Jusqu'à ce que la mort nous sépare, tome 1 : Rencontre

J'ai tout de suite accroché, dès les premières pages. Haruka, une jeune lycéenne, se fait kidnapper par des yakuzas, qui veulent bénéficier des dons particuliers de celle-ci. En effet, elle est capable de prédire l'avenir, avec un taux fort de réussite. Elle repère dans la rue, grâce à son don, Mamoru, et se précipite vers lui. Mamoru est un mercenaire aveugle, certes, mais il est aussi un maître dans la voie du sabre. Elle lui demande de l'aider et lui propose un contrat "Jusqu'à ce que la mort les sépare". Ainsi débute cette série fantastique. Et les yakuzas ne sont pas près de laisser pour compte la poule aux oeufs d'or!
A l'heure d'aujourd'hui, il y a 17 tomes parus au Japon. Il est tentant de croire qu'au bout de tant de tomes, l'histoire doit s'essouffler. Et bien, non.
Chaque tome est bien fourni en action, le scénario est toujours aussi bien ficelé, et surtout j'aime énormément le graphisme du dessinateur Double-S.
Quant aux personnages principaux, ils ne peuvent que plaire. Mamoru est un homme complexe : taciturne, à l'apparence froide. Sa cécité est dû à un accident, mais cela reste encore un mystère dans le premier tome. Haruka, quant à elle, essaie de se montrer forte mais elle demeure une enfant, innocente et naïve, par certains côtés. Et tous les deux évolueront, au fur et à mesure, des tomes. Je ne m'en lasse pas!

Cocktail peut commun pour ce manga 100% divertissement : Prenez une jeune fille Haruka Toryomo dotée d'un don de prescience qui lui permet de prédire l'avenir avec 90 % de précision, un groupe terroriste déterminé à utiliser ce don à des fins criminelles et qui sont prêts à tout pour l'enlever, un super samouraï aveugle doté une lame qui tranche n'importe quel matériaux et un génie de l'informatique qui lui bidouille un équipement pour le rendre quasi invincible, et vous aurez la base de cette série pleine d'actions et de rebondissements en tout genre. le couple improbable Haruka/ Mamoru sème les cadavres sur son passage, mais la jeune fille en est sûre, seul le ténébreux Samourai peut la sauver et ils finiront leur vie ensemble.



Même si ce manga est plus destiné à un public masculin, je l'ai lu avec plaisir. Les personnages sont charismatiques, les intrigues complexes, les dessins très esthétiques et d'une précision photographique. Il y a du sang mais jusque ce qu'il faut, des morts, de l'amour...on imagine facilement tout cela porter à l'écran avec pourquoi pas Mark Dacascos qui m'avait tant charmé dans Crying Freeman .

« Jusqu'à ce que la mort nous sépare » est un manga ambitieux. Édité au Japon par le très prestigieux Square-Enix, ce sont les Éditions Ki-oon qui assurent une version française de qualité. C'est Hiroshi Takashige qui s'occupe du scénario. Les magnifiques dessins sont signés Double-S, épaulé par O-second et Euze. Lorsque j'ai acquis ce premier tome, j'ignorais que cette série était composée de 26 volumes.

Hé bien, on ne s'ennuie pas dans ce premier opus. Cela démarre d'une rencontre entre une fillette séquestrée par des membres de Yakuza et un homme aveugle. Bien vite ce dernier démontre des capacités exceptionnelle en combat. Équipé d'un katana, ce samouraï des temps moderne fait équipe avec un prodige de l'informatique.

Une organisation secrète, de la mafia nippone, une fille douée de prescience, un aveugle habile des arts martiaux, voici tous les ingrédients. J'ai beaucoup aimé Mamoru Hijikata. C'est un personnage mystérieux, froid.

J'ai eu un véritable coup de coeur quand je l'ai lu la première fois. À noter la magnifique page d'introduction en couleur où l'on voit Mamoru et Haruka (la petite fille).

Ne vous laissez pas avoir par le titre très fleur bleue. Il n'est pas du tout question ici d'un Shojo manga.

Portés par des dessins d'une incroyable finesse dans les détails, l'histoire qui s'étend sur 26 tomes, nous permet de suivre Mamoru Hijikata, samouraï aveugle, dans sa lutte contre les yakuzas. Il est épaulé par la jeune Haruka Tôyama, jeune fille capable de prédire l'avenir avec une fiabilité de près de 90%.

Après quelques petites longueurs dans les premiers tomes, l'histoire s'emballe et se dévoile dans tout son génie : une action qui nous tient en haleine et des personnages attachants.
Ce qui me semble intéressant est que ce manga pose, à très juste titre, la question de l'efficacité des arts martiaux traditionnels dans une société moderne envahie par les armes à feu et la technologie.

Un vrai petit bijou trop méconnu à mon goût, que j'ai plaisir à lire et à relire très régulièrement.

Au départ, très intriguée par le titre et attirée par les graphismes, c'était par pure curiosité que j'ai entamé le premier tome à sa sortie.
2 ans et 11 tomes après, je suis toujours accro !
L'aveugle que croise Haruka n 'est, bien entendu, pas comme les autres.
Plus jeune, il était déjà un prodige du sabre, mais avec ses sens développés par son infirmité, et grâce à une batterie technologique absolument incroyable, il est devenu la mort en personne.
La dernière personne que l'on voit avant de mourir ...

Haruka, grâce à son don de voyance, savait qui était ce samuraï des temps modernes, elle l'avait vu dans son avenir et elle sait donc que, si elle veut survivre, c'est auprès de lui qu'elle doit rester.

De son côté, le génie du katana est engagé par une organisation secrète aux multiples actionnaires pour empêcher de nuire presque tout les malfrats croisant son chemin. Pour lui, le protection d'Haruka devient une mission comme une autre. Sauf bien sûr que la raison qui les a fait se rencontrer est loin d'être banale.

Nous sommes devant un manga bourré d'action, aux personnages très charismatiques et à l'intrigue extrêmement bien ficelée.
On déambule dan un monde de complots, d'organismes criminels, de combats sanglants et de calculs de pouvoir.
Dans tout ça, la jeune orpheline ressemble à une lueur de pureté qui fait du bien et nous apaise pour les premiers temps du récit. Son évolution à travers les tomes n'en sera que plus déstabilisante et notre affection pour elle ne fera que croitre avec le temps.

C'est un manga très riche, avec beaucoup de personnages intéressants et un fil conducteur principal accrocheur qui garde notre intérêt intact même dans la durée.
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