Les possibles

Jean, père un peu fantasque, vient habiter suite à l'incendie de sa maison, chez sa fille. Son arrivée avec son chien Géronimo perturbe un peu la vie banlieusarde bien réglée du couple et de leur fils Charlie. Peu à peu la vérité se dévoile. Jean perd peu à peu la tête malgré son âge (66 ans) et la maladie progresse vite. C'est l'histoire d'une famille aimante qui entoure un des siens dont l'esprit s'enfuit sans retour..... Belle et triste histoire, malheureusement fréquente, racontée avec talent par l'auteure.

C'était ma première rencontre avec elle, sans être la première… En effet j'adore rire, pleurer, m'énerver, compatir en lisant ses posts et ses story instagram (mille mercis @baptistebeaulieu pour la découverte).

Après environ 3 ans à reculer de peur d'être déçue par ses livres par rapport à son insta, j'ai enfin fait le grand saut grâce à la merveilleuse couverture de @editionsfayard

Verdict!? Eh bien verdict: j'aime vraiment sa façon de manier les mots! Même parler d'un pipi de chien sur le tapis devient un beau moment de lecture, tant elle a le don de magnifier les tournures de phrases!

L'histoire est mignonne, prévisible et pour l'instant m'est étrangère donc m'a émue et emportée mais sans plus.

Par contre j'avais du mal à poser le livre « juste » parce que j'avais hâte de découvrir la nouvelle pépite linguistique ou le prochain fou rire!!

J'ai donc dévoré à une vitesse assez record ce livre, en l'espace de 2 jours!

. {LECTURE 2022-53} J'ai fini de lire "Les possibles" de @virginiegrimaldi.

On y fait connaissance avec des fragments de vie de Julianne, maman de Charly, dyspraxique, et son mari Gaetan. Suistz à un incendie, son papa, Jean vient vivre avec eux. Petit à petit, elle re-découvrir son papa qu'elle n'a plus vu depuis quelques mois. Elle doute puis ne doute plus qu'il a des soucis de comportement et de mémoire...

J'aime les mots de Virginie Grimaldi, des mots qu'elle nous raconte comme la bonne copine dans le divan lors d'une soirée. Des histoires vrais, des histoires remplies de valises d'émotions, d'amour, de rencontre,... Cependant, cette fois je n'ai pas été emportée sans doute parce que ne pouvant m'identifier que d'un père absent, inexistant et manipulateur, je n'ai pas pu comprendre cette amour, je n'ai pas pu ressentir.

C'est une belle histoire, on la sent personnelle et forte pour l'auteur, les mots sont bien les siens avec sa plume. Mais je crois que je peux dire que c'est sans doute le seul qui ne m'a pas boulverse mais je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé. Un livre de Virginie Grimaldi, reste un livre de Virginie...

Et vous, vous l'avez lu? Vous en avez pensé quoi?

#livre #booksta #belgianbooksta #bookofinsta #lecture #roman #deficitcerebral #dyspraxie #papa #bookaddict #booklover

Les derniers livres de l'auteure me plaisent moins...

C'était quand même " moins pire" que le précédent " et que ne durent que les moments doux" que j'avais pour le coup DÉTESTÉ. Mais bon le sujet reste triste....alors heureusement c'est dilué avec l'humour qu'on connait à Virginie Grimaldi, et que pour le coup J'ADORE. Mais pour autant je n'ai pas envie de ce genre de lecture anxiogène, et quand j'ouvre un feelgood je veux qu'il me fasse du bien pas qu'il me fasse déprimer.

Je pense que ce livre sonne la fin de mon amour pour ses romans. Je n'y retrouve plus la légèreté des débuts.

Pour ceux aimant les histoires poignantes et émouvantes y trouveront par contre sans hésiter leur bonheur !

Je suis toujours curieuse découvrir les nouveaux ouvrages de l'autrice.

Nous allons suivre Juliane qui va devoir héberger son père suite à un incendie dans sa maison. Les parents étant séparé et sa soeur à l'étrange, il n'y a qu'elle. Elle a sa petite maison et sa famille, elle aime prévoir les choses et ne jamais être prise aux dépourvu.

Avec son père à la maison, c'est plus compliqué, elle a l'impression d'avoir un autre enfant en pire bien sur. Son père fait rager le voisin, invite des amis et fait des choses dans la maison qu'elle ne souhaite pas. En plus de cella sa maison se fait envahier par tous les bibelots du télé-achat.

Elle va s'inquiété pour son père. Ils vont aller chez un médecin, plus 2 …. pour trouver ceux que son père a!

En parallèle elle a aussi un garçon qui a des soucis de compréhension et d'adaptation à l'école notament!

Une lecture en demi-teinte, car je trouve l'histoire brouillonne: Est-ce car le père est un peu loufoque ? Je ne sais pas. Mais j'ai personnellement vécu la découverte de la maladie et les cycles chez un proche et pour moi il manque pas mal de choses. La plume de l'autrice est toujours très fluide, une belle lecture tout de même. une fin très mimi et pleine de pudeur.
Lien : https://bookslittlepurple.ho..

Quand il déboule brusquement dans sa vie rangée et millimétrée, Julianne mère de famille sait qu'elle va devoir composer et réapprendre à vivre avec son père, un homme fantasque. Mais sa folie, naguère si légère et insouciante et qui la faisait tellement rire, ne semble plus vraiment la même. Elle comprend assez vite que son père est malade. Et c'est grave. Alors, elle décide de rattraper le temps perdu.
Un livre de Grimaldi recèle toujours une palette d'émotions. Elle manie les mots avec dextérité et joue avec les sentiments avec virtuosité. L'ensemble reste toujours agréable à lire, c'est pétillant et cocasse, tendre et émouvant. Mais, je reste gênée par quelques scènes naïves, des dialogues un peu simplistes, sans réellement de profondeur compte tenu de la gravité du sujet, une ambiance générale de déjà vu, un style un peu copier-collé sur les précédents. L'auteure prend le parti de la légèreté où la bienveillance et l'empathie prédominent. Mais cela finit par sonner faux et devenir caricatural. L'agréable surprise des premières lectures laisse maintenant place à un sentiment de déception frisant l'agacement.

En bref

Genre : Roman feel good

Nombre de pages : 360 pages

Temps de lecture : 5 heures

Parution :Fayard - Mai 2021

Plaisir de lire : 6 / 10

Les possibles c'est l'histoire de Jean qui vieillit, de Jean qui rit, de Jean qui pleure, et de Microbe sa fille qui part à la rencontre de ce père qu'elle avait un peu délaissé.

Jean subit les affres des années et du temps, et à la suite de l'incendie de sa maison, il est accueilli à bras ouverts par sa fille aînée.

Mais voilà ce n'est pas qu'un simple accident domestique qui est à l'origine du feu, non c'est la preuve du début du déclin de son père, des oublis, des absences, des répétitions.

Virginie Grimaldi est une auteure que j'affectionne particulièrement parce qu'elle a le talent de mettre de l'universel dans l'individuel.

Mais voilà cette fois-ci la chantilly n'a pas pris chez moi, je n'ai pas été emportée et émue par l'histoire et les personnages.

Pourtant il y a tout ce qui me plaît en général, une belle histoire de famille, des moments drôles, un road-trip mythique, et surtout une playlist de qualité.

Mais malgré tout, je n'ai pas été emportée par ma lecture même si j'ai passé un moment de lecture agréable.

Lire un Virginie Grimaldi c'est faire le plein d'émotions. Je me répète mais cette auteure arrive toujours, dans tous ses romans, à me faire passer du rire aux larmes en quelques phrases. Elle sait me toucher au bon endroit.

Pour ce roman, je reste cependant mitigée. Je ne peux pas dire qu'il ne m'a pas bouleversé, ce serait un pur mensonge. Il m'a peut-être justement trop bouleversé. Il a mis le doigt sur une maladie dont je ne souhaite pas en savoir davantage (c'est très personnel). Il m'a ouvert les yeux sur la difficulté et la pénibilité, pour les proches surtout, de cette pathologie et au fond de moi, je crois que je n'en avais pas envie. Je ne saurai pas vraiment l'expliquer mais je crois qu'elle fait partie des maladies qui me terrifient le plus.

En revanche, ce roman déborde d'amour, de tendresse et d'humour. Mais je n'ai pas réussi à rire à tel point le sujet principal me tendait.

Contrairement à d'habitude, lire la dernière page d'un Grimaldi m'a soulagé, j'avais envie de quitter la vie « loufoque » de Jean et la tristesse de ses filles.

Donc vous l'aurez compris, j'ai apprécié moyennement cette lecture qui pourtant touche un sujet très sensible. Il ne fera donc pas parti du top 3 de mes livres préférés de Virginie Grimaldi. En revanche, je reste toujours fan de sa plume.
Lien : https://www.instagram.com/p/..

La sortie du roman de @virginiegrimaldi est devenue pour moi, comme pour la plupart d𠆞ntre vous j’imagine, un rendez-vous.
Un rendez-vous avec sa plume, un rendez-vous avec son humour, un rendez-vous avec son sens de la répartie, un rendez-vous avec les histoires qu𠆞lle raconte.
Bref vous avez compris, c𠆞st un rendez-vous.
Ici Virginie raconte avec une tendresse infinie le début d’une fin. Celle de Jean. Jean dont l𠆞sprit commence à tressauter malgré son jeune âge.
J𠆚i beaucoup aimé tous les personnages.
Ce roman est aussi doux que sa couverture, il est bourré à craquer d’humour, de scènes drôle et cocasse mais pas que. Différentes émotions nous assaillent et farfouillent au fond de nous, et c𠆞st le propre des romans de Virginie.
Ce ne sera pas mon préféré de l𠆚utrice mais ses mots ont réussi à se frayer un chemin à travers les broussailles jusqu’à mon petit cœur.

J'ai mis plusieurs jours à lire les 190 premières pages, quelques heures pour les 185 restantes...
On pourrait dire que c'est un bilan mitigé, en demi-teinte, je pense plutôt que c'est un ressenti propre à chacun.
Le thème d'Alzheimer (ou de toutes les maladies neurodégénératives) est toujours délicat, il remue toujours surtout quand on y est confronté. J'ai donc mis du temps à accepter ce qui est difficile à supporter : la déchéance de l'être humain par la maladie...

C'est un livre qui nous aide à réfléchir à ce qui est possible de faire même quand on est impuissant. Une touche d'espoir sur nos possibles pour accompagner l'être aimé comme on peut en acceptant et en mettant des couleurs dans la vie de l'autre.