Les possibles

Une lecture agréable mais sans plus. Ca n'est pas mon préféré de cette autrice. Pas eu la même émotion que dans d'autres de ces ouvrages (Tu comprendras quand tu seras plus grande m'avait fait pleuré par exemple. Pas celui-ci).
Pourtant, le sujet abordé est dramatique. On retrouve notre personnage principal avec l'un de ces proche malade. Elle va l'accompagner jusqu'à la fin.
Le style d'écriture est toujours très léger, souvent rempli d'humour. Je pense que c'est pour ça que le thème de la maladie paraît aussi léger. Mais justement, je n'ai pas ressenti toutes les émotions propices à ce genre de thème. Je ne m'y suis pas retrouvée.
J'ai lu Chère mamie juste avant d'entamer cet ouvrage. On retrouve finalement beaucoup de la vie personnelle de l'autrice, je trouve.

C'est sympa, ça glisse tout seul, et y a pas de mal à se faire du bien, alors pourquoi bouder son plaisir. La situation de la fille qui s'occupe de son père qui perd la boule est très banale, presque universelle et me parle, car je suis dans cette situation ou presque. Donc le livre suscite logiquement mon intérêt.
........Trop facile!
Mais ça fonctionne et c'est bien écrit.
Bref à lire.

Virginie Grimaldi sait à chaque fois manier les mots pour nous faire traverser ses histoires en passant par toutes les émotions possibles.
Avec Les possibles, elle ne déroge pas à la règle.
On ne peut avoir que de l'empathie envers Juliane dont le père perd petit à petit la mémoire et de ce fait, son autonomie et sa raison.
Ce personnage est d'ailleurs véritablement attachant.
Ce n'est pas mon roman préféré de l'auteure, même si l'écriture fluide reste très agréable.

Après avoir exploré l'année dernière les relations entre une mère et ses enfants, Virginie Grimaldi nous propose le deuxième versant : un père et ses filles. Un incendie survient et Jean se retrouve sans maison. Il va devoir renouer avec sa fille, Juliane, qui va lui ouvrir sa maison pour quelques mois. Lui qui a toujours été fantasque et s'est donné comme mission de ne jamais rentrer dans les cases semble pourtant s'éloigner de jour en jour. Ses souvenirs s'étiolent et Juliane tente de remonter avec lui le fil d'Ariane de sa vie, de leur vie.
Avec son septième roman, l'autrice parvient encore à nous surprendre et continue de nous faire rire et pleurer. Pourtant, ici, on sent un récit tendre tout en sensibilité et en émotion. Les recherches faites rendent l'histoire réaliste et ne donnent pas l'image d'une caricature ou d'un sujet prétexte. Loin de là, Les possibles nous donne un roman juste où l'espoir et la résilience rendent les rêves accessibles.

Un an après « Et que ne durent les moments doux », j'ai enfin pu découvrir le nouveau roman de Virginie Grimaldi, et je peux vous dire que j'étais impatiente !

Comme d'habitude, je suis passée par plein d'émotions à sa lecture : l'amusement, la compassion, la joie, la tristesse ou encore la nostalgie… L'histoire est simple mais belle et racontée tout en douceur.
La rencontre de ces deux caractères opposés donne lieu à des situations assez comiques, la personnalité de Jean ayant été la source de nombre de mes sourires. Après une période d'adaptation, on est heureux de voir qu'ils finissent par trouver leur rythme. Encore une fois, je me suis identifiée au personnage principal et j'ai partagé ses joies, ses rires, mais aussi ses inquiétudes, ses peines et ses moments de doutes.
De cette histoire ressortent de belles leçons de vie. Tout d'abord, elle nous montre qu'il est essentiel de se détacher du regard des autres pour vivre pleinement et être soi-même. Egalement, elle met en avant le fait qu'il faut vivre le moment présent tout en chérissant nos proches et nos souvenirs.
L'auteure réussit encore une fois à traiter des sujets sensibles, importants et délicats tout en y apportant de la tendresse et même de l'humour.
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Virginie Grimaldi a le talent de nous de raconter les petites choses de la vie que nous vivons au quotidien comme personne mais cet opus est loin d'être le meilleur. Je me suis même ennuyée ce qui est rare quand je lis du Grimaldi. J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnes . le sujet de la maladie d'Alzeimer est tellement délicat que de le survoler de la sorte est vraiment dommage

Vraiment drôle! Je ne sais pas si c'est la narratrice qui est drôle, puisque le sujet est quand même douloureux, mais j'ai vraiment rigolé pendant l'écoute de ce roman audio. Puis-je faire une critique sur un livre audio? Je ne sais pas, mais je voulais vous dire que j'ai beaucoup aimé le ton léger utilisé pour raconter l'histoire d'une fille devant héberger son père, à la suite d'un incendie, et qu'au fils du temps, elle découvre que celui-ci est atteint de la maladie d'alzheimer. C'est le premier roman audio que j'écoute et je suis contente d'avoir choisi celui-ci, car en lecture, je ne suis pas certaine que le ton de l'histoire aurait été aussi humoristique.

Je me suis ennuyée. Il y a des passages qui m'ont fait sourire, d'autres qui m'ont apporté une pointe de tristesse, mais sans que cela me touche profondément. C'est intéressant de parler de la maladie, de l'impact cognitif possible, mais j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, à ressentir avec eux ce qu'ils vivaient.

Si je n'ai rien de particulier à reprocher à cet ouvrage, il ne m'a pas autant fait vibrer que bien d'autres de cette autrice. Certes les personnages et leur histoire sont touchants, abordent des sujets importants et avec justesse, toutefois cela ne suffira pas à rendre ce livre inoubliable à mes yeux. Alors que l'on ouvre les ouvrages de Virginie Grimaldi avec l'envie d'y trouver des émotions hautes en couleur et des rebondissements loufoques, cet ouvrage fait preuve de plus de nuance et de douceur. Ainsi peut-être m'a-t-il manqué la patte de l'autrice que j'apprécie habituellement

J'ai bien aimé sauf le périple américain que j'ai trouvé long. Les chapitres, courts, parlent de choses qui ne sont pas reprises par la suite et c'est gênant. L'ensemble est agréable mais loin d'un waouh d'extase. Je pense attendre un long moment avant le prochain Grimaldi.