Les royaumes immobiles, tome 1 : La princesse sans visage

Premier tome d'une duologie de fantasy, La princesse sans visage est un roman qui reprend la thématique populaire de la faërie. Ariel Holzl nous emmène ainsi dans un univers dans lequel deux mondes existent parallèlement : celui des humains (les rêveurs ici) et celui des faë (les feys ici) où l'histoire se déroule.

Ariel Holzl nous propose ici un roman très classique dans lequel tous les codes sont repris pour plaire au plus grand nombre. Les feys, les autres créatures rencontrées, la compétition entre des jeunes femmes prêtes à tout pour accéder au trône, les complots, les trahisons, la vie à la cour, l'opposition entre l'héroïne ingénue et les autres personnages cruels et déterminés… La princesse sans visage reprend des
codes déjà vus, mais le fait tout de même avec maîtrise. Je dois avouer que je suis moi-même bon public des romans mettant en scène des épreuves comme c'est le cas ici.

En termes de développement d'univers, La princesse sans visage reste un roman assez léger. L'auteur nous donne les informations minimales et mise plutôt sur
l'action et les rebondissements. Ce n'est pas forcément un défaut, car ce roman se veut surtout être un bon divertissement et n'a pas la prétention de renouveler le genre de la fantasy.

Si le manque d'approfondissement de l'univers n'est pas forcément gênant, je suis plus dubitative concernant la profondeur des personnages. Les personnages mis en scène sont très stéréotypés et correspondent à des grands traits de personnalité et
beaucoup de personnages secondaires sont même interchangeables ce qui rend les interactions plutôt artificielles.

Si je n'ai donc pas été complètement convaincue par le développement de l'univers et des personnages, j'ai passé un bon moment avec ce roman qui reprend la mythologie faë en utilisant avec habileté et efficacité les ingrédients classiques du genre.

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Voilà un roman dont j'attendais beaucoup, mais que j'ai refermé comme je l'ai commencé : sans grand intérêt. J'en suis la première surprise, car j'avais adoré le tome 1 de Lames vives, l'un des précédents titres d'Ariel Holzl.

Le hic, c'est que dans Les Royaumes immobiles, tout va beaucoup trop vite. L'auteur n'a donc pas le temps de creuser son univers, son scénario ou même ses personnages. Alors, certes, on ne s'ennuie pas, car le rythme est effréné, mais comment s'immerger dans l'histoire de cette façon ?

En bref, un flop pour moi, mais peut-être succomberez-vous à cette duologie comme la majorité des lecteurs ?
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Il y a des univers de la fantasy qui me fascinent et que pourtant j'ai trop peu lu, c'est le cas des fées. Avec sa promesse d'un univers féerique, cette dystopie signée Ariel Holzl, un auteur déjà lu et apprécié, me vendait du rêve. Je suis malheureusement restée en dehors, enfin ça c'était jusqu'au chapitre final qui m'a retournée !

Ces dernières années, j'ai lu deux autres romans jeunesses de l'auteur, mais peut-être plus purement jeunesse que celui-ci, ce qui fait que j'avais adhéré aux concessions de sa plume alors. Il s'agissait de Bpocalypse, histoire inaboutie qui aurait bien mérité un tome de plus, et surtout Pax Automata, dont l'univers steampunk m'avait charmée. Je m'attendais donc un peu à la même chose. Or, avec Les royaumes immobiles, nous nous retrouvons plus dans un Young Adult et vous connaissez mon problème avec cette tranche d'âge, cela s'est retrouvé ici…

Ariel Holzl propose une aventure pleine de féerie et d'action, ça je le lui reconnais, mais j'ai eu l'impression de la première à la dernière ligne de ne me retrouver dans une histoire qui était comme un décor de cinéma : fausse et superficielle. A aucun moment, je n'ai cru à ce qu'il racontait et mettait pourtant en scène avec panache et énergie. Il y a un vrai univers féerique invoqué, à base en plus de figure connue comme Oberon ou Titiana, mais c'était tellement un prétexte à une histoire mille fois revue, que ça n'a pas fonctionné avec moi. J'ai trouvé que l'auteur n'exploitait pas cette richesse qu'il déversait sous nos yeux. Il restait trop en surface pour moi.

Après pour l'amateur d'histoires dynamiques, ce premier volet : La princesse sans visage, est entraînant. On y suit Ivy, une jeune fille de 18 ans maudite par sa grande beauté qui rend littéralement fou et qui doit pour cela porter un masque. Elle est enlevée et sélectionnée pour participer à une sorte de concours pour devenir la prochaine souveraine d'un trône d'Automne resté vacant depuis trop longtemps, et elle va devoir affronter des rivales, sur le papier, impitoyables. Pour ceux qui ont déjà lu La sélection ou autre histoire un peu sirupeuse du genre, vous retrouverez les mêmes mécanismes, avec juste en prime, et ça reste appréciable, la noirceur et la méchante turpitude des petits complots des êtres féeriques. Ce n'est donc pas une saine émulation ou un gentil concours entre rivales mais des épreuves mortelles qui attendent l'héroïne, propulsée au milieu de ces têtes couronnées, elle qui serait l'enfant du mystérieux Roi Gris et d'une Rêveuse, bien loin des nobles enfants de Mab ou Titania, et des courtisans comme Puck, Hélionie ou Dahlia.

Pour ma part, je me suis totalement laissée porter par le récit sans jamais vraiment le vivre ou en ressentir l'urgence et le frisson. Nul doute que ça fonctionnera sur des lecteurs plus ouverts ou plus novices que moi. Moi, j'avais vraiment envie de plonger dans les noirceurs de ces royaumes, de ces êtres de multiples horizons que nous présente (trop) rapidement l'auteur. Parler de Changeling, de Bogling, de Leanan, de Sidhe, de Sylphe et tant d'autres, c'est chouette mais encore faut-il en faire quelque chose, idem pour les créatures comme les Dryades, les Faunes, Griffons ou Pixies. J'aurais tellement aimé les voir tenir une vraie place ici et pas juste servir de décor, de prétexte à une fausse guéguerre, dont le danger n'a réellement été ressenti que dans les ultimes pages. Celles-ci m'ont presque fait revenir sur mon appréciation de l'ensemble d'ailleurs, tant je les ai trouvées, enfin, vives, percutantes, dérangeantes, tranchantes. C'était ça qu'il nous fallait tout du long et pas juste au dernier moment pour nous pousser à lire la suite. On l'a tous compris le procédé 😉

Sous cette sublime couverture signée Germain Barthélémy, nous avons une superbe représentation d'une héroïne que j'aurais aimé aussi tranchante et secrète que son image, car j'ai trouvé cette aventure, bien qu'entraînante, trop convenue et déjà vue, avec un décor féerique sous exploité et manquant de noirceur, pour moi, hormis les ultimes pages. Je suis à la fois intriguée par le devenir d'Ivy après cet ultime renversement et blasée par l'aventure promise qui risque à nouveau de reposer sur des ressorts connus pour qui a déjà lu ce genre de récit princier, de récit de révolte. Vais-je lire la suite et fin ? L'hésitation est à son comble.
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Toujours pour le PLIB, j'ai découvert pour la première fois la plume d'Ariel Holzl à travers le premier tome de sa saga Les Royaumes Immobiles T1.

Je suis très mitigée quant à cette lecture, le début était vraiment prometteur, immersif. J'étais intriguée par le destin d'Ivalie, princesse oubliée, enfant illégitime au visage masqué qui a survécu seule dans un immense château et qui se retrouve dans une compétition pour le trône. L'ambiance durant les premiers chapitres, avait cette coloration fantastique, mystérieuse qui me plaisait.

J'étais persuadée que le système magique, les épreuves, ce Sacre parfois mortel allait me charmer à la manière des perfides sortilèges feyes. Mais non, j'ai trouvé que tout allait très vite, que l'auteur ne prenait pas le temps d'exploiter l'univers, son intrigue, le système magique.
Il y avait trop de facilités, les révélations tombaient comme un cheveu sur la soupe, je n'arrivais pas à être surprise ou triste parce que je n'avais aucun attachement pour les personnages. Je n'ai ressenti aucune tension ou intrigue quant au Sacre, dont le résultat me paraissait plutôt évident et le retournement de situation final un peu sorti de nulle part… C'est vraiment dommage car comme je disais, l'intrigue était prometteuse.
Globalement on passe un bon moment, mais sans plus, je ne lirais pas la suite.

Pour l'instant il se place 4ème de mon classement des finalistes du PLIB, j'attends de lire L'Empire des Femmes pour faire mon vote final !
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Avec ce roman, nous plongeons une fois de plus dans un monde empli de magie et de feys, qui s'articule autour de conflits politiques et de prises de pouvoir. J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir la plume de l'auteur, que je ne connaissais pas. Je l'ai trouvée fluide, agréable à lire et joliment maniée, c'est à mon sens le point fort de ce roman. 

L'univers créé est également riche et intéressant, seulement il n'est pas suffisamment exploité. Peut-être est-ce parce qu'il s'agit de littérature jeunesse, mais je dois admettre que je suis restée sur ma faim. J'aurais voulu plus de détails, de descriptions du monde d'histoire des Royaumes également. J'ai eu la sensation de manquer de temps pour savourer l'environnement créé par l'auteur. 

Les personnages sont sombres pour la plupart, cruels et manipulateurs, et j'adore ce genre de protagonistes. Malheureusement ici aussi, je suis restée sur ma faim, j'aurais souhaité que les relations soient plus approfondies. Globalement, tout est allé un peu vite pour moi, y compris le dénouement, mais peut-être était-ce volontaire afin de ne pas perdre les plus jeunes lecteurs. La mini-romance incorporée à la fin n'avait pas vraiment d'intérêt à mes yeux, mais peut-être servira-t-elle la suite de l'histoire ? 

C'est un joli roman, avec beaucoup d'action et de rebondissements et une oeuvre jeunesse pleine de potentiel. Je lirais le tome suivant en espérant en apprendre plus sur l'univers des Royaumes Immobiles !

Ce roman a, hélas, été un gros flop.
Je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire, à l'univers, aux personnages...
Déjà j'ai trouvé que l'univers trop similaire à celui du "Prince Cruel". J'ai conscience que beaucoup d'éléments sont empruntés à différents folklores, mais celui-ci n'a pas su se différencier du premier que j'ai adoré.
Sans parler du fait que BEAUCOUP trop de noms sont employés (prénoms, noms de races, de clans, de familles, etc...), j'étais complètement perdue.
"Et les personnages ?" me demanderez-vous. Il n'y en a pas un seul auquel j'ai eu l'occasion de s'attacher. Entre ceux qui se font tuer, que l'on apperçoit uniquement le temps d'un ou deux chapitres, et ceux qui sont tout bonnement insupportables, on a ni le temps ni l'envie de les apprécier.
Je ne doute pas qu'il plaira à d'autres mais il n'était tout simplement pas pour moi.

👑 La princesse sans visage 🍂

Un livre qui avait tout pour me plaire et qui pourtant n'a pas déclenché l'étincelle.

Tout y était, chaque élément de ce roman aurait dû m'envoûter, mais malheureusement et malgré le potentiel de cette oeuvre très bien achevée, de son univers original et travaillé, ainsi que de son intrigue tout aussi captivante et développée, il ne m'a pas transporté.

Même la plume fluide, douce et très poétique de l'autrice n'a pas réussi à me départir de mon ennui et de mon désintérêt.

Loin de moi l'idée de dénigrer cette histoire, loin de là ! Car je ne peux le nier, elle est incroyablement bien imaginée, en dépit des quelques points que je citerais plus bas, celle-ci possède beaucoup d'éléments qui en fait une fantasy divertissante et attrayante.

Mais comme souligner, elle ne me correspond pas et voici pour quoi :

Dès le début, je me suis ennuyée… le commencement est très pesant, contenant bien trop d'informations, une première partie trop riche ce qui m'a perdue à plusieurs reprises. Heureusement qu'un glossaire était présent pour m'aider à la compréhension.

En ce qui concerne les personnages, notre protagoniste même si quelque peu charmante avec son grand coeur, sa douceur et sa gentillesse m'a laissée de marbre. Trop lisse, trop passible, se laissant facilement entraîner par les événements sans vraiment réagir et prendre les initiatives. Quant aux personnages secondaires, bien que variés et nuancés, une fois encore, je ne m'y suis pas attachée.

Ce manque d'attachement est à l'origine de cette déception, comment s'intéresser à une histoire si ce qui arrive à l'héroïne nous est égal ? Peu importe les épreuves, j'y étais indifférente.

En conclusion, ce premier tome est loin d'être désagréable néanmoins, il n'était pas fait pour moi, ce qui est bien dommage. Comme vous l'aurez compris, et pour la première fois en tant que lectrice, je ne lirai pas la fin de cette duologie.

Quand le monde s'offre à toi, mais pas de la manière que tu voudrais...


Ivy est une jeune femme qui vit seule et recluse dans le Manoir de son défunt père. Une malédiction pèse sur elle, mais de cela elle ne
s'en rends pas bien compte.
Quand un beau jour, un homme débarque et lui dis qu'il était un ami de son père et que le trône de celui-ci est vacant mais surtout que les
Reines ont déclaré que les jeux étaient ouverts pour accéder à celui-ci.
Ni une ni deux, la voilà embarquée dans une aventure qui la dépasse. À la cour, elle devra faire attention aux faux-semblants mais surtout
aux amitiés qui lui semblent réelles.
Durant les épreuves, elle va devoir composer avec son manque d'initiation à la magie et à la jalousie des autres participantes.


Argh heureusement que la fin rattrappe le tout car je ressors déçue du déroulé des épreuves. Celles-ci m'ont paru fades et sans saveurs
malgré le fait qu'elles aient permis de démasquer les personnes qui en voulaient à Ivy et de dévoiler un semblant de potentiel chez la
demoiselle.
L'univers à l'air incroyable, vaste mais nous n'en apprenons guère dans ce premier tome. J'aurai aimé voir plus de créatures car le bestiaire
à l'air super intéressant. Les Faes sont cités mais je ne les ai pas trouvé prendre vraiment place dans le récit, ceux-ci sont restés en
retrait de l'intrigue. Notre monde décrit ici comme l'Ailleurs m'a beaucoup plu et intriguée. J'espère voir plus dans le second tome histoire
de ne pas rester frustrée sur la non-utilisation de notre monde.
Ivalie est une jeune fille qui ne connais rien au monde qui l'entoure et nous assistons à sa renaissance au final. Elle apprends au fur et à
mesure a apprivoiser le monde qui l'entoure, un peu comme nous d'ailleurs. de ce fait, niveau caractère elle n'est pas très travaillée,
sa naïveté est très élevée et son arbre généalogique pas très exploité malgré les révélations de fin qui se trouvent être incroyables, je ne
m'y attendais pas du tout. Sa malédiction est un plus pour elle, malheureusement elle ne m'en sers pas et c'est dommage car l'intrigue
prendrait plus de piquant.
Les personnages secondaires sont nombreux et servent le récit avec habilité. Ils permettent une bonne tenue, une bonne avancée et une certaine
cohérence dans les événements qui s'enchaînent.
Les Reines sont montrées comme étant cruelles, avides de pouvoir mais au final tout ceci n'est qu'une vaste façade afin de cacher leur solitude.
Le fait que chacune aie sont pouvoir propre à son royaume est vraiment bien travaillé et super bien trouvé.
Le système de magie est intéressant même si il est peu exploité, j'espère que par la suite celui-ci prendra une plus grosse part dans
l'intrigue.
La plume est légère et très facile à s'approprier. Pas de longueur inutile, j'ai apprécié être embarquée par celle-ci dans l'univers
proposé par l'auteur. Il s'agissait de mon premier essai avec moi et ce fût un agréable moment. Malheureusement ce pas assez pour être un gagnant.


En bref, un univers qui a l'air vaste malgré une héroïne assez naïve et un système de magie peu exploité.

Ecouté en audiobook!
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Grosse déception malheureusement. Je n'ai pas retrouvé ce que j'aimais tant avec Ariel Holzl : l'ambiance.
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Pour commencer en beauté, la protagoniste me sort par les yeux avec sa passivité et les facilités scénaristiques ne l'ont sûrement pas aidée pour prendre de l'autonomie : tout lui tombait dans les mains, elle n'avais limite qu'à respirer.
Les personnages secondaires sont clichés et je ne dis pas ça dans le bon sens : on ne joue pas sur les stéréotypes, il n'y a pas d'approfondissement... En fait, ils ont la complexité des personnages SIMS.
Il n'y a pas de messages vraiment véhiculés non plus dans ce livre ou alors, je suis passée totalement par dessus (ce qui n'est pas impossible).

L'univers est peut-être le seul aspect du livre qui m'a plutôt plu : c'est sympa, ça reste quand même assez basique mais l'ensemble fonctionne bien.
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Allez... Il y a quand même d'autres qualités : j'ai apprécié que la romance ne soit pas prédominante et puis ça se lit bien. Sur le coup, on reste fidèle au côté dynamique et entraînant de l'auteur.
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Enfin bref, j'ai la suite donc je vais tout de même écouter la suite mais j'ai peur.

je m'attendais tellement à mieux .. je sais pas si c'est l'écriture qui ne m'a pas convaincu mais j'arrivais pas à enchaîner plusieurs chapitres , j'étais pas à fond dedans et j'en suis bien déçue .. l'histoire était prometteuse mais j'ai pas réussi alors je ne sais pas si je vais lire la suite , la fin m'a quand même plu car je me suis forcée à lire les 100 dernières pages d'une traite ..
a voir je l'ai peut être pas lu au bon moment