller d'esprit, respirer la franchise et la loyauté, charmer par la finesse des traits, conquérir par sa joviale rondeur.
Or, le visage de Zola n'a rien de tout cela; il se fait même remarquer par l'absence de tous brillants dehors. Sa physionomie est, en quelque sorte, essentiellement interne. A peine s'animera-telle sous la poussée des
agitations intimes les plus formidables qui aient mis en mouvement une intelligence humaine.