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La Malerune tome 3 sur 3

Pierre Grimbert (Antécédent bibliographique)
EAN : 9782757801710
508 pages
Points (16/11/2006)
3.9/5   129 notes
Résumé :
Il manque encore trois runes aux quatre envoyés du Chevalier Eras pour assembler la Belle Arcane, la rune suprême qui peut sauver l’Ældo de l’invasion des Maûnes. Mais les compagnons ont compris qu’ils ne peuvent compter sur leurs anciens alliés : Alexien, le puissant mage d’Avallon, les a trahis.
Poursuivis par le golem Geyor, traqués de toutes part, leur quête les conduira jusqu’au palais du roi des Maûnes, le Shaddak-llogo’th, où les attend la plus cruell... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Un tome 3 dans la continuité du tome 2.

Une fois encore, commençons par le peu de positif : le concept de l'histoire est bien, l'idée est bien, le worldbuilding est bien. C'est tout.

Gros problème au niveau des personnages, pas attachants du tout, et surtout de la narration. Je m'explique : sans être professionnelle, mais lectrice assidue de fantasy, je trouve que le texte est rédigé de manière très inégale. Certains passages avec des révélations ou explications sur la magie tiennent en 2 lignes, tandis que les combats et surtout les blessures infligées aux combattants sont décrits avec beaucoup de détails, au point de prendre plusieurs pages (on sent que ce sont ces passages que l'auteur a pris plaisir à écrire). La violence est vraiment très mise en avance, au détriment du reste qui m'a donné le sentiment d'être bâclé. Certaines phrases essaient de mettre en place un certain suspens, mais le texte est rédigé de telle façon qu'on sait dès le tome 2 qui va utiliser la Belle Arcane : le personnage est tellement mis en avant pour son talent inné, il n'y a aucune surprise. On sait également que quoi qu'il arrive, les personnages vont s'en sortir magistralement, même à 4 contre une armée. Aussi, pas d'inquiétude, les héros sont des génies qui s'en sortiront forcément.

Il y a du progrès sur les personnages « gentils » par rapport au tome 2, ils sont un peu moins clichés, mais j'ai eu du mal à passer outre mon horrible ressenti du Dire des Sylfes. Je n'ai pas compati, et je ne me suis pas inquiétée du tout pour eux.
Les méchants, eux, sont toujours aussi nuls. Geyor est le pire de tous : charismatique dans le tome 1, depuis la reprise par Michel Robert, il est devenu tellement pitoyable que je me suis sérieusement demandée si ce n'était pas censé être un personnage comique, sans en être vraiment sure. Quant au grand méchant de l'histoire, franchement bof. Si encore on avait eu plus d'informations sur lui avant de le rencontrer, peut être aurais-je ressenti quelque chose, mais là ça ne m'a rien fait.

Outre un certain nombre de ponctuations et de mots mal écrits (fautes de frappe ?), il y a pas mal de choses qui ne tiennent pas la route. A savoir :
- un personnage qui a traversé le continent à cheval prend une leçon d'équitation. Vraiment ?
- un personnage refuse catégoriquement de livrer les secrets de la Belle Arcane, mais à peine s'en prend-on à son compagnon qu'il demande grâce sans même chercher à gagner du temps !
- un certain personnage se plaint de ne pas avoir eu d'amant depuis longtemps… alors qu'avant la quête, elle était dans une pension pour jeunes filles de bonne famille !
- tous les méchants, mais vraiment tous, se sentent obligés d'expliquer leurs plans aux gentils. Et après ils s'étonnent d'échouer…
- les gentils révèlent les secrets de l'Arcane en présence d'un personnage dont ils se méfiaient, et surprise, c'est bien un méchant et les secrets de l'Arcane sont dévoilés…
- Geyor prend un certain personnage en otage pour s'assurer que Zetide ira bien dans le Maune, alors que de toutes manières, il doit y aller pour trouver la Malerune… ce que Geyor sait, puisque Zetide l'a dit devant lui moins de 5 minutes avant !
- on apprend que le grand méchant de l'histoire est « réputé » (parmi les gentils) pour toujours être dans son palais, alors que dans le tome 1, on était étonné de découvrir que les Maunes étaient dirigés par un seul maître…
- Zetide peut subitement utiliser la magie en cas d'urgence alors que depuis la partie précédente, la magie ne marchait plus pour personne…
- comme par hasard, les dieux sont bien gentils, ils ont laissé un portail de voyage magique près d'une rune…
- Eras de Garamont débarque de nul part pour sauver tout le monde de l'annihilation. Et on ne saura jamais comment il a trouvé ses informations sur les runes.
- et mon reproche favori : nous lecteurs avons de la chance, car Lucia, la seule femme du livre, se trouve être la belle parmi les belles, même balafrée !

Dernier détail qui n'en est pas un pour moi : j'ai lu les 3 livres de l'édition « Points ». Sur la première couverture, on avait droit à Zetide, Lucia et Hogo. Sur la deuxième, Hogo. Sur la troisième, Lucia et deux humains non identifiables. Donc je note déjà que la pauvre Ariale, tant pis pour elle, ce n'est après tout qu'une fillette, et son rôle n'est manifestement pas si important que cela aux yeux de l'éditeur. Mais les deux humains derrière Lucia, c'est qui ? Eras pourrait correspondre à l'un deux, mais l'autre ? Il n'y a pas d'autre humain dans le livre, à moins que Zetide ait mystérieusement rajeuni de 40 ans !

Je ne recommande pas cette série. Je suis triste de le dire, car la série a été entamée par Grimbert, et parce que le tome 1 offrait beaucoup de potentiel pour la suite selon moi. Pour ma part, je reste grande admiratrice du travail de Grimbert, dont je recommande les livres sans réserve, mais je ne lirai pas les oeuvres de Michel Robert, c'est une certitude. Cependant, tentez votre chance, ça peut certainement plaire à certains vu les notes sur ces livres.
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Il y a de ces lectures qui vous envoûtent; vous font oublier où vous vous trouvez et ce qui encombre votre quotidien. Celles-là vous amènent très loin et jamais ne donnent envie de quitter le voyage. Ce 3e tome de la Malerune ne fait pas partie de ce lot.

Après d'innombrables soupirs et autant de combats pour conserver mon attention sur le livre, j'en suis venue à la conclusion qu'il manquait définitivement quelque chose d'essentiel pour que la magie opère.

Le lecteur averti ne veut pas se faire décrire les événements, il veut les vivre.
Or, à titre d'exemple, voici comment Michel Robert traite un passage de guerre particulièrement violent : « Sur la tête des Borghs furent jetés des dizaines de fagots enduits d'un liquide combustible, aussitôt suivis d'une torche allumée. Les Maûnes n'eurent pas le temps de réagir, emprisonnés par de hautes flammes, ils brûlèrent en s'agitant vainement. Pour faire bonne mesure, les Pégölas provoquèrent l'avalanche de pierres qu'ils avaient préparée ».

N'ayant heureusement jamais assisté à une horreur pareille, je peux toutefois dire sans me tromper qu'en un tel carnage, les cris désespérés des proies à l'agonie, souffrant le martyr en tant que torches vivantes, devaient percer les tympans et déchirer l'âme des témoins les plus endurcis. L'odeur devait être à la limite du supportable puisque même un simple cheveu qui brûle emplit les narines d'une puanteur incomparable, alors pour ce qui est de la chaire qui fond, en plus de tout le reste… Mais la scène, sous la plume de Michel Robert, reste muette à ces éléments : on décrit froidement comme on le ferait d'une banalité, d'un passage obligé : « ils brûlèrent en s'agitant vainement ».

Vous me direz que l'auteur est journaliste et qu'il s'agit d'une déformation professionnelle que de traiter ainsi certains événements. Oui mais voilà, ici, il prend le rôle d'écrivain et il a d'autres responsabilités que celle de simplement « informer ». Par ailleurs, d'autres auteurs, pour ne citer que David Gemmell, ont aussi été journalistes avant de se lancer dans l'écriture de romans et ils offrent malgré tout une vision vivante et complète des scènes qu'ils partagent avec le lecteur.

Cette vision limitée, écourtée et incomplète sous la plume de Michel Robert ne permet donc pas d'être considérée comme « captivante ». À cela s'ajoutent également des faux pas au niveau de la cohérence des idées exprimées.

C'est entre autres le cas lorsque trois des personnages principaux deviennent captifs de Maûles en pleine forêt et que Lucia, en liberté et usant de flèche et d'une épée à la faveur de la nuit, s'échine à éliminer un à un chacun des tortionnaires (qui sont à distance de vue des captifs) plutôt que de libérer ses acolytes dont deux étant beaucoup mieux placés qu'elle pour venir à bout rapidement de cette bande de malfrats : le mage Zétide et Hugo le lycante guerrier.

D'autant plus qu'après deux jours, elle décide d'affronter seule les cinq adversaires restants. Et que dire de l'idée subite d'Ariale, après tout ce temps, de demander à Shruti (son animal de compagnie bien camouflé et toujours à ses côtés) de ronger les liens du sorcier pour aller en renfort auprès de Lucia? Un peu lent, comme temps de réflexion, non? Sans compter que l'un des poursuivants de Lucia avait quitté la poursuite pour « se soulager derrière un fourré », avec les conséquences qu'on imagine trop facilement…

Comme pour le tome précédent, on retrouve les couleurs particulières de l'auteur telle la tendance au cannibalisme (dont les personnages ne semblent pas s'émouvoir outre mesure) et l'omniprésence du réveil de la libido masculine devant le personnage de Lucia (devenue sous la plume de Michel Robert une guerrière irrésistible même aux yeux des créatures du Maûne).

Tant qu'à souligner les clichés, que dire de Hogo, présenté dans le premier tome comme étant l'assistant et protecteur de Zétide, mais devenu ensuite « l'imbattable prince guerrier au leadership incontesté »… qui, naturellement vu cet ordre d'idée, va s'amouracher de la belle Lucia au point d'amener le lecteur à se demander si le sujet de l'histoire réside dans cet idylle amoureux plutôt que dans la recherche des arcanes pouvant rétablir l'Équilibre (cette quête semblant plutôt devenir un prétexte à offrir un contexte pour la relation amoureuse des deux personnages clairement mis au premier plan par ce second auteur).

Bref, après avoir lu le quart seulement de ce troisième tome, j'ai abdiqué. Tant mieux si l'écriture s'améliore par la suite, mais alors, aux autres d'en juger!
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Fin de la trilogie. Il manque encore trois runes aux quatre envoyés du Chevalier Eras pour assembler la Belle Arcane, la rune suprême qui peut sauver l'Ældo de l'invasion des Maûnes.

La Malerune, au départ, c'est une saga crée par Pierre Grimbert (Le Secret de Ji) il y a déjà plusieurs années. C'est Grimbert qui a écrit le Premier Tome "Les Armes des Garamont".

Mais vu qu'ensuite, Grimbert, il en fichait pas une (j'exagère beaucoup, il n'avait plus le temps, plus la motivation,... j'en sais rien !) c'est Michel Robert qui a continué la suite, évitant ainsi aux pauvres lecteurs de ne pas avoir la suite. C'est tout de même gentil de ne pas nous laisser sans la fin... et sur notre faim.

Cela fait longtemps que je l'ai lue, cette trilogie, et mes souvenirs sont plus que poussiéreux.

Dans mon esprit (petit, je sais), il me semble que le tome1 comportait moins d'action, moins de violence, que les combats n'étaient pas top et les dialogues pareils. Sauf si j'ai des pertes de mémoire, mais c'était l'impression que j'avais eue.

Vu que nous avons changé d'auteur pour le 2 et le 3, Robert y va de sa patte et c'est un tout autre univers que l'on découvre. Même en respectant l'univers d'un autre auteur, il est impossible de ne pas y mettre du sien et il a rendu cette saga plus «adulte». Attention, je ne dis pas non plus qu'elle était enfantine !

Donc, dans les tomes 2 et 3, il y avait plus d'actions, plus de combats épiques, plus de magie et de l'hémoglobine (je veux du sang, des tripes, de la rate et du cerveau).

Dans mes souvenirs rouillés, c'était une histoire incroyable, une aventure épique et les personnages avaient des caractères attachants et bien affirmés, sans oublier les diverses créatures, mauvaises et bienveillantes, avec leurs particularités..

A découvrir, savourer absolument.

Oui, ça, je m'en souviens que j'avais bien aimé. C'est déjà ça, me direz-vous... Pour le reste, ben... trou de mémoire. Pas parce que la saga était nulle, non, pas du tout, mais parce que je lis beaucoup et que certaines m'ont plus marquées que d'autres. Malgré tout, on oublie souvent certains petits détails.

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Dernier volume de la trilogie de la Malerune, l'action débute aussi abruptement que finissait le tome précédant. le quatuor d'aventuriers qui se trouvait en mauvaise posture s'échappe, comme par enchantement, pour poursuivre sa quête et foncer naturellement vers un nouveau piège. On devine qu'évidement, selon le schéma récurrent mis en place par l'auteur dès le début de l'aventure, quoi qu'il advienne, les personnages vont immanquablement s'en sortir sans coup férir même confrontés aux pires épreuves et jusqu'à l'armée des Maûnes
Entre rebondissements improbables, tergiversations des uns et des autres, contrariétés sentimentales et des affrontements sans fin, le récit traine en longueur sans captiver spécialement l'attention. Les personnages sont toujours aussi fades, inconsistants et peu agréables. Beaucoup d'incohérences, de lacunes et d'égarements comme le chevalier Eras de Garamont qui surgit de nulle part pour sauver ses amis de l'anéantissement, la magie qui s'éteint brusquement avant d'opérer aussi soudainement ou le maitre des Maûnes, qui se révèle être l'ancienne compagne d'un des personnage majeur et qui sort d'on ne sait où. D'un autre côté, il aurait été intéressant de découvrir plus avant la personnalité d'Ariale. Elle va s'avérer déterminante pour conclure la quête et terrasser le mal et pourtant, elle n'est en aucune manière mise en évidence. Si le final, malgré une succession de rebondissements peu vraisemblables, relève le niveau de l'ensemble par son ambiguïté et son caractère inéluctable, cette trilogie ne présente guère d'attrait. L'histoire n'est pas inintéressante, renferme de bonnes idées mais les pesantes et inutiles longueurs comme la répétition systématique des mêmes situations ne permettent pas d'en exploiter le potentiel. Une construction en deux volumes aurait certainement apporté plus d'intensité comme d'essentialité à cette saga.
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La belle Arcane ou le pouvoir de tout changer.

La belle Arcane, symbole du Bien dans cette trilogie, montre plusieurs choses. Tout d'abord, s'il n'a fallu qu'une rune pour étendre le Mal, sur le monde, il en faudra six pour rétablir L'Equilibre. Intéressant non ? Et il en va de même pour la magie dans ce royaume. La magie pour détruire ne coûte rien alors que celle pour guérir nécessite le don de sa propre énergie. Et la Belle Arcane utilisera toutes ces nuances.

Le chemin vers l'Equilibre est long, périlleux et dur. A l'image du monde réel, sommes toutes. Mais les auteurs ont su ajuster les métaphores avec justesse pour nous le démontrer. La Belle Arcane saura suaver les mondes comme les gens.

La belle Arcane et Ariale.

C'est vraiment l'aspect que j'ai particulièrement aimé dans la Malerune. C'est que plus on cherche la Belle Arcane, et plus on connaitra Ariale qui est un pu symbole d'innocence et de vérité dans cette histoire. Et c'est son histoire, son héroïsme, sans gâcher ceux des autres, qui ont une vraie dimension dans cette série. de son épanouissement et de son apprentissage découleront la Belle Arcane, ou la Belle Ariale si vous préférez.

Ariale nous montrera qu'avec ses propres défauts, elle est capable de révéler le bon en chacun. Et que chaque petit changement sauvera les mondes.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Zétide parla, parla encore, sans s'arrêter, cherchant à capter l'intérêt et l'esprit des sœurs Garamont jusqu'à ce qu'elles partent se coucher.
Il avait omis de dire toute la vérité en parlant du laconique message d'Éras. La missive ne comportait que trois mots: «Île de Glace». Elle avait été rédigée à la hâte, d'une main nerveuse; Zétide reconnaissait à peine l'écriture du chevalier de Garamont. Éras n'avait nullement évoqué ses filles, ce qui était déjà mauvais signe. Et plus inquiétant encore, les indications qu'il donnait n'étaient pas cryptées. N'importe qui aurait pu les lire. Voilà qui ressemblait encore moins au prudent Éras. Néanmoins, le mage était persuadé que le message venait de lui, aucun Maûne n'aurait pu se faire obéir d'un Sylfe.
Éras, mon ami, ne tombe pas, nous avons tant besoin de toi!
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Leur plan avait été établi dans la simplicité. Sans le secours des runes, Zétide n'aurait que peu de poids dans un combat de la sorte, il resterait donc à veiller sur Ariale. Si le raid tournait mal, Zétide avait convenu avec Hogo qu'il se jetterait à l'eau avec la fillette et tenterait de s'enfuir à la nage. Le mage avait prévu d'utiliser une porte comme radeau de fortune. Ils avaient également convenu d'un point de rendez-vous à Flore, au cas-où...
Cette tentative semblait désespérée, ils ne l'ignoraient pas. Mais c'était toujours mieux que d'attendre que les Maûnes enfoncent les portes. Au moins, en tentant une sortie, ils s'offraient une maigre chance. Et puis lequel de leurs ennemis pourraient imaginer une telle folie? Deux guerriers s'attaquant à un régiment entier!
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Je connais suffisamment les moeurs des Humains pour savoir qu'ils auraient au moins dû te dévorer des yeux. Et, pourquoi pas, t'offrir un verre ... Non, je crois qu'ils ont bien pris soin de nous ignorer
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