Les possibles

Commencer un Virginie Grimaldi c'est pour moi un petit plaisir, j'aime son humour et la façon dont sont construits ses romans mais là, la magie n'a pas opérée.
J'ai passé un bon moment de lecture mais je n'ai pas éprouvé tant d'émotion, rapport au sujet sûrement, la maladie, la « perte » d'un être cher. Un roman peut-être trop personnel pour pouvoir rentrer dedans.
En fait je suis restée à côté de l'histoire et je n'ai pas plongé dans le récit.

Dommage, je continuerais à lire ces romans mais celui-ci ne sera pas dans mes préférés…

Juliane qui n'avait pas revu son père depuis 1 an, le prend à la maison car celle ci à brulée mais ce n'est pas simple car son père a des idées bizarres, loufoques: il veut un tipi dans le jardin, il achète tout et n'importe quoi au téléachat....
Juliane commence à s'inquiéter et prend RDV chez les médecins ( traitant, neurologue...) Son papa est atteint d'une dégénérescence du cerveau. Elle se retrouve un peu seule à gérer car il est séparé de sa femme, et la soeur de Julianne vit aux Etats Unis.
C'est un joli roman sur la vieillesse , le temps qui passe, il y a des moments tendres mais je n'ai pas complétement adhéré , je n'ai pas du tout aimé la dernier partie le road trip.
Il y a des passages un peu redondant; petite lecture cool , sans plus.

Il s'agit de mon premier livre de Virginie Grimaldi. Sans trouver ça mauvais, je n'ai pas trouvé ça exceptionnel.
Oui, l'écriture est fluide, c'est facile à lire, émouvant par moment, mais que de mièvrerie ! Cela frôle parfois la parodie (j'ai parfois pensé aux chapitres parodiques d'Aurélie Valognes dans "l'anomalie du train 006").
Et comme toujours dans ce type de roman je me demande "mais qui a une telle relation avec ses parents ? ". Jusqu'au bouquet final aux États Unis, certes touchant mais si peu crédible.
Tous les clichés sont là : le père/enfant, l'enfant handicapé, le mari insipide et inutile, la soeur homo, le rapport de l'héroïne à la nourriture, des métaphores en veux tu en voilà...
Le sujet est beau : la perte d'autonomie, la maladie, mais c'est enrobé dans une guimauve un peu trop niaise et irréaliste pour ma part.
Je ne suis surement pas le public cible, j'imagine qu'il s'adresse à des femmes de 30-50 ans avec enfants en recherche d'un roman feel good sans prise de tête (parfois j'aime lire ce type de livre pourtant !).
Je ne pense pas lire un prochain roman de cette autrice, mais je comprends son succès. Dans une société auto-centrée et individualiste, c'est un vent de fraîcheur, bienvenu pour certains.

Les possibles est un roman publié chez Fayard en mai 2021.

Virginie Grimaldi nous propose un roman qui parle de la perte de la mémoire.

Julianne, le personnage principal, se voit devoir accueillir son père à qui il est diagnostiqué une déficience de la mémoire. Les différents personnages vont passer par différents stades les menant à l'acceptation de l'inéluctable.

En ce qui me concerne, je trouve que c'est un roman plutôt récréatif qui se lit assez rapidement. Pour ceux qui aiment les lectures simples et fraîches, il saura parfaitement faire l'affaire. Néanmoins, je trouve que les personnages font un peu trop "cliché". J'aurais également aimé avoir une fin un peu plus soignée notamment concernant la description des paysages américains que j'ai trouvé bien trop légère.

Petite mention pour la jolie couverture rose qui annonce une lecture plutôt destinée au lectorat féminin.

Je viens de terminer "les possibles" le dernier né de VIRGINIE GRIMALDI. Celle dont je garde un souvenir ému et intarissable dans "le parfum du bonheur est plus fort sous la pluie" ou encore dans "et que ne durent que les moments doux" ce sont ces deux là qui reste aujourd'hui mes préférés de cette auteure.

"les possibles" n'a pas résonné en moi de la même façon. Peut-être parce que je n'ai pas connu cette pathologie chez un de mes proches (mon père est parti à 50 ans d'une autre maladie).

Alors bien sûr j'ai retrouvé l'écriture agréable et légère de VIRGINIE GRIMALDI. J'ai aimé ses traits d'humour mais je n'ai pas été transporté par l'émotion et je pense que cette histoire ne restera pas longtemps dans ma mémoire, même si je comprends parfaitement qu'elle ait pu toucher un grands nombres de lecteurs lectrices par son thème cette relation père-fille avec ce dernier qui souffre de la maladie d'alzheimer.

Cela restera malgré tout un assez bon moment de lecture.

Les possibles de Virginie Grimaldi.
J'ai une amie qui n'arrêtait pas de me vanter les mérites de l'auteure depuis un certain temps déjà.
Alors, j'ai fini par sauter le pas et je me suis lancée ! En commençant par Les possibles de cette Virginie Grimaldi qui, à priori, est une auteure très en vogue depuis quelques années.
Je savais que le roman rentrait dans la catégorie feel-good, catégorie un peu fourre-tout qui, si j'ai bien compris,, est censée nous faire passer un bon moment, voir nous faire du bien.
Je me suis donc plongée dans cette lecture sans a priori, si ce n'est que ça devait être sympathique.
Rapidement, je suis entré dans l'histoire d'une femme mariée qui se retrouve à héberger son père, parce que son appartement a brûlé. le père et la fille sont diamétralement opposé, la femme se contente d'une petite vie bien rangée, tandis que son père est un excentrique... Je vous passe les détails.
Jusqu'ici rien que de très banal, le genre d'histoire qu'on a déjà vu et revu un millier de fois. Par contre, la fille va s'apercevoir que son père est atteint d'une maladie s'approchant d'Alzheimer : ce drame personnel apporte une certaine profondeur au récit, même si on reste tout de même ancré sur les poncifs habituels. Après, l'auteure est plutôt douée pour trouver une sorte d'équilibre entre la caricature et le réel qui n'est pas désagréable, sans être exceptionnel, comme je l'ai lu sur certaines critiques.
De même, l'écriture de l'auteur est fluide et facile, mais la contrepartie de cette simplicité, c'est qu'elle n'amène aucune complexité poétique ou philosophique. On frise parfois les formules publicitaires des entreprises d'énergie pour la construction d'un monde meilleur.
Finalement, cette lecture ne fut pas désagréable... pour autant, j'ai été déçu vu la façon dont on me l'avait survendue.
Je conclurai en disant : un livre qui passe aussi facilement qu'une lettre à la poste, mais qui est tout aussi vite oublié.

Un livre que l'on m'a offert vers lequel je ne me serais pas tournée de moi même .
Ayant déjà lu du Virginie Grimaldi je ne suis pas fan et j'ai tendance à fuir les gros auteurs trop présents dans les étales.
Cependant je dois bien avouée que j'ai été agréablement surprise par ce livre, plus par l'histoire que l'écriture en elle même.
L'écriture est assez simple mais très fluide ce que l'on attend finalement d'un livre feel good.
Le thème abordé est assez compliqué mais Virginie Grimaldi le fait avec beaucoup de douceur et finalement de joie de vivre. J'ai été particulièrement touchée par l'histoire car je soigne des gens atteints de la maladie d'Alzheimer et ressort de cette interprétation une incroyable tendresse et un amour sans bornes.

Je suis passée de "baise-moi" de Virginie Despentes à ce livre e ton peut dire que le fossé est plus que gigantesque !
Là, point de trash, bien au contraire, nous voici plus dans le roman feel good. Je n'ai pas plus l'habitude d'en lire, j'ai donc aussi été perplexe.
Je précise que je découvre l'autrice avec ce titre.

Juliane, récupère son père chez elle à la suite de l'incendie de sa maison. La cohabitation est difficile car Jean, son père a des comportements puériles et addictifs. le doute s'installe, serait-il malade ?
Un roman touchant et tendre sur la maladie et les liens paternels.
Il n'y a rien à dire, c'est rondement mené, l'intrigue est bien ficelée, le roman se laisse lire avec plaisir. Mais je n'ai pas été happée par l'histoire et j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages.
Il y a pourtant de l'humour et les sujets abordées sont poignants. Je ne sais pas ce qui m'a manqué, un petit supplément d'âme peut-être.

C'est un livre plaisant à écouter. La voix d'Audrey Sourdive s'adapte bien aux personnages, aux émotions et aux situations. L'histoire est touchante mais cousue de fil blanc. Les personnages sont stéréotypés. Mais bon, on sourit, on passe un bon moment alors pourquoi pas ?

Très facile à lire, avec une playlist sympathique et une narratrice pleine de faiblesses malgré ses forces, ce roman a pour but de réconcilier les filles avec leur père détesté lors de l'adolescence. Cela ne fonctionne pas vraiment, mais fait du bien quand on veut se souvenir des bons souvenirs d'enfance oubliés.