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c'est , je crois, le 1er livre que je lis de cet auteur. Je le voyais examiner cet objet que je ne connaissais pas. Je sortis durant un moment de cet appartement. je ne pouvais imaginer le pire un assassinat. Je ne pouvais comprendre ce crime. j'aimais comprendre ce forfait. J'ai vu le film de nombreuse fois. Ce livre a été traduit par Madelaine Oeuvrard.
Le créateur ou le pigeon.avec Tarteill
ce texte a été traduit par R. Durand.
Le cap triangulaire où Murray Hobart était assis à son. bureau regardait ses timbres. puis il allait Reinier street. Thorvald Harding propriétaire de ce timbre. J'ai déjà lu cette nouvelle.
L'idole des jeunes
En haute fidelite Elle écoutait du jazz et Johnny Prince Molloy comme dans l'auteur irlandais James Joyce. Ce texte a été traduit par Nicolete et Pierre Darcis.
Un plat qui se mange froid : l'un s'appelait kenshaw un grand intellectuel, l'autre Lambert. Mackenzie descendit de l'ascenseur. Des chalumeaux oxhydriques étincelaient. le grand intellectuels à lunettes se leva d'un seul coup.
Engrenage: Paine l'imposte réussit
son coup de grippe-sou
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Auteur prolifique de centaines de nouvelles et romans dans les années 30,40 et 50, William Irish excelle à jouer avec nos nerfs avec un talent qui n'a pas toujours été reconnu à sa juste valeur, surtout au début de sa carrière.

Son style se caractérise par une description minutieuse et analytique des faits qui entretient un suspense insoutenable, et nous pousse à tourner les pages de ses intrigues avec une sorte d'urgence, une envie irrépressible de savoir si le héros va s'en sortir et de comprendre les rouages d'un meurtre annoncé. La vengeance et l'analyse psychologique des sentiments et des comportements sont des thèmes prédominants dans ses nouvelles angoissantes auxquelles William Irish ajoute souvent une bonne dose d'effroi mâtinée d'humour noir. Ses héros se font détectives et croisent bon nombre de tueurs psychopathes.
Hitchcock, François Truffaut et tant d'autres ne s'y étaient pas trompés, repérant plusieurs de ses oeuvres pour les adapter et en faire de véritables chefs d'oeuvres du film noir.

Ce recueil s'ouvre sur Fenêtre sur cour, nouvelle d'une quarantaine de pages qu'Hitchcock a magistralement adapté pour le cinéma en 1954.
Une autre nouvelle met en scène l'accident d'un ascenseur qui s'écrase au sol, aussi éprouvante à lire que l'avait été pour moi un récit d'A. Conan Doyle qui devait s'appeler Terreur ou Horreur en plein ciel avec l'ascenseur de la Tour Eiffel dont les câbles étaient sectionnés un à un par un tueur fou.
Mais si j'ai pris plaisir à les lires, ces nouvelles ne laisseront que peu de traces dans ma mémoire, contrairement à quelques uns de ses grands romans comme Lady Fantôme ou L'heure blafarde.

Challenge Mauvais Genres 2023
Challenge solidaire 2023
Challenge multi-défis 2023
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Fenêtre sur cour et autres histoires est un recueil de six nouvelles de l'auteur américain William Irish, pseudonyme de Cornell Woolrich (1903-1968). Ces nouvelles sont parus pour la première fois dans des magazines américains que l'ont appelaient des "pulps" : c'étaient des revues avec des histoires policières ou de sciences-fictions à très bas prix très populaires aux Etats-Unis au début du vingtième siècle.
Ces six nouvelles sont très originales, de vrais petits bijoux, très faciles à lire. La première de ce recueil, Fenêtre sur cour, a donné naissance ensuite au célèbre film d'Alfred Hitchcock.
William Irish est un auteur à découvrir absolument !
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Un recueil de 8 nouvelles dont Hitchcock a tiré certains de ses films. On y retrouve bien cette ambiance des années 50 où la police ne disposait pas encore des moyens d'aujourd'hui, notamment les traces ADN. Malgré tout, ces histoires sont captivantes, souvent en huis clos, au sein d'un même immeuble, où les apparences sont si trompeuses.
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Pour tous celles et ceux qui ont vu et apprécié le film d'Alfred Hitchcock « Fenêtre sur cour », la première nouvelle de ce recueil sera un très bon moment : c'est rythmé, c'est bien amené, c'est efficace. Toutefois, je tiens à préciser que les ajouts d'Alfred Hitchcock sont loin d'être négligeables : le personnage interprété par Grace Kelly n'existe pas dans la nouvelle de William Irish et est remplacé par une sorte de domestique maniéré façon Nestor dans Tintin ou docteur Watson dans Sherlock Holmes, qui n'a rien de très crédible. Donc, très bien joué M. Hitchcock, sur cette première modification.

Il y a une autre modification d'importance, à savoir que le protagoniste principal n'est pas photographe dans la nouvelle, or, c'est un élément scénique majeur dans le film. Et, là encore, moi qui ne suis pourtant pas toujours fan des interprétations qu'effectue Alfred Hitchcock des nouvelles ou des romans qu'il adapte à l'écran, il faut reconnaître qu'ici c'est un ajout positif et qui donne encore de l'intensité à l'histoire. Ceci explique, selon moi, assez bien le fait que le film était considéré à sa sortie et toujours depuis lors comme une grande réussite alors que les nouvelles d'Irish, sans être délaissées, n'ont pas non plus un succès délirant de nos jours.

Hormis cette nouvelle, que dans l'ensemble j'ai vraiment bien aimé, il me faut encore apporter une autre précision quant aux différentes éditions. On retrouve en effet quantité de variantes, toutes intitulées « Fenêtre sur cour et autres nouvelles » (ou histoires) mais dont les nouvelles constitutives ne sont pas forcément voire presque jamais les mêmes. En ce qui me concerne, je possède l'édition de la Découverte qui propose, outre la nouvelle titre, Un Plat qui se mange froid ; Pour le reste de sa vie ; Dans la gueule du lion ; Un Détective amateur ; L'Engrenage ; Divorce à l'américaine I & II ; L'Argent parle.

Dans l'ensemble, c'est un recueil assez solide mais dont les nouvelles autres que Fenêtre sur cour ne m'ont pas vraiment emballé. L'auteur tient souvent à faire en sorte qu'il y ait une pirouette finale ce qui n'apporte, selon moi, pas toujours grand chose, et surtout pas en crédibilité.

L'auteur utilise les vieilles recettes de la littérature policière, qui du suspense, qui du mystère, le tout agrémenté parfois d'un bon vieux compte à rebours des familles comme Dans la gueule du lion. Alors, il n'y a pas à dire, ça fonctionne à peu près, mais, en ce qui me concerne, ça ne m'embarque pas, je n'y crois pas trop, ça fait très " tiré par les cheveux ", très écrit.

Dans L'engrenage, par exemple, un pauvre brave type, poussé par le besoin, en vient à fomenter un genre de braquage de son ancien patron. Et puis, paf !, de pas de bol en pas de bol, tout part en vrille dans une surenchère meurtrière digne d'un tueur à gage pour finalement conclure sur une pirouette un brin coconne.

Dans Un plat qui se mange froid, un père cherche à venger et/ou à élucider la mort soi-disant accidentelle de son fils. Pour ce faire, il va imaginer une immense mise en scène que je considère hautement improbable. Ça fait une nouvelle, mais je n'y crois pas du tout, c'est un truc très artificiel, qu'on ne voit qu'au cinéma (ou dans les nouvelles d'Irish !). Pour Divorce à l'américaine, pareil et finalement, hormis la nouvelle titre, je trouve à toutes les autres un côté désagréable d'exercice d'écriture et pas forcément d'expérience de vie.

Certains lecteurs aiment bien la mécanique millimétrique d'un scénario, quitte à ce que l'ensemble paraisse peu vraisemblable. Moi, je suis beaucoup plus sensible à la vision de la vie que nous transmet un auteur au travers de ses personnages et des situations qu'il décide de nous présenter.

Voilà sans doute pourquoi, dans l'ensemble, j'ai une impression mitigée vis-à-vis de ce recueil. Ceci est bien évidemment à prendre avec beaucoup de pincettes car, tout cela dépend infiniment de votre sensibilité de lecteur au départ, comme je l'ai précisé plus haut. N'hésitez donc pas à consulter d'autres avis ou, mieux encore, à vous faire votre propre opinion en découvrant vous-même ce recueil.
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Ce livre comprend 5 nouvelles, chacune d'une quarantaine de pages

- Fenêtre sur cour
- Post-mortem.
- L'engrenage.
- Trois heures de l'après-midi.
- Cauchemar.

Fenêtre sur cour est désolément décevante par rapport à l'inoubliable film d'Alfred Hitchcock.

Lien : https://www.babelio.com/livr..
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bof bof bof pour ce recueil de nouvelles dont seule la première m'avait vraiment attirée, j'avais entendu parler du film et généralement j'utilise les nouvelles pour voir si le film pourrait me plaire mais cette fois-ci ça ne sera pas le cas. C'est braiment trop court pour se faire une idée et les 6 autres nouvelles sont également trop brève pour apprécier le talent de l'auteur.
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