Le dernier paradis est un peu différent des autres jeury que j'ai pu lire en ce sens qu'il est moins "littéraire" ou du moins poétique que les autres sur la forme (il n'y a pas d'éxpérience de langage comme dans le soleil chaud, ni d'homme serpent. L'histoire y est moins existentielle pour ne pas dire moins barrée que dans le cycle des colmateurs) et l'action y est plus présente en particulier sur les dernières scènes qui sont plus riche en combats.
C'est un livre que je trouve assez actuel et peut-être visionnaire: les hommes ne pensent pus qu'à s'amuser et finnissent par être abrutis et perdrent leur conscience. je vais ouvrir un aparté étymologique qui va vous éclairer le propos de ce livre: le mot ludique vient des Lydiens dont la soumission au 4ème siècle avant JC par les perses fut facilité par la multiplication des salles de jeux et des lupanards.
Il y a toutefois des images assez fortes dans ce livre, un des personnage absorbé par le jeu va s'envoler dans une montgolfière jusqu'à mourir nous ne sommes pas loin du mythe d'un Icare grisé part l'altitude et la vitesse.
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