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Lucja - A story of steam and steel tome 1 sur 4
EAN : 9782379501401
200 pages
Vega Dupuis (03/09/2021)
3.14/5   14 notes
Résumé :
La Pologne du XVe siècle, terre de chevaliers, d'acier et de machines à vapeur. Des combattants aux armures surpuissantes gonflées à la technologie vapeur se livrent une lutte sans merci pour le titre de Roi Chevalier. C'est de ce chaos qu'émerge une jeune fille, toute de courage, de chair... et de métal.
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
MANGA SCIENCE-FICTION / UCHRONIE.
Avec "Lucja" on a un univers intéressant à exploiter avec une Pologne du XVe siècle à vapeur. Mais j'ai peur que comme dans moult JRPG on se contente de mélanger médiéval-fantastique avec des chevaliers et des sorciers et steampunk avec des robots et des savants pour faire cool et puis c'est tout. L'héroïne a du potentiel également, avec son coach borgne et la forgeronne-ingénieure Lucy. J'espère que cette série va monter en puissance, en ne trébuchant pas dans les clichés...
Il est fort appréciable que les graphismes échappent aux codes du manga mainstream. Même si on retrouve les grands yeux et les mentons triangulaires, j'ai trouvé le trait assez occidentalisé comme si on était dans un manga européen. Après les graphismes ne sont pas encore aboutis, et même s'ils sont appelés à s'améliorer comme dans toutes les séries c'est un peu bizarre pour un mangaka de 40 ans qui est aussi professeur de dessin...
Lien : https://www.portesdumultiver..
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Le label Vega de chez Dupuis (désormais) fait un petit peu figure "d'outsider affirmé " dans le paysage manga en proposant des titres moins mainstream mais qui n'en demeure pas moins remarquables telle que la série criminelle le Bateau de Thésée ou encore le manga historique sur la Seconde Guerre Mondiale Peleliu.

En septembre est paru le premier volume de Lucja, a story of steam and steel dessiné et scénarisé par un certain Coji Inada. Lucja est un manga uchronique se déroulant dans une Pologne médiévale du XV ème siècle mixé avec du steampunk. Une sorte de mix entre le robot et le chevalier où l'armure alimentée à la vapeur promet de bonnes séquences de combats. A la lecture de ce premier tome, on peut être séduit mais il faut quand même passer outre une première partie franchement inégale ainsi qu'une héroine peu charismatique.

L'entrée en matière de cette nouveauté de Vega est assez brouillonne. Nous sommes projetés dans un tournoi de chevaliers dans une Pologne médiévale à coups de gros traits anachroniques. Personnellement, je me suis marré dès que j'ai l'apparition d'un véhicule mais tout s'expliquer car nous sommes dans une fiction uchronique mais cette uchronie résonne un peu de manière artificielle loin de la subtilité de certains titres steampunk qui se situe fin XIX. Cela dit, l'univers transpire la bonne mécanique et les armures reluisantes de quoi séduire les amateurs d'action chevaleresques et méca. Lucja a de la gueule mais elle manque quand même d'allure.

L'un des gros défauts de cette entrée en matière reste le dessin qui souffre d'imperfections, de soucis de proportions. Les expressions et silhouettes sont parfois peu affinés à tel point que même l'arrière-plan fait mal aux yeux. Nous avons l'impression d'être sur un premier manga avec un style maladroit malgré un chara-design de chevalier sympathique.

Fort heureusement, le manga se bonifie au fil des pages et notamment à partir du moment où notre héroine se lance dans sa quête de réparation. Pour le coup, l'intrigue, même si elle reste un peu faible, devient attrayante et étoffe d'autant plus le cadre de cette fiction qui s'inspire totalement d'une Pologne bien ancrée dans L Histoire.

On connaît la fascination de certains mangakas pour le cadre médiévale européen, surtout dans les contrées germaniques et le travail de Coji Inada se situe en plein dans cette fascination que ce soit au niveau du dessin qui gagne en style et en panache dans les derniers chapitres ou pour le cadre donc avec incrustations de cartes et une présence importante de noms propres bien nordiques ( plutôt pénible à retenir...).

Le titre devient plus immersif dans ses derniers chapitres et promet davantage d'enjeux avec des personnages plus soignés telle que le gentil forgeron ( très réussi) ou un antagoniste des plus féroces. de plus, l'auteur soigne particulièrement la description autour de la fabrication d'armures et les procédés technologiques de "vapeurisation" ce qui donne plus de coeur et d'intérêt à ce volume qui finit par gagner du tempérament dans ses derniers chapitres.

Pour l'heure, ce titre doit encore faire ses preuves, notamment avec une héroïne principale qui souffre d'un manque certain de charisme. On ne connaît pas vraiment ses origines et son chara-design est loin d'être affirmé. Un article l'a comparait à Gally de Gunnm, sans doute pour le côté cyborg mais disons une sous-Gally alors... D'ailleurs, le personnage principal de ce premier tome n'est pas Lucja elle-même mais la forgeronne qui, par acquis de conscience, décide de réparer ses bras.

En somme, l'"entrée en matière de Lucja est un peu difficile avec un dessin plus ou moins réussie et une intrigue qui nous projette sans casque de protection dans une sorte d'uchronie médiévale un peu dur à digérer. Cela dit, ce premier tome se rattrape dans ses derniers chapitres et gagne en allure et en efficacité. Lecture à suivre dans le tome 2 pour savoir si Lucja a du mérite ou n'est qu'une bonne "fumée"sterie.

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Voila un shonen où nous avons pour personnage principal une jeune fille. de plus, c'est une jeune fille avec des bras fait de métal, qui se livre à des combats contre les plus grands et les plus forts. Ou en tout cas, elle essaie. Car après de nombreux combats, ses bras ne sont pas en très bon état et il lui faut trouver un.e technicien.ne.

Dans l'idée j'aime bien et je trouve que c'est plutôt prometteur. Mais pour l'instant, dans l'exécution, je n'ai que moyennement accroché. Les réactions de Lucja ne m'ont pas paru réaliste et je n'ai donc pas pu rentrer dans l'histoire. C'est dommage. J'espère que les personnages seront plus développés dans les prochains tomes. de plus, je ne suis pas trop fan du style de dessin. Mais bon, je garde espoir et j'attends de lire le deuxième tome pour savoir si je continue ou pas.

Je recommande à ceux qui recherchent un shonen un peu historique et plein de combats.

3/5
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Un manga uchronique se passant au XVe siècle en Pologne. Une Pologne où la vapeur et l'acier sont au coeur du système et donne le résultat suivant : des chevaliers se battant dans des armures à vapeur !!
Un univers particulièrement intéressant, pour ma part, où le médiéval se mêle au steampunk.

Cependant, quelques points noirs : l'héroïne a peu de caractère et la laisse assez fade ; et des soucis au niveau du dessin qui manquent de détails sur certaines scènes, même si d'autres sont plutôt pas mal.

Pour moi, c'est donc assez prometteur et ça n'attend qu'à s'améliorer. A voir sur les prochains tomes !
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Extrait :
Petit tome que j'avais depuis un moment dans ma PAL… j'ai appris récemment que la série allait se terminer avec son 4e tome, donc j'ai commencé à prendre la suite et à lire la série du coup. J'aime bien l'idée de la Pologne, ce n'est pas un pays souvent mis en avant dans un manga, et on peut rajouter aussi les machines à vapeurs si j'ai bien tout saisi. J'aime souvent les récits steampunk (Dragon Metropolis par exemple).

On commence direct l'histoire en plein combat entre Lucja et un autre chevalier. Il semblerait donc que la thématique du titre soit l'action et les combats… Quelques pages plus loin, viennent enfin les explications du pourquoi, du comment. Vous prenez des chevaliers (et tout le tintouin autours) et vous rajoutez des armures fonctionnant à la vapeur (aïe c'est chaud), et vous obtenez le point important de la série. N'oubliez surtout pas le côté misogyne des chevaliers également bien présents, notamment à coup de « les femmes savent pas se battre » etc… Lucja, la protagoniste est une femme, mais aussi une chevalière, ce qui apparemment est assez rare, et évidemment, mal vu par certains.

Elle ne se laisse pas faire pour autant, et réussie même certains de ses combats, faisant apparaître de nouveaux admirateurs à son égard, mais aussi beaucoup de détracteurs… Au final, l'intrigue se déroule en Pologne, mais aurait pu se dérouler partout ailleurs. Ou alors, je ne connais pas assez bien l'histoire du pays (c'est possible, je ne suis pas omnisciente) pour voir le lien. Bon, notre Lucja finie par avoir l'un de ses bras brisés (parce que oui, elle n'a que l'armure, comme une prothèse), elle finira par trouver quelqu'un qui voudra essayer de la réparer, car ce n'est pas gagné.

[...]
Lien : https://sunread26.wordpress...
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critiques presse (2)
Sceneario
26 octobre 2021
Pour l’instant, le livre n’est pas déplaisant, mais le scénario reste encore très factuel. L’intrigue se limite essentiellement à savoir si Lucy va réussir à réparer le bras de Lucja. Par ailleurs, cette dernière n’est guère charismatique pour l’instant. Elle parle peu, pleure beaucoup et fait simplement comprendre qu’elle veut se battre… Finalement, c’est surtout Lucy qui porte le récit par son caractère et sa volonté.
Lire la critique sur le site : Sceneario
BDGest
19 octobre 2021
Lucja, a story of steam and steel ne se forge pas une destinée d’exception, romanesque et probe. Le titre est conventionnel dans sa forme et sa narration est, au mieux, peu habile.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
- La fleur est toute fanée maître. Je peux la remplacer si vous le souhaitez.
- La remplacer ? Tu veux jeter une splendeur pareille. Tu ne saisis donc rien au charme d’une fleur en décomposition ? Tu ne vois pas la beauté qui émane du flétrissement de ses derniers instants ?!
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Le tournoi des chevaliers en armure vapeur rendus surpuissants par leur cuirasse gavée d’énergie thermique. Des guerriers s’affrontent pour décrocher le titre de « roi chevalier d’acier et de fumée ». Ce titre, synonyme du guerrier le plus puissant du monde, fait rêver. Tous ceux qui empruntent le chemin de la chevalerie au moins une fois dans leur vie.
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On dirait qu’il y a deux Lucja, celle de la vie de tous les jours et celle de l’arène.
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Estimer la force de l’adversaire est crucial pour tout guerrier qui se respecte.
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Pour vous chevaliers les engins à vapeur ne sont que des produits jetables ! Mais pour nous, ingénieurs ce sont comme des enfants dont il faut prendre soin.
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