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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
A l'heure où pas mal d'auteurs de BD rament pour faire 48 pages en 2 ans la concurrence est rude face aux auteurs de comics qui vont la même chose en 2 mois et face aux auteurs de mangas qui font la même chose en 2 semaines. Face à ce problème les éditions Soleil continue sur leur lancée avec une nouvelle collection thématique enquillant les stand-alone selon le principe du « temps qu'on gagne, on joue »... La Terre est condamnée et ne peut plus abriter l'humanité parce que les élites de celle-ci ont été suffisamment stupides pour s'en remettre les yeux fermées à la doxa hypercapitaliste de la croissance infinie dans un monde fini, duc coup 5 flottes se dirigent vers 5 exoplanètes qui sont autant de colonies potentielles pour ce qu'il reste de l'humanité (et évidemment faute de remise en cause tout est appeler à recommencer). L'inévitable plotmaster Jean-Luc Istin est une fois de plus aux manettes, et nous savons désormais tous et toutes qu'il est capable du bon comme du moins bon : j'imagine déjà par avance les bonnes voies qu'il ne suivra pas pour développer la série ^^

Dans ce tome 1 intitulé "Islandia", tout est raconté du point de vue de l'Oberlieutenant Kirsten Konig chargée d'établir un premier contact entre l'humanité avec les aliens de l'exoplanète Islandia après 300 de cryosommeil : les hommes de terrain font tout pour les événements se déroulent sans trop d'accrocs, mais l'amiral Ragnvald Hakarson lui fait tout pour brusquer et accélérer le choses au mépris du bon sens le plus élémentaire (c'est l'éternel opposition entre les êtres humains bien conscients de la complexité de la vie, et les managers à la con et autres petits marquis de mes couilles persuadés que la réalité doit plier à leurs volontés... Monde de Merde again !). L'autorité à chier (plénonasme) ordonne la colonisation à marche forcée, mais les destructions se multiplient sur Islandia puis dans la flotte. Évidemment on accuse les aliens pacifistes et low-tech d'actes terroristes de haute volée, mais si le doute est permis sur la destruction des nouvelles colonies plus personne ne croit aux bobards des autorités après la destruction du vaisseau dénommé Smaug... Mais qui croire puisque que l'amirauté cache des choses, que l'équipe scientifique cache des choses, que l'IA de la flotte Freya cache des choses et que les aliens d'Islandia cachent des choses. Sans compter que l'Oberlieutenant Kirsten Konig ne peut même pas se fier à elle-même car elle est victime d'hallucination depuis sa sortie d'hibernation !
Malgré les clins d'oeil à Arthur C. Clarke / Stanley Kubrick et aux frères Arcadi et Boris Strougatski, on est pile-poil entre l'"Avatar" de James Cameron et le "Crawlspace" de Justin Dix... Je suis persuadé que tout le monde connaît le premier, mais je vous complètement le plaisir de la découverte concernant le second ! Pour tout le reste j'ai beaucoup aimé mais ce tome a les défauts de ses qualités : comme dans la série "Androïdes" nous sommes dans un pot-pourri, de qualité certes mais un pot-pourri quand même... le récit fait 78 pages, mais le relation-ship drama aurait pu être plus étoffé : OK pour la maman bimbo et badass (héritage Ellen Ripley ^^), mais quid de Johannes Hartmann son amant (qui a quand même droit à un tragique moment de gloire) et des Dirty Dozen placés sous ses ordres ? Et de la même manière le rôle et le background des aliens avaient matière à être plus étoffés, et c'est d'autant plus dommage, qu'on consacre finalement pas mal de cases à du pure fanservice plus ou moins boobesque. Après je n'ai pas compris le gros délire autour du design pro-reich : la SF japonaise adorent recourir aux Allemands dans l'Espâce pour pointer du doigt l'impérialisme et le militarisme sans remettre en cause leur propre histoire, mais là entre IIe et IIIe Reich ou on est carrément dans le german friendly voire le national-socialisme friendly (peut-être que les tomes suivants apporteront des éléments d'explications, mais je n'y crois guère ^^).

Les graphismes assurés par Zivorad Radivojevic aux dessins et Eber Evangelista aux couleurs sont dans le mainstream de qualité qui caractérisent les éditions Soleil, mais alors là vraiment de qualité grâce aux doubles pages qui dégagent une véritable classe. Sans doute des artistes dont il faudra suivre la carrière...
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Deuxième livre terminé de l'année et c'est encore une BD. C'est les très chouettes avis de Patrick (Patlancien) sur les premiers tomes de cette série en 2022 qui m'ont donné envie de découvrir cette dernière. La médiathèque près de chez moi possède tous les tomes, donc je n'avais aucune excuse pour ne pas me lancer au moins dans le 1er cycle un jour ou l'autre.

Le principe est assez simple : la Terre a été totalement dévastée par l'Homme et est devenue inhabitable. Pour survivre, l'humanité, désormais divisée en cinq armadas de vaisseaux, doit conquérir des exoplanètes. Si j'ai bien compris, chaque tome peut se lire indépendamment et on suit dans chacun d'eux une armada tentant de conquérir une exoplanète.

Dans ce tome, c'est l'exoplanète glacée Islandia qui est le centre de convoitise des Humains. Pas de chance pour la seule race d'autochtones vivant déjà sur place… Pas besoin de vous faire un dessin, on devine dès les premières pages l'essentiel de l'intrigue. Clairement, Jean-Luc Istin ne fait pas vraiment dans la dentelle au niveau de son scénario. C'est du déjà-vu, et s'avère globalement être tout sauf original. Je pourrais faire la même remarque au niveau des personnages. le tout manque de subtilité et de profondeur. La seule chose qui aurait pu ajouter un peu d'intérêt à tout cela était le fameux peuple autochtone vivant sur place, mais on le voit finalement tellement peu sur les 62 pages de la BD que c'est plus frustrant qu'autre chose et cela d'autant plus que le peu qui nous en est présenté donne envie d'en savoir plus.

Néanmoins, malgré ces critiques, la BD fonctionne bien. Les planches sont assez belles et le tout s'avère très agréable à lire. Par ailleurs, malgré le manque d'originalité du scénario, je serai un menteur en disant ne pas l'avoir apprécié. C'est certes classique mais s'avère tout de même accrocheur et très efficace. Pour une lecture détente se lisant d'une seule traite, cela fait très bien le job.

Clairement pas la lecture du siècle donc, sans être mauvaise pour autant, j'ai passé un bon moment avec cette mise en bouche, même si j'espère être plus surpris par les scénarios dans les prochains tomes et que cela ne tournera pas trop en rond.
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J'ai joué mon blasé sur ce coup-là.
Tout au long du récit, je n'ai pas pu me départir d'un sentiment de convenu, de réchauffé, de récup'.
C'est simple, l'effet du tome 1 de Conquête est très proche de celui que m'a fait Star Wars VII : on reprend ce qui a marché, on mâchonne un peu et ça passe.

Il y a indéniablement du Star Wars dans cet album : dans le design des uniformes, dans certains « tanks sur pattes » entre autres. Il y a aussi de l'Avatar.
En général la variation sur le thème ne me gêne pas trop. Je lis ce genre de récits, souvent avec plaisir. Ici – allez donc savoir pourquoi – ça m'a agacé. Trop d'attentes peut-être.

C'est convenu, mais honnêtement ça n'est pas mauvais pour autant. Les dessins de Radivojevic, très marqués ordinateur, sont plutôt chouettes. L'histoire, manichéenne avec de vrais gentils et de vrais salops, tient bien la route. L'élément "mythologie nordique" m'a plu. Le scénario d'Istin, malheureusement, ne s'éloigne pas de l'attendu en ce qui concerne le traitement de la colonisation (beaucoup d'Avatar, comme je disais). Pas vraiment de surprise, dommage.

Je ne suis pas assez convaincu pour poursuivre l'aventure. Tant pis.
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Les éditions Soleil se lance dans une nouvelle série : Conquêtes. Cinq tomes de prévu pour cinq histoires se déroulant sur cinq planètes.
Le lien : La Terre a subit une fin du monde tragique et pour sauver l'humanité cinq convois partent à travers l'espace vers une planète colonisable.
Pour ce premier tome : Islandia, une planète de glace où quelques rares autochtones vivent sans technologie apparente. Les terriens, une colonie entre inspiration nordique et IIIe Reich, va débarquer sur la planète avec ses gros sabots et se croire tout permis au nom de la colonisation et de la survie de leur groupe.
Si le scénario n'est pas très original, il reste bien construit et plaisant à lire. Notre héroïne fait partie du groupe d'intervention sensé entrer progressivement en contact avec les autochtones et préparer le terrain pour la colonisation. Hélas ses dirigeants vont vouloir à tout prix aller au plus vite, quitte à "bruler" les étapes et à "cramer" quelques aliens au passage... Derrière cela on découvre quelques manipulations génétiques et expériences douteuses au mépris de toute éthique.
La BD fait 72 pages, ce qui est plus que la "norme", mais elle aurait encore pu être plus épaisse tellement certains éléments aurait pu être plus développé comme le rôle des islandiens qui restent malgré tout assez effacés dans l'histoire.
En prime une fin plutôt porteuse d'espoir pour l'humanité, ça fait du bien!
Niveau dessin on reste dans le classique de soleil mais il faut bien dire que c'est réalisé avec soins et force est de constater qu'il n'y a pas grand chose à en redire.
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Je ne suis pas une grande fan de science-fiction, mais de temps en temps ça fait du bien, surtout quand la lecture est aussi bonne.
L'histoire est assez classique mais diablement efficace, et assez dense et longue pour ne pas avoir l'impression de déjà-vu ou de survoler le récit et les valeurs qu'elle transmet. Car en plus de nous faire voyager, de nous distraire et de nous faire passer un bon moment, cette BD nous questionne sur notre relation aux autres peuples, à la nature, à notre planète, avec un message écologique, sans trop en faire, sans être moralisateur. Et on peut très bien ignorer ces petits messages et juste nous laisser porter.
Actions, rebondissements, révélations jusqu'à la dernière page, de quoi nous tenir intéressés jusqu'à la fin.
Les personnages ne sont pas spécialement un point fort. Kirsten Konig est une femme forte, qui ne se laisse pas faire. C'est agréable. Elle a un côté touchant et attachant. Mais elle est aussi froide.
Les dessins sont classiques, agréables et efficaces avec une belle colorisation.
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Merci à Babelio et aux Editions Soleil pour cette Masse Critique ! J'ai en ma possession quelques tomes de la série Elfes, également de Jean-Luc Istin, dont le concept est très similaire. Conquêtes va suivre l'arrivée des humains sur 5 planètes différentes sous la forme d'une anthologie suite à la destruction de la Terre.

Dans ce premier tome, c'est la planète glacée Islandia qui est mise à l'honneur ! Les humains qui débarquent pour la coloniser appartiennent aux peuples nordiques et oscillent entre culture nordique aux nombreuses références mythologiques, ce qui est fait un fond assez original et intéressant. Ils ont également un petit côté IIIe Reich.

Le scénario en lui-même est assez classique : les humains s'installent sur une planète peuplée d'autochtones sans beaucoup de technologie et décide de prendre possession de l'endroit par la force au lieu de partager les richesses et les lieux. D'avatar en passant par Pocahontas, pas de grande révolution de ce côté. Mais l'histoire se laisse lire grâce à ses concepts bien trouvés, de bonnes références culturelles (coucou le monolithe) et des dessins de très bonne qualité et immersifs.

Le personnage principal, Kirsten Konig, est réussie en militaire badass un peu rebelle. C'est aussi une mère célibataire, ce qui est un élément appréciable. le seul problème que j'ai avec cette série est la sexualisation outrancière des personnages féminins comparée avec la présence des personnages masculins (nous voulons des hommes nus, bondiou). Les autres personnages tiennent la route, même si parfois à peine effleurés, mais parviennent à atténuer l'aspect manichéen dont l'histoire aurait pu se parer avec excès.

Une bande-dessinée sympathique pour les amateurs de SF militaire et de planet opera. Dessins réussis, histoire qui tient la route, contexte convaincant, Islandia est un bon premier pas pour cette nouvelles série de Soleil.
Lien : https://lageekosophe.com/
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Je ne suis pas grand fan des séries commerciales de chez Soleil dans lesquelles officie Jean-Luc Istin, du coup je ne connais pas le travail de ce scénariste. Pourtant le concept de cette série annoncée en 5 tomes me paraît alléchante: une planète à coloniser par album, un contexte différent, des personnages différents. Avec une très percutante couverture et un petit truc dans le dessin, cela m'a suffit pour entrer dans l'histoire.

La flotte arrive enfin en orbite d'Islandia après des milliards de kilomètres et trente années de cryosommeil. Une flotte de colonisation. Une planète habitée par des indigènes pacifiques. Mais très vite pour l'oberleutnant Konig quelque chose semble clocher dans cette arrivée. Commence une enquête pour découvrir une conspiration qui va remettre en cause ce voyage sans retour...

Islandia, le premier tome d'une nouvelle série de SF militaire est une très agréable surprise dont je n'attendais pas tant, ayant commencé la lecture surtout pour les dessins de Zivorad Radivojevic. Je découvre cet illustrateur qui a, malgré quelques failles techniques de perspectives, une patte très intéressante qu'il faudrait voir en noir et blanc pour apprécier plus précisément son dessin (la couleur n'est pas honteuse mais très informatique, elle donne cet aspect interchangeable qu'ont beaucoup de comics et de BD de chez Soleil).

Le premier aspect novateur est dans le choix d'une culture germanique à cette flotte de colons avec un design très réussi vaguement inspiré de l'armée du troisième Reich. Istin évite la fausse bonne idée de calquer des idéaux nazis sur cette armée, qui a simplement le comportement classique de toute armée de conquête envoyée là après ce qu'on comprend avoir été un Armageddon sur terre... Aucune information directe de contexte, du pourquoi de la présence de cette flotte mais le scénariste distille quelques miettes qui laissent penser que le contexte général prendra forme à mesure de la lecture des cinq one-shot de la série. J'aime bien l'idée d'un univers cohérent dans lequel nous assistons à des histoires séparées (un peu ce que fait Fred Duval sur ses séries SF). Istin a construit cela avec ses séries fantasy depuis pas mal d'années et a donc de la bouteille.

L'histoire de cet album, après le réveil des militaires et le premier contact du lecteur avec l'héroïne, nous plonge rapidement dans une sorte d'enquête policière entre l'Oberleutnant Konig, son compagnon et l'IA de la flotte. Pas mal de concepts intéressants sont proposés (comme cette IA qui est tout sauf la voix de son maître!) et l'ensemble des personnages secondaires sont étonnamment développés quand on aurait pu s'attendre à des archétypes de jeu vidéo. Istin accorde un vrai rôle à chacun (l'héroïne est très réussie en mère acariâtre et Badass) et malgré l'intrigue nécessairement assez simple du fait du format one-shot, on apprécie les dialogues. La relation avec les autochtones ne propose guère plus de choses que depuis Aquablue (à savoir une vision écologiste face à une société technologique d'invasion) mais pas de faute de gout non plus. le fin mot de l'intrigue m'a semblé un peu tiré par les cheveux et surtout en décalage avec une ambiance techno-réaliste sur la plus grande partie de l'album. Rien de risible mais l'effet Slasher vu dans une majorité de films de SF se retrouve malheureusement ici.

On reste avec un album très grand public de très bonne facture et dans la moyenne haute pour un produit aussi formaté. de quoi donner envie de lire les autres volumes de la série, pour peu que le niveau graphique soit aussi bon que sur Islandia.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Istin aux commandes d'un récit d'anticipation ça donne un généreux petit thriller SF de 78 pages compilant des références à Tolkien, à la mythologie scandinave, au design armée allemande 2nde GM ainsi qu'au cinéma SF et ce dès la 3e page :)

Des Germains futuristes surarmés et bas du front débarquent donc sur Islandia, nouvel Eden de l'humanité peuplé d'indigènes au premier abord primitifs, mais évidemment rien ne se passe comme prévu.

Le scénario est assez basique, vu et revu mais tout de même bien construit et accrocheur. Istin n'invente rien mais recycle efficacement en utilisant suffisamment de matière pour que le tout tienne la route.

Les dessins sans être extraordinaires sont assez classes, Radivojevic se débrouille plutôt bien dans l'espace.

Seuls regrets :
- Les autochtones ne bénéficient pas d'un super développement puisque nous ne savons au final pratiquement rien d'eux.
- La fin trop vite expédiée.

Présentée à la manière de Elfes et autres spin off, à la fois au niveau de la construction de l'univers et de la couverture, la série aux plumes et crayons multiples, comptera 5 albums (pour l'instant...).
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Les éditions soleil continus leur lancée dans une nouvelle saga à l'instar d'Elfes, Nain etc et se lance dans la science-fiction. Conquêtes propose comme les précédents un univers avec cinq planètes bien que ce format est du succès j'ai arrêté de lire Elfes non pas que cela ne m'intéresse plus mais je voulais m'orienter vers d'autres univers, et aimant la science-fiction mais n'étant pas un immense passionné, j'ai tenté ce premier tome.

Notre premier voyage nous emmène sur Islandia, préparez vous à sortir les vêtements chauds, cette planète n'est pas la plus chaude de la galaxie, nous faisons la connaissance de Kirsten Konig protagoniste principale de ce tome qui sera malgré elle un élément moteur de la civilisation d' Islandia. Comme souvent le principe reste souvent le même l'homme qui veut conquérir, veut s'accaparer tout le territoire et tout coloniser c'est vrai que cela manque d'originalité mais l'histoire révèle des rebondissements et on se laisse porter par l'aventure de plus c'est aussi Kirsten qui fait la force de ce premier tome et les dessins sont clair et agréable à l'oeil.

Un premier tome prometteur espérons que les tomes suivant resteront dans cette même optique
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Premier tome d'une saga de 5 albums (initialement), Islandia frappe fort. Colonisation, abus de pouvoir, combats spatiaux, race extra-terrestre inconnue… 78 pages complètes qui entraînent le lecteur dans une quête infinie. Un début somme toute classique (réveil dans un vaisseau spatial, émergence auprès d'une race alien…), l'intrigue poursuit le cheminement habituel dans ce type d'univers (découverte / retournement de situation / tuerie de masse). Les dessins font le reste. Les auteurs misent plus sur l'action que sur des moments de tendresse, mais ils y vont avec force et talent. Quelques petites longueurs/redondances parsèment le récit, mais ne boudons pas notre plaisir. Islandia est un premier tome plein de charme, de suspense, à défaut de surprises.
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