Une histoire de femme, femme de pasteur en 1848, qui peu à peu nous dévoile ses aspirations profondes, ses rêves secrets, ses failles aussi.
L'auteure nous fait partager le quotidien de Mildred Holland, avec son époux, les employés de la maison, les habitants d'un petit village du Suffolk en Angleterre , les paroissiens…
J'aime les romans qui mettent les femmes à l'honneur, qui exposent leur volonté, leur courage, leurs talents, et ici, vous l'aurez deviné d'après le titre, il s'agit de peinture. J'aime d'autant plus les histoires inspirées de faits réels, et celle-ci en fait partie. J'apprécie également quand des anges volent dans les parages, insufflent le beau, l'art et l'ardeur.
Je ne visite pas souvent les églises, mais si je pouvais me transporter dans celle de Huntingfield, ce serait avec joie.
Commenter  J’apprécie         782
Malheureusement cette histoire ne m'a pas du tout conquise, j'ai trouvé cette histoire très longue avec beaucoup de répétitions, l'histoire qui n'avance pas... Je l'ai tout de même lu jusqu'à la fin car j'avais envie de savoir la fin de cette histoire, mais finalement, ça n'en vallait pas vraiment la peine :(
Je suis donc vraiment très déçue de ce roman que je pensais très différent... 🎨
Commenter  J’apprécie         30
J'ai pris le livre au hasard à la bibliothèque car l'histoire me paraissait intéressante et en plus tiré d'une histoire vraie.
Si c'est écrit joliment, il manque un je ne sais quoi qui rende le livre, l'histoire à avoir envie de la lire.
Je me suis vite ennuyée...et du coup j'avoue je l'ai lu "au travers" lisant des morceaux plus long parfois pensant que ça s'améliorerait mais sans résultat.
Je suis donc plutôt déçue bien que j'adore visiter les églises et que j'aimerais de ce fait beaucoup voir celle ci pour le coup !!au moins voir le résultat suite à ce qu'elle a pu endurer comme souffrance pour le peindre !
Commenter  J’apprécie         10
- Un pantalon comme ceux que les hommes portent pour travailler. Cela me conviendra.
Sa voix était assurée. Elle avait entendu que les détenues condamnées à la pendaison demandaient à porter des pantalons pour protéger leur décence de la foule curieuse qui se rassemblait autour de la potence. Les gens se regroupaient autour de la victime pour voir ce que révélaient les coups de pied de la mourante.
Tout respirait le masculin en cet endroit : un lieu où, une fois dans sa vie, un homme se faisait ajuster le costume dans lequel il se marierait et serait enterré.
P 186