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3,81

sur 255 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ig est un jeune homme ordinaire d'une petite ville des États-Unis : passionné de musique, un peu maladroit, plein de vie, et surtout éperdument amoureux de Merrin, la belle rousse avec laquelle il file le parfait amour depuis son adolescence. Merrin, que la police va finir par retrouver violée et sauvagement assassinée. Aucun coupable n'ayant pu être désigné, c'est tout naturellement sur Ig que se portent les soupçons de tous. Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que le jeune homme se réveille un matin avec une sacrée gueule de bois et se découvre... des cornes. Deux appendices des plus gênant dont personne ne semble pourtant faire grand cas et qui poussent ceux entrant en contact avec leur porteur à lui révéler tous leurs petits (ou gros) secrets inavouables. Grande fan des comics « Locke & Key » ou encore de « The Cape », c'est tout naturellement que j'ai eu envie de découvrir ce dont Joe Hill était capable en tant que romancier. Et je ne suis absolument pas déçue !

Mêlant habilement roman noir et récit fantastique, l'auteur nous sert une histoire passionnante et extrêmement touchante dans laquelle je me suis complètement laissée happer. A la situation quelque peu comique du début qui donne lieu à des confessions croustillantes, succède rapidement une ambiance plus nostalgique à mesure que se multiplient les sauts dans le passé d'Ig et que l'on suit le déroulement des événements qui mèneront à la mort tragique de l'attachante Merrin. Et c'est en partie là que réside toute la force de Joe Hill qui parvient encore une fois à créer des personnages consistants et surtout incroyablement touchants. C'était déjà le cas dans « Locke & Key », ça l'est encore ici, qu'il s'agisse d'Ig et Merrin, pour lesquels on sait qu'il n'y aura malheureusement pas d'avenir, ou encore de personnages plus secondaires, voire simplement de passage pour quelques pages (Glenna, Terry, le bouleversant père de Merrin...). le « méchant » de l'histoire est lui aussi des plus réussis, tour à tour pathétique, touchant ou haïssable.

Mais là où réside l'essentiel du talent de Joe Hill, c'est en sa capacité à entretenir jusqu'au bout le suspens. On pourrait certes regretter le fait que l'identité de l'assassin nous soit révélée très tôt (environ à la moitié du roman), mais ce serait mal connaître l'auteur que de croire qu'il n'a pas encore quelques surprises en réserve. Alors oui, le coupable est rapidement identifié, mais le lecteur poursuit malgré tout avec autant de fébrilité sa lecture, à mesure que nous sont dévoilés dés moments clés du passé des protagonistes et que l'on découvre la nature du nouveau Ig et les raisons de sa transformation. Il y avait bien longtemps que je ne m'étais pas autant laissée absorber par un livre au point d'y rester plongée des heures durant, incapable de me résoudre à le reposer. Les références marquées à la religion et notamment au personnage emblématique qu'est le diable sont également amusantes à relever, certaines se révélant plus subtilement dissimulées dans le récit que d'autres.

Me voilà décidément totalement sous le charme de Joe Hill, un auteur aux multiples talents, aussi bien en tant que romancier qu'en tant que nouvelliste ou scénariste de comics. Il nous offre avec « Cornes » un roman captivant, tant grâce à la qualité de ses personnages qu'à celle de son intrigue que l'on souhaiterait voire se poursuivre plus longtemps encore. C'est décidé, j'enchaîne très bientôt avec un autre ouvrage de l'auteur, le très prometteur « Nosfera2 » !
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Le roman commence très fort avec cet homme qui se découvre des cornes sur le front et les capacités qui vont avec. Puis, retour en arrière dans son enfance. Et là, c'est long ! Foison de détails et d'anecdotes. Je n'en voyais plus la fin. Mais au fur et à mesure qu'on avance dans sa vie, j'ai été de plus en plus accro à l'histoire. J'avais envie de savoir et j'étais curieuse de voir l'évolution de ses pouvoirs et de sa transformation physique.
Un passage difficile à passer dans le 1er tiers du livre et ensuite, complètement happée dans l'histoire. Un super bon livre pour Halloween mais pas si gore ou effrayant que ça. Non, encore une fois, c'est l'homme qui se révèle être le pire et justement celui qui fait propre sur lui.
Bref, j'ai passé un très bon moment de lecture mais pas effrayant.
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Dans la série "j'oublie de mettre un avis sur les livres que j'ai lus au mois de mai", en voilà encore un, mdr !

Il est un peu long à démarrer, c'est vrai. Mais une fois qu'on arrive dans le vif du sujet (dont je ne peux pas parler sous peine de spoiler, hélas), là ça part vraiment en vrille.

La construction en flash-backs entrecoupés de passages "maintenant" est, par moment un peu lourde, mais dans l'ensemble, c'est un bon page-turner, qui se laisse lire agréablement.

Tel père tel fils, la psychologie des personnages est fouillée et "cohérente".

Le fantastique est plutôt bien amené, et malheureusement je ne peux pas en parler sous peine de spoiler, mais c'est ce côté-là le vrai fond de l'histoire, , et non le côté thriller/vengeance, même si cette partie là fait partie du côté "page-turner" du bouquin.
C'est d'autant plus surprenant à la fin qu'on se demande l'utilité de ces passages "fantastiques", dans les deux premiers tiers du bouquin, cela "noie le poisson", lol.
Bref, je me suis bien régalé à cette lecture, même si l'ensemble souffre de quelques longueurs et lourdeurs de construction.
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J'ai découvert Joe Hill, le fils de Stephen King, grâce à son excellente BD Locke & Key (que je vous recommande chaudement). J'étais donc très enthousiaste à l'idée de me lancer dans ce thriller fantastique et je n'ai pas été du tout déçue.

Le résumé était particulièrement alléchant : imaginez que vous vous réveillez avec des cornes, sans aucun souvenir de la veille, et que vous pouvez faire avouer à tous ceux que vous croisez leurs pires secrets. L'arme parfaite pour retrouver l'assassin de sa petite amie… surtout quand tout le monde pense que vous êtes le coupable. Une bonne dose de fantastique qui rend ce thriller glaçant et inoubliable.

Le début de l'histoire est terrible, pleine de rencontres farfelues avec des gens banals qui se révèlent tous être de grands malades avec des envies perverses ou terrifiantes. Ça fait peur et le pire reste les retrouvailles entre Ig et sa famille. Quelle situation horrible de découvrir ce que nos proches pensent vraiment de nous ! Mais outre ces révélations insolites, on se lance également dans une enquête intrigante pour retrouver le meurtrier de Merrin.

Ce roman est osé, surprenant, original et gore. Bref, j'ai adoré. Dommage que la deuxième partie réserve moins de surprises et prenne une tournure un peu trop saugrenue et fantasque. Les pièces du puzzle se mettent rapidement en place pour reconstituer la nuit du meurtre, à coups de révélations et de flash-back. le suspense n'est pas conservé très longtemps, mais jusqu'au bout, on reste scotché à Ig, un personnage complexe et attachant, dans l'attente des derniers détails qui bouclent cette enquête hors du commun.
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Il y a un an, la vie d'Ignatius Perrich a basculé. Quand sa petite ami Merrin a été retrouvée assassinée et violée près de la vieille fonderie, Ig a tout perdu : ses amis qui le soupçonnaient d'avoir tué Merrin, sa famille qui ne savait comment l'accompagner dans son malheur, son boulot, sa réputation, son avenir… Sans compter, bien sûr, l'amour de sa vie avec qui il comptait passer le reste de son existence. Aujourd'hui, Ig n'est plus que l'ombre de lui-même. Il a abandonné son travail, enchaîne les aventures sans lendemain et les cuites, et fuit la compagnie de ses proches. Il ne rêve que d'une chose : retrouver le meurtrier Merrin et lui faire payer son crime de la façon la plus atroce possible. Mais il faut se méfier de nos voeux, ils ont parfois une tendance fâcheuse à se réaliser… Un matin, un an jour pour jour après la mort de Merrin, Ig découvre avec stupeur que deux cornes lui sont poussées sur la tête. Comme si ces nouveaux appendices ne suffisaient pas, Ig se découvre également un nouveau et troublant talent : toute personne le croisant se met aussitôt à lui débiter ses pensées intimes les plus noires, révélant ainsi les pires aspects de sa personnalité. Après avoir apprivoisé bon gré mal gré sa nouvelle nature, Ig se met en chasse. Malheur au meurtrier de Merrin s'il croise sa route !

De Joe Hill, je n'avais lu que la très réussie série de BD « Locke & Key » et j'étais donc très curieuse de me frotter à ses prouesses littéraires. Pas de déception de ce côté-là. Certes, « Cornes » ressemble un peu à du Stephen King – pas étonnant puisque Joe Hill est son fiston ! – mais à du Stephen King en grande forme où l'on retrouve tout ce qui faisait le charme des meilleurs romans de papa : beaucoup de finesse dans la psychologie des personnages, de l'horreur savamment dosée et une habilité certaines à faire émerger du quotidien nos pires angoisses. Ajoutez à cela une petite touche d'humour absurde et surréaliste plus personnelle au fiston – certaines confessions de personnages croisés par Ig en début de roman sont de grands moments d'humour noir ! Les nombreux flashs back qui rythment le récit sont bien intégrés et intéressants, bien que l'histoire d'amour entre Ig et Merrin flirte parfois avec le roman à l'eau de rose. Bonne gestion également des personnages secondaires, tous intéressants et assez touchants, avec un faible en ce qui me concerne pour le frère de Ig, Terry, partagé entre son affection pour son petit frère et la crainte d'être contaminé par son malheur. Et oui, parce que la souffrance c'est comme la grippe, c'est contagieux… le tout donne un bon thriller fantastique, parsemé en sus de références sataniques très sympathiques. C'est bien le fils de son papa, ça !
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Cela fait tout juste un an que Merrin, la petite amie d'Ig, a été découverte massacrée, étranglée et violée. Pour ce triste anniversaire, il va encore se saouler, mais aussi profaner toutes les bondieuseries qui ont été déposées sur le lieu du crime.
«Au pied de l'arbre, quelqu'un, sans doute la mère de Merrin, avait planté une croix ornée de roses en nylon jaune, à côté d'une Vierge en plastique qui souriait avec l'air béat et extatique d'un idiot.
Ce sourire affecté lui était insupportable. Tout comme cette croix, fichée au lieu même où Merrin était morte après s'être vidée de son sang, le crâne fracassé. Une croix ornée de roses jaunes... Quelle chierie. C'était d'aussi bon goût qu'une chaise électrique tapissée d'un imprimé à fleurs. Cela l'horripilait, que le Christ vienne se pointer ici avec un an de retard, quand ça ne servait plus à rien. Où était-Il quand Merrin avait eu désespérément besoin de Lui ?» (page 15)
Et lorsque Ig se réveille le lendemain, en plus d'une énorme gueule de bois, il découvre sa paire de cornes... Outre le look singulier qu'elles lui confèrent, il va vite découvrir le "don" qui va avec. Tant qu'à faire de subir les horreurs que lui déversent ses proches et ses connaissances, il décide de s'en servir et chercher qui a tué Merrin. Nous suivons ainsi notre apprenti Satan dans sa quête de vérité pendant la première partie du roman, et il faut dire que cette partie est carrément jubilatoire.
Une seconde partie reprend l'enfance de Ig à partir de sa rencontre avec Merrin jusqu'à quelques heures avant le meurtre. le rythme du roman prend un bon coup de frein.
Viennent ensuite la troisième et la quatrième partie qui sont consacrées au meurtre lui-même et la mise en place de la vengeance d'Ig. Cette fin de roman est un mélange de scènes fantastiques et de flashbacks nombreux, glaçants, horribles... jouissifs.
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Youpie!

Youpie pour plein de choses.

Youpie, parce que j'ai découvert au détour d'une émission littéraire, lors d'une de mes innombrables insomnies, que le fils d'un de mes auteurs favoris écrivait. Qu'il ne profitait pas du nom de son père pour se faire de la pub (même si la mention "L'héritier de Stephen King", plaquée en grosses lettres sur le bordereau publicitaire, permet d'émettre des doutes à ce sujet. Je préfère penser pour ma part qu'il s'agit d'une volonté de la maison d'édition). Que ce livre se lisait très bien. Qu'on me le recommandait.

Youpie, parce qu'en commençant le livre (sans avoir lu la quatrième de couverture, rituel oblige), j'ai tout de suite eu envie de continuer. Et de continuer. Et de continuer.

Youpie, parce que lorsque, au début de ma lecture, j'ai émis des doutes sur la viabilité de l'histoire, l'auteur m'a emmenée plus loin, sans permettre à son histoire de s'essouffler, et en plus de ne pas contenir de longueurs.

Youpie, parce que c'est écrit de manière à pouvoir apprécier tous les mouvements, toutes les étapes, et que cinq minutes peuvent tenir en cinq pages. Et qu'on aime ça!

Youpie, enfin, parce qu'on reconnaît l'influence du père... Mais qu'on sent que ce n'est que le début et qu'il pourra dépasser ça.

Youpie, youpie, youpie.

Lisez l'histoire d'Ignatius Perrish, le Nosferatu des temps modernes, et profitez de toutes les questions qu'elle vous imposera.
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J'ai lu les deux première parties tranquillement et puis, entraînée par le rythme infernal du roman, j'ai enchainé les autres jusqu'à la fin, captivée. Je n'ai pas trouvé le temps long, j'ai vraiment été happée par l'histoire, par tous ses mystères.

En puis, ça décape, les révélations sont terrifiantes, toutes les professions en prennent pour leur grade: médecin, policier, prêtre..., même ses proches n'y échappent pas. C'est vraiment tendu par moment, intense et cruel. J'ai éprouvé énormément d'empathie pour Ig pendant la lecture.

Si le climat de ce roman est parfois un peu pesant, certains passages sont drôles, bourrés d'humour noir, d'autres au contraire sont dérangeants, nous montrant un personnage torturé intérieurement, un autre éprouvant de la culpabilité. Les personnages sont très intéressants d'un point de vue psychologique, attachants aussi et la manière dont on prend connaissance des faits, se fait de manière progressive et bien que l'effet de surprise ne soit pas immense, c'est quand même habilement mené.

J'ai beaucoup apprécié le style décontracté de Joe Hill, l'atmosphère créée et trouvé aucune difficulté à la lecture. Quelques passages un peu mystiques peuvent dérouter un peu le lecteur mais y étant sensible, ça ne m'a pas tellement freinée.

Le seul bémol pour moi, c'est la fin, qui ne m'a pas tout à fait convaincue. J'ai d'ailleurs eu du mal à comprendre où l'auteur voulait en venir dans la dernière partie du roman. Je l'ai relue une deuxième fois, et j'ai fini par trouver certains éléments pas très logiques ou pas aboutis, avec cette cabane mystique par exemple ou concernant l'origine des cornes, bref c'est dommage, car même si ça ne m'a pas empêchée de le dévorer en quelques jours et de passer un très bon moment, avec le recul, mon enthousiasme s'est un petit peu relâché.
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
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Ignatius Parrish, dit Ig ou Iggy, fils de bonne famille file le parfait amour avec Merrin Williams, ou plutôt filait; Merrin ayant été violée et assassinée avec une sauvagerie hors norme un an plus tôt !
Tout le monde s'accorde à dire qu'Ig est le coupable, même si aucune preuve n'a été retenue contre lui, Ig survit plus qu'il ne vit, sombrant de plus en plus dans l'alcool.
Un lendemain de beuverie, il se réveille avec une paire de cornes sur la tête, cornes qui en plus de ne pas émouvoir le commun des mortels, ont la faculté de faire avouer à ce dernier ses plus sombres et inavouables secrets et pêchés ... Personne n'est immunisé et le pauvre Ig s'en prend plein la tronche pour pas un rond !!
Ce "don" va pourtant lui permettre d'en apprendre beaucoup plus sur ceux qu'il entoure, peut-être également sur la mort de son amour ?

Pas facile d'être un "fils de" et de pouvoir se faire un nom ! Et pourtant Joe Hill a réussi haut la main, déjà avec son premier roman "Le costume du mort", qui aurait pu être "la chance du débutant", que nenni, il réitère ce coup de maître avec cette histoire fantastique, mêlant habillement amour et religion, avec une touche d'humour parfois caustique !!
Joe Hill a été à bonne école et n'a pas grand chose à envier à son Stephen King de père émoticône heart
Un auteur à suivre, et pas plus tard qu'à ma prochaine lecture avec le recueil de nouvelles "Fantômes, histoires troubles", on verra s'il y excelle comme Papa émoticône wink
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Le roman commence quand Ignatus, dit Ig, se réveille après une nuit d'excès. Il ne se rappelle plus trop de ce qui a pu se passer la veille, mais le pire dans tout ça, c'est qu'il a désormais deux cornes au sommet du crâne.

Ces excroissances ont la particularité de faire sortir des gens tout ce qu'ils ont de plus mauvais en eux. Ainsi, le pauvre Ig découvre que sa famille le croit coupable du meurtre de sa fiancée qui a eu lieu il y a tout juste un an. Les pensées les plus intimes des individus lui sont révélées et franchement, ce n'est pas joli joli !

Les 90 premières pages fonctionnent sur ce schéma, j'avoue qu'elles sont plutôt jubilatoires.

Ensuite, Joe Hill s'attarde (trop ?) sur le passé de notre apprenti Satan. Il y a beaucoup d'anecdotes fortes intéressantes sur la jeunesse du personnage et des rapports qu'il entretient avec son frère, son ami Lee et son défunt amour : Merrin. Ce passage est tout de même un poil trop long pour moi.

Le reste du texte est plus équilibré et oscille entre présent et souvenirs. Les liens entre les protagonistes sont bien amenés, et leur psychologie est travaillée.

Relations complexes avec sa famille, triangle amoureux, tout y est.

La religion est également abordée dans l'oeuvre de Joe Hill (et là, impossible de ne pas faire le rapprochement avec le père) mais sous un jour original :



« …Satan passe dans beaucoup d'autres religions comme un brave gars. C'est souvent lui qui par la ruse attire la déesse de la fertilité dans son lit, et après un peu de frotti-frotta, ça donne la création du monde. »



Le caractère désinvolte du héros donne lieu à quelques bons mots.

Cornes est donc un bon roman fantastique, bien écrit et à l'humour croustillant. Ces qualités compensent largement les quelques longueurs qu'il peut y avoir.
Lien : http://dubruitdanslesoreille..
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