Hannibal Lecter : Les origines du mal

Euh .... comment dire .... JE LE SUIS ENNUYÉE à mourir !
J'ai d'ailleurs rien compris au roman. Je m'attendais à beaucoup mieux
Il ne se passe absoluement rien dedans ! Une grosse déception.
Et Hannibal qui tombe amoureux de sa belle mère (si jai bien compris) .....

" il aurait pu être savant ou peintre, alors le monde entier aurait connu son nom, pour le meilleur : Hannibal Lecter ... " bah là son nom m'est rester en travers de la gorge.

Trop de prénoms, qui se mélange à droite à gauche, je le suis mélanger les pinceaux littéralement

Extrait du blog:
Dans Hannibal Lecter (Les Origines du mal), Thomas Harris remonte le temps et raconte la genèse de son personnage fétiche. À proprement parlé, ce roman n'est pas un thriller. Il n'y a pas les ingrédients du genre mais il nous plonge dans l'univers Lecter par petites touches d'horreur sur fond d'Histoire. J'aime particulièrement l'élégance et la sophistication qui se dégage de l'éducation du jeune Lecter (que l'on retrouve dans la série). Thomas Harris tisse les fils de la psyché en construction/destruction de Hannibal. Il nous dévoile le monstre avant le monstre.

Cherche-t-il à nous faire aimer la bête qu'il a crée?

Le style de l'auteur est d'une horrible finesse parfaitement adaptée au sujet. La lecture est facile avec des chapitres courts, il y a le rythme et la poésie!

Que dire de l'intrigue qui n'a pas un grand intérêt dans l'univers des thrillers mais qui se révèle très efficace pour un prologue. C'est une belle mise en bouche.
Lien : http://livrepoche.fr/hanniba..

J'ai lu ce livre bien avant de découvrir la trilogie de Thomas Harris ce qui n'est pas grave puisque dans celui ci nous découvrons ce qui a amené Lecter a devenir Hannibal le cannibale. J'ai adoré. L'ambiance est glauque et le personnage terrifiant.L'auteur a su faire de ce roman un passage obligatoire avant ou après avoir lu le silence des agneaux. A la fin de l'histoire on se demande quand même si l'auteur n'est pas torturé pour être capable d'écrire tant de noirceur. Je le recommande vivement

Au début j'avoue que j'ai pas du tout accroché car je ne comprenais quasiment rien avec le vocabulaire employé ça arrivait au milieu que j'ai réussi à peu près à comprendre et c'est la fin qui a fait autant monter la note car dans son ensemble le livre est bien avec une histoire donc le trois étoiles que je lui aimais le mérite quand même

Hannibal Lecter, personnage emblématique du thriller, que l'on ne présente plus. Connu par la plupart notamment grâce au livre ou version film du “Silence des Agneaux”, c'est par le présent livre, qui peut être considéré comme une préquelle que j'ai choisi de découvrir le cannibale le plus célèbre de tous les temps.

J'ai été captivée dès les premières pages de ce thriller qui nous plonge dans les profondeurs de l'esprit complexe et fascinant d'Hannibal. Thomas Harris nous dévoile avec beaucoup d'habileté une histoire intense de traumatisme, de vengeance et d'obscurité intérieure, qui ont façonné ce personnage emblématique.

L'auteur a pris soin de dépeindre et doter d'une profondeur psychologique les principaux personnages de ce thriller et surtout Hannibal, Ce travail nous permet de comprendre les motivations derrière les actes atroces qu'il a commis à l'âge adulte et de le rendre à la fois terrifiant et étonnamment humain. Car oui, bien que cela soit plutôt dérangeant, je me suis surprise à ressentir une certaine empathie pour Hannibal et de presque comprendre les raisons qui l'ont poussé à devenir l'être terrifiant qu'il est devenu.

En bon thriller psychologique, ce roman nous pousse à réfléchir sur les origines du mal et sur la manière dont les expériences de vie peuvent façonner la psyché humaine de manière terrifiante.

Si vous avez aimé les trois premiers tomes de cette tétralogie, n'hésitez surtout pas à plonger dans ce 4ème tome tout à fait fascinant.

J'avoue ne pas avoir très bien compris ce livre. J'ai lu la trilogie consacrée à Hannibal Lecter et, à mon sens, elle se suffisait à elle-même. Ce quatrième opus qui est en fait un prequel n'apporte pas grand-chose à la compréhension du psychopathe qu'est le docteur Lecter. Peut-on réellement trouver des circonstances atténuantes ou des explications aux actes qu'il a commis ? Et, au fond, est-ce vraiment ce qu'on attend.

De la série des Hannibal Lecter, je n'avais lu que Dragon Rouge, il y plusieurs années : si je me souviens assez mal de cette lecture, je garde en tête l'horreur et la fascination que j'avais ressenti pour le personnage d'Hannibal, un être incroyable complexe.

Alors, j'ai décidé de m'y remettre et de lire enfin les 4 livres de la série en commençant par le dernier paru, mais également celui où tout commence pour le célèbre et effrayant tueur en série.

Si nous ne connaissions pas l'histoire de ce qu'est devenu Hannibal Lecter, nous pourrions avoir de la pitié pour ce petit garçon, témoin des morts atroces de sa famille et de sa petite soeur. Hannibal, 8 ans a survécu à la deuxième Guerre Mondiale : mais il y a laissé bien plus que sa famille ou son innocence…

Dans ce roman, à mi-chemin entre le thriller et la biographie, l'auteur tente de nous expliquer ce qui a fait d'Hannibal Lecter, un monstre. Pourquoi dévore-t-il des morceaux de ces victimes ? Comment est-il devenu cet être sans empathie, sans coeur et sans morale ? Il aurait pu être artiste, il deviendra tueur en série cannibale.

Soyons honnête, j'ai été assez peu captivée par ce roman. La première partie comporte beaucoup de lenteurs et de longueurs et l'explication du traumatisme d'Hannibal est rapidement identifiable il mange les autres, car d'autres ont mangé sa petite soeur et l'ont forcé à la manger.

Une explication certes crédible, mais qui me laisse sur ma faim (sans mauvais jeu de mot). Je m'attendais à une plongée plus en profondeur dans le psychisme d'Hannibal.

La seconde partie, à partir du premier meurtre, accélère clairement le rythme du roman, mais à nouveau, la mayonnaise ne prend pas. On y suit la vengeance d'Hannibal et sa transformation en tueur. Et là encore, malgré les longueurs, je trouve que l'auteur va un peu vite dans cette vendetta. Comme s'il restait en surface des choses. La fin notamment, me laisse un goût d'inachevé, de « bâclage ». Une scène que l'on pourrait finalement retrouver dans n'importe quel thriller. Avec des flingues, des explosions, un saut sur une péniche après une folle course en moto, et un « héro » qui se bat seul contre quatre personnes armées.

On est loin de la subtilité dont je me souvenais de Dragon Rouge, ma prochaine étape dans la descente vers l'horreur d'Hannibal Lecter.


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Toujours intéressant de suivre l'univers du Dr Lecter et de comprendre l'origine de sa psychopathie. J'ai bien aimé retrouver le style de l'auteur et j'ai trouvé le livre bien documenté sur Paris et la période d'après guerre.
Pour autant j'ai forcément moins accroché qu'aux autres tomes de la saga car je suis fan du Dr Lecter adulte avec tout ce que comporte sa personnalité complexe.
D'autre part le manque de mystère et de développement psychologique m'a manqué dans ce tome. Enfin j'ai trouvé que les sentiments amoureux prenaient beaucoup de place pour au final une fin assez abrupte.

J'avais vraiment hâte de lire ce livre, mais malheureusement au bout de moins de 100 pages, j'étais plus que lassée... Je n'arrivai plus à lire. J'ai fais une pause durant ma lecture et j'ai finalement moyennement apprécié la fin. Je pense relire ce livre, en ayant lu les trois premiers tomes.
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Intelligent, sensible, aristocratique, Hannibal Lecter aurait pu avoir un destin très différent s'il ne s'était pas retrouvé au milieu de la Seconde Guerre mondiale. Obligée de fuir les attaques des Nazis, sa famille est finalement tuée par des soldats et des pillards, et ce qui reste de leur château confisqué par les Soviétiques. Pris en charge par son oncle en France, malgré tous les efforts de ce dernier, il reste obsédé par l'idée de punir ceux qui ont dépecé et mangé sa petite soeur. Mais à force de poursuivre les monstres, on peut y prendre goût et devenir soi-même un monstre, et l'amour ambigu de la belle Murasaki a peut-être aussi contribué à le faire basculer. le thème de l'innocence brisée est omniprésent sur fond de réflexion sur ce que la nature humaine peut avoir de pire.