Jadis, mémoires d'avant et d'hier, souvenirs d'un oncle et de son conseil si cher à son souvenir :
"Mon fils, garde le commandement de ton père, et n'abandonne point l'enseignement de ta mère, tiens les continuellement liés à ton coeur, attache les à ton cou."
Debû Bridel disait cet homme de lettres et de politique
:"Il est au XX° siècle, l'héritier des hommes de pensée et de lettre, qui ont écrit et agi, il est l'héritier du romantisme du XIV° siècle [....] La société des Gens de Lettres rend hommage à l'un de ceux qu'on ne peut ni de doit oublier ! "
Nombreuses seront ces phrases inscrites dans la mémoire populaire telles que :
" Il n'y a pas de petite injustice. La bonté commence où finit la justice. La haine n'est qu'une des formes de l'ignorance ".
le plus vigoureux de tous les agents d'égalité, c'est la science. L'éducation doit être dure pour que la vie soit douce ".
" Je voudrais léguer ces trois vertus : le goût du travail, l'amour de la liberté, l'adoration de la patrie ".
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" Le contrat, le devoir, l’honneur ! Vieux mots, vieilles chimères, dans lesquels je veux être enseveli ".
Nous savons maintenant que Benjamin Constant, au moment où il demandait à Madame de Krüdener de le présenter à Dieu, confessait à Achille de Broglie qu'il tentait d'entrer en relations avec le diable.