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sur 275 notes
Dans ce nouveau roman, Anna Hope nous fait voyager dans le temps et dans l'histoire, autour d'un rocher blanc, petite île rocheuse au large de la côté ouest du Mexique, considéré comme l'origine du monde par les autochtones, et donc lieu sacré : 4 périodes : 2020, 1969, 1907 et 1775 et 4 personnages : l'écrivaine, le chanteur, la fille et le lieutenant.
Le roman est composé de 9 chapitres, allant du présent vers le passé pour les 4 premiers, un chapitre central sur le rocher blanc, puis 4 chapitres allant du passé vers le présent.
"L'écrivaine" voyage au Mexique avec son mari et sa fille. Ils sont là en pèlerinage, dans un minibus avec un chaman et un groupe de touristes, pour déposer des offrandes près du Rocher blanc. Leur couple bat de l'aile.
"Le chanteur", inspiré par Jim Morrison, a abandonné l'équipe de sa tournée à Mexico. Il est las, alcoolique et drogué.
"La fille" est une Yoeme (peuple amérindien). Elle et sa soeur aînée, Maria-Luisa, blessée, ont été enlevées et emmenées en bateau, dans des conditions très dures, pour devenir esclaves.
"Le lieutenant" est un capitaine d'expédition sur un navire espagnol, en 1775. Il est accompagné d'autres explorateurs dont le capitaine Manrique, qui devient fou en prenant conscience des conséquences de la colonisation sur les populations indigènes.
La structure du roman m'a un peu déroutée, et je ne me suis attachée à aucun des personnages, même si la partie avec les deux soeurs est celle qui m'a le plus intéressée.
Je suis allée jusqu'au bout, malgré les longueurs, pour découvrir où l'autrice voulait nous emmener, comment ce rocher blanc allait relier ces 4 histoires. Je suis arrivée à la fin sans avoir compris, sans avoir trouvé le lien entre ces 4 histoires, disparates et saucissonnées, qui en fait sont des nouvelles sans vrai lien, et je n'aime pas les nouvelles..
Même le rocher blanc est resté loin et dans la brume.
Anna Hope évoque les méfaits de la colonisation, mais de manière assez superficielle.
Bref, c'est bien écrit, mais décevant.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..
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Alors que son histoire personnelle croise la route du Rocher Blanc, situé sur la côte nord du Nayarit au Mexique, Anna Hope décide d'écrire un roman autour de ce dernier et du peuple Wixarika.

C'est ce qui va relier, dans ce roman éponyme, les protagonistes des quatre parties :
- une écrivaine en 2020, probablement Anna Hope elle même, qui traverse le Mexique en bus avec sa famille pour se rendre au pied du Rocher Blanc. Alors que le covid est en train de s'installer dans le reste du monde, elle parcourt la route de ce pèlerinage millénaire accompagnée d'un chaman indigène wixarika et, se souvenant de son passé, se retrouve en proie à des questions existentielles et écologiques.
- un chanteur en 1969, en errance dans un luxueux hôtel à Playa Hermosa, refuse de rentrer à Los Angeles après les concerts de son groupe de rock à Mexico. Entre mescaline et peyote, le chanteur se souvient des années de gloire avant le déclin et cherche à fuir ses propres démons mêlés aux légendes et histoires de ce Rocher Blanc qu'il cherche à atteindre au bout de la plage.
- une fille en 1907, sur un bateau où plus de 600 Yoeme, qui ont été capturés, partent en direction des plantations dans le Yucatan pour y être vendus comme esclaves.
- un lieutenant en 1775, d'une équipe de cartographes espagnols, en mouillage au Rocher Blanc avant de rejoindre la Californie. L'un des équipiers se montre « perturbé » et l'on raconte que son bateau a été maudit par les Indiens lors de la dernière traversée.

Chacun, à un moment de sa vie se retrouve face à ce rocher blanc. Ce rocher blanc où les Indiens disent que le monde est né. Ce rocher blanc qui a vu passer les siècles et la folie des humains.
Au fil des histoires, c'est celle de ce rocher qui se déroule en filigrane, se dressant au fil du temps comme le symbole de tout un peuple.
Mêlant fictions, légendes et histoire, ce roman se lit d'une traite. La plume d'Anna Hope est toujours d'une fluidité incroyable et a ce don de vous immerger immédiatement dans son récit.
J'ai de nouveau apprécié les notes de fin de roman qui permettent de mettre en avant le travail de recherche de l'autrice sur le lieu, le peuple et les personnes sur lesquels elle écrit.

J'ai adoré ses trois romans précédents et celui-ci s'inscrit dans la continuité de mon amour pour cette autrice. Si tant est que le passage du roman sur l'écrivaine soit inspiré de sa propre vie, alors ce roman est sans aucun doute le plus personnel et intime d'Anna Hope.
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Je n'avais encore rien lu d'Anna Hope et je viens de découvrir le Rocher Blanc, grâce à Lizzie, via Net Galley, en audio lecture.

Un lieu fédérateur et mémoriel : le rocher blanc du titre est un bout d'île minuscule et rocailleuse au large de San Blas, sur la côté ouest du Mexique, lieu sacré pour les autochtones, considéré comme l'origine du monde par les Wixaricas.
Une fresque historique sur quatre siècles (de 1775 à 2020), sur fond de colonisation, de déportation d'amérindiens, de recherche de spiritualité, de chamanisme, de déliquescence de nos sociétés matérialistes au cours de laquelle la grande Histoire est présentée à travers une polyphonie de points de vue intimes. le récit remonte et redescend les jalons temporels au fil des focalisations, sans temps morts.
Un chant choral autour de personnages attachants, inquiétants, pathétiques que le lecteur apprend à connaître en avançant dans le roman, au fur et à mesure que s'explique leur mutuelle fascination pour le rocher blanc. Ils et elles sont définis par leur rôle et non par leur nom : « l'écrivaine », « la fille », « le chanteur » et « le lieutenant », une manière de les inclure dans une vaste totalité.

J'ai adoré ce livre, entrainée dans les parcours de tous les protagonistes, saisie par le tragique de leurs vies, par leurs aspirations, même vis à vis des deux avec qui, au départ, j'avais peu d'affinités, comme le chanteur des années 1960, alcoolique et drogué, désabusé, sans considération pour son public et son équipe, librement inspiré de Jim Morrison, ou encore pour l'écrivaine, venue là pour célébrer la naissance de sa fille et son futur divorce dans une cérémonie aux relents New Age auxquels elle n'adhère pas vraiment…
Je me sentais plus proche de la jeune Yoeme, arrachée à sa terre et à sa culture, et du chef d'expédition contraint de condamner son ami pris de folie, conscient des horreurs de la colonisation.

L'écriture est captivante, réflexive, avec une belle mise en abyme de l'écriture car le personnage de l'écrivaine est sensible aux sources d'inspiration véhiculée par son pèlerinage vers le rocher blanc. Aux horreurs de la colonisation se mêlent les enjeux écologiques et sociétaux contemporains et la médiation du rocher blanc renvoie chacun(e), protagonistes et lescteurs, à son humanité.

En général, j'ai un a priori négatif quand les livres audio ont plusieurs narrateurs, considérant que l'interprétation trop poussée du récit ne me conviendra peut-être pas… Ici, les voix de Maxime van Santfoort, Celia Torrens, Melissa Windal et Pierre Lognay portent parfaitement le texte. Une réussite !

Un roman choral qui me donne envie de lire les autres livres d'Anna Hope.


#LeRocherblanc #NetGalleyFrance

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Avec pour horizon commun un rocher blanc, nous traversons les destins de 4 personnages, l'écrivaine, le chanteur, la fille et le lieutenant, d'abord en remontant le temps de 2020 à 1775 puis en revenant dans le présent dans la seconde partie du livre.

Ces 4 destins sont bien distincts et j'ai eu du mal à avoir le rocher blanc comme seul fil conducteur de l'histoire.
Les personnages sont en proie à 1000 questionnements et il est possible de suivre ou deviner leurs peines et leurs aspirations. Il est aussi possible de comprendre que notre destinée ne tient parfois pas à grand chose. Un seul choix, semble t il anodin, peut avoir des conséquences bien plus importantes, l'effet papillon en somme.

Les personnages sont plutôt intenses et profonds, néanmoins je n'ai pas ressenti d'émotions particulières ou d'empathie face à eux.

Les thèmes abordés comme l'exclusion ethnique et la colonisation sont très intéressants et analysés avec sérieux, sans raccourcis ni stéréotypes.

J'ai aimé le style et l'écriture de l'autrice, néanmoins j'ai eu plus de difficulté à m'accrocher au récit. Vers la fin du livre j'ai trouvé cette phrase qui m'est apparue comme reflétant parfaitement mon sentiment face à ce livre : « Elle reste un moment, consciente qu'elle a envie de ressentir quelque chose, quelque chose qui lui échappe, qu'elle a souvent eu cette sensation, au cours de ce voyage, le sentiment qu'il y a un sens ici, mais un sens qui lui reste hermétique, une langue qu'elle ne comprend pas. ».

Je reviendrai sans doute à Anna Hope par un autre biais mais je n'ai pas eu de coup coeur ici.
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Depuis le chagrin des vivants, sublime premier roman, la Mancunienne Anna Hope a réussi le prodige de ne pas décevoir, bien au contraire, avec La salle de bal et Nos espérances. Loin de l'Angleterre, sous le soleil du Mexique, exactement, le rocher blanc semble procéder d'une ambition plus grande encore (démesurée ?) qui aboutit à un roman divisé en des parties et temporalités trop distinctes pour parvenir à une aussi belle fluidité que ses prédécesseurs. C'est souvent le cas dans un livre où plusieurs récits sont contés, sans autre point commun qu'un lieu mystérieux (le rocher blanc), il y a forcément une ou deux histoires qui semblent plus faibles que les autres et diluent l'intérêt. Ainsi en est-il ici des deux chapitres consacrés au "chanteur" de 1969, un Jim Morrison détruit par l'alcool, la drogue et la notoriété, qui n'a plus que quelques mois à vivre. En revanche, dans les passages consacrés à deux soeurs yoemes, déportées en 1907, le livre atteint des sommets dramatiques que l'on retrouve, à un degré moindre dans l'épisode de 1775 du lieutenant espagnol. Quant au personnage qui ouvre et ferme le livre, cette écrivaine en quête de sens dans son pèlerinage au Mexique, dans un monde déclinant sous les coups de la pandémie et du réchauffement climatique, c'est évidemment une sorte d'autoportrait d'Anna Hope, dans une époque troublée, qui s'interroge sur ses valeurs, ses contradictions et ses capacités d'oubli (l'on vient se ressourcer auprès d'un chamane issu d'un peuple que l'on n'a cessé de persécuter au fil des siècles). Sans être donneur de leçons, le rocher blanc semble cependant avoir été construit sur l'idée, désormais évidente, que la société occidentale court à sa ruine, pourrie par l'avidité, l'arrogance et le culte de la consommation. C'est cet aspect programmatique, sans doute, avec la dispersion des intrigues, qui a de quoi freiner l'affection à un roman aussi peu porté sur l'espoir, en dépit du patronyme de son autrice.
Lien : https://cinephile-m-etait-co..
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« Il y a un rocher blanc là-bas, dans l'océan, où les indiens disent que le monde est né. »
Le Rocher Blanc est situé près de la côte nord de l'état de Nayarit au Mexique, non loin de San Blas. C'est un lieu atypique où personne ne vient par hasard. Et si Anna Hope a choisi d'en parler, c'est parce qu'il est intimement lié à son histoire personnelle.
Ce roman est construit à l'inverse du rocher (on part du présent et on va dans le passé, les dates sont décroissantes : 2020 / 1969 / 1907 / 1775), comme si on descendait sous lui pour creuser dans ses racines afin de mieux comprendre ceux qui y sont venus. On plonge, il y a le sommet inversé (avec un poème magnifique)
« C'est le lieu où pour la première fois, l'informe s'est épris de la forme.
Et donc, et donc, et ainsi et alors, voilà comment le monde est né. »
et on remonte de l'autre côté pour retrouver le présent.
Quatre périodes, avec des personnages très différents, tous reliés au Rocher Blanc, tous inspirés de personnes réelles. En 2020, c'est une écrivaine, avec fille et mari. Elle recherche l'inspiration et vient dire merci dans ce lieu mythique. Est-ce une mise en abyme de l'auteur ? D'autres viennent porter une offrande pour un pardon, faire un voeu, prononcer une prière.
Ce recueil n'est pas facile au premier abord. On se questionne sur ce qu'a voulu transmettre Anna Hope. Il faut alors laisser venir les mots. Écouter ce qu'ils transmettent de l'Histoire (avec une majuscule) du peuple Wixarikas, qui raconte que l'origine du monde vient du Rocher Blanc. C'est une tribu que l'auteur a rencontrée, elle est liée à eux à vie. En revisitant le passé du Rocher, Anna Hope s'efforce de cerner et de transmettre les raisons d'exister de ce bout de terre. Et puis, en quoi les événements antérieurs influencent-ils le présent ? Comment se construit l'humanité et comment avance-t-elle ?
Le livre mêle plusieurs destins, des légendes, des traditions sont évoquées, la culture Yoeme et ses souffrances. Il nous éclaire sur des existences (on pense à Jim Morrison quand on découvre le chanteur en 1969). Personnellement, j'ai beaucoup apprécié « La Fille (1907) ». le partage entre les deux soeurs, la symbolique mangue qui représente tout leur amour…tout cela est bouleversant…. On s'aperçoit que le Rocher permet à certains de donner le meilleur d'eux-mêmes, comme si cette entité communiquait en quasi permanence, un message de bienveillance (ce qui serait logique vu que c'est de là que vient l'origine du monde) et la question qui se pose est : qu'ont fait les hommes de ce qu'ils ont reçu ?
« Nous sommes riches de donner. Riches d'offrir – telle est la plus simple des vérités. »
L'écriture est infiniment riche (merci à la traductrice), riche de vocabulaire, de poésie, d'émotions. Chaque protagoniste cherche à donner du sens à sa vie, pas forcément de la bonne façon mais on peut progresser grâce à ses erreurs. À la fin du livre, Anna Hope explique ses recherches et c'est très intéressant.
Une lecture qui sort des sentiers battus et qui en surprendra plus d'un.

Lien : https://wcassiopee.blogspot...
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J'ai découvert l'auteur, Anna Hope, avec La salle de bal. J'avais aimé cette lecture explorant la vie d'un asile d'aliéné dans le Yorkshire des années 1910, sur fond de réalité historique.

Ici avec le rocher blanc, il faut s'attendre à une tout autre lecture, plus personnelle pour l'auteur et un poil chamanique.
L'auteur mêle plusieurs personnages et plusieurs histoires mais toutes tournent autour, sans mauvais jeu de mot, de ce rocher.

A travers, l'écrivaine, le chanteur, la fille, le lieutenant, enfin le rocher blanc, parce que lui aussi est un personnage à part entière, on a à la fois un passage autobiographique, un passage biographique, pas de spoil, je vous laisse découvrir de qui il s'agit, la découverte d'une tribu mexicaine, et même la découverte du nouveau monde.

Un peu comme des nouvelles, toutes en 2 parties, avant et après le, toujours central rocher blanc.

Je n'ai pas apprécié de la même manière toutes les histoires, j'en ai préféré certaines plus que d'autres.
J'ai bien aimé la construction du livre, mais je suis assez mitigée sur l'ensemble, malgré la découverte du peuple Wixarika, ou du passage du chanteur au Mexique, je n'ai pas été emballée par cette lecture.

J'ai eu la chance de pouvoir rencontrer l'auteur grâce à Babelio, ces explications et sa ferveur m'ont heureusement donné un autre angle sur cette lecture et m'ont aidé à la terminer.
Lien : https://deslivresetmaude.wor..
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J'avais beaucoup entendu parler de "La salle de bal" mais je découvre cette auteure avec "Le rocher blanc".
Anna Hope propose un roman profond, très abouti, très interpellant, pas toujours facile à lire et qui, pour ma part, a provoqué des questions mais aussi une sorte d'examen de conscience.
4 personnages, 4 époques, 4 personnages tourmentés, perturbés : l'écrivaine, le chanteur, la fille et le capitaine, 4 styles car l'auteure adapte son écriture au personnage concerné. J'ai beaucoup aimé la fille. Sa personnalité attachante, sincère m'a vraiment émue. J'ai, par contre, été moins séduite par le chanteur même si son mal-être est extrêmement bien décrit.
Et le rocher ? C'est leur point commun. Selon la civilisation wixarika, il serait à l'origine du monde. Tout au long du roman, l'auteure nous parle de ce peuple ancestral qui a su résister à la civilisation moderne et, quand j'ai deviné l'identité de l'écrivaine, j'ai compris que ces allusions sont des remerciements, un hommage, pour des raisons personnelles Quant au chanteur, il est facilement identifiable!
C'est un roman qui doit être "digéré" , il faut se laisser imprégner par le lieu, les vécus des personnages et surtout par les valeurs du peuple yaqui. A ce moment, on peut prolonger la lecture, en regardant derrière soi et en se positionnant par rapport à l'avenir.
Coup de coeur pour la superbe couverture !
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Quatre temporalités, quatre voix, se font écho autour d'un étrange rocher blanc qui selon l'axe du regard prend des allures de monstres, de profil divin épousant la douce eau du Pacifique. le long des côtes du Mexique, ces voix creusent des solitudes et abordent la dépossession, l'espoir, la quête de soi. Une écrivaine dans un minibus au moment où la pandémie de Covid19 explose va rendre hommage. Hantée par ses propres démons elle se compare, elle se questionne sur ses statuts de femme, mère, épouse, professionnelle et semble avaler par ce voyage. Un chanteur, plus de 50 ans avant, promène son spleen, sa douleur et ses addictions. Brulé par le succès, avalé par le show business il marche à côté de son ombre qui semble plus vivante que lui. Au début du 20eme siècle, deux soeurs emportées par les guérillas et l'esclavagisme essayent de survivre entre jungle, soif et dépossession des terres. Un siècle avant c'est un jeune lieutenant qui pose un regard sur son initiation, son amour des étoiles, la dureté d'une vie de navigateur en proie à la violence des conquêtes.
Toutes ces voix, ces destinées forment un choeur et se rassemblent autour de ce rocher, point d'orgue du récit. C'est un joli récit, d'une grande finesse psychologique, parfois déroutant dans ces sauts temporels mais qui laisse une empreinte certaine chez son lecteur.
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Un très beau roman qui s'ouvre sur des personnages et des époques différentes pour nous faire découvrir le rocher blanc qui représente l'origine du monde. Tous ces personnages manquent d'une chose que l'on découvre à la fin du roman et qui est pourtant essentiel pour une vie sereine... si simple à lire, mais pourtant si difficile à ressentir. lâchez prise avec Anna Hoppe et vous verrez...
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