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sur 889 notes
Ce polar islandais entre dans la catégorie policier psychologique en lieu quasi fermé. le lieu fermé ici est une petite bourgade islandaise, Siglujördur. Ancienne capitale du hareng, cette petite ville est à l'extrême nord de l'Islande. Un lieu où l'hiver dure et entraîne de longues journées sans soleil. La ville est si petite qu'elle ne compte que deux policiers opérationnels.
L'un d'eux, Ari Thor vient de voir la promotion qu'il espérait lui filer sous le nez. Son nouveau chef, Herjolfur, se fait tuer d'un tir de fusil de chasse à la sortie de la ville. Un événement jamais vu en Islande. Ari Thor doit alors tenter de trouver le coupable, sous la direction de son ancien chef Tomas, rappelé du sud de l'île en urgence.
Empêtré dans sa relation de couple, alors que sa femme le délaisse, Ari Thor va devoir fouiller les petits et grands secrets des habitants. Petites magouilles politiques, mini trafic de stups, violences conjugales, Siglujördur est un endroit bien moins calme qu'il y paraît.
Ragnar Jonasson avance précédé d'une flatteuse réputation. L'engouement pour le polar nordique doit y être pour beaucoup, car ce roman, quoique bien construit, n'est pas renversant. Jonasson décrit bien les turpitudes des uns et des autres et leur profils psychologiques parfois inquiétant. Le thème principal est vite perceptible, et conduit de façon anticipée à la résolution du crime. Tout cela est donc plutôt bien fait, très dépaysant, mais pas inoubliable.
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Après avoir lu Snjór, le premier roman de Ragnar Jónasson, je me suis plongée avec un véritable plaisir dans la lecture de Mörk. Dès les premières pages, l'auteur nous ramène en Islande du nord, dans la ville la plus proche du cercle polaire, au pied des fjords. Si dans son premier roman, Ragnar Jónasson nous a embarqué dans cet univers froid, fermé et où il neige sans discontinuer durant la période hivernale, c'est dans le noir total que se déroule cette nouvelle intrigue.
Paru sous son titre original "Nattblinda" qui signifie "cécité nocturne", le livre est traduit en anglais puis en français sous le titre "Mörk" (frontières). En Islande du nord, à l'approche de l'hiver, le pays bénéficie de longs crépuscules, et vers la mi-novembre il y fait totalement nuit durant 2 mois. Jusqu'en janvier, la population est plongée dans l'obscurité 24h/24. Les islandais ont surnommé cette période "la déprime des journées courtes" et c'est dans ce contexte que se déroule l'intrigue.

Pour rappel, dans Snjór, Ari Thór, jeune diplômé de l'école de police, postule pour un poste à Siglufjórdur, ville où "il ne se passe jamais rien". La seule façon d'y accéder côté terre : par un tunnel creusé directement dans la montagne. Sa fiancée, Kristin, avec laquelle il vit à Reykjavík termine ses études de médecine et refuse de le suivre dans cet endroit si reculé. Mais, peu de temps après son installation, un vieil homme décède suite à une chute dans le théâtre local et une femme est retrouvée à moitié nue dans la neige. A côté de cela, la neige tombe sans cesse à Siglufjórdur, et l'accès au tunnel reste fermé. On ne peut ni entrer, ni sortir de la ville. C'est alors que commence pour Ari une enquête policière avec Tomas, le chef de la police locale, qui ne le prend pas au sérieux.

Dans Mörk, nous nous retrouvons cinq ans plus tard. Ari Thor est aujourd'hui installé à Siglufjördur avec sa compagne Kristin et leur enfant Stefnir.
C'est durant son arrêt maladie que son nouveau collègue se fait tirer dessus alors qu'il effectue la surveillance d'une vieille maison inhabitée en bordure de forêt suspectant la présence de trafiquants. Entre la vie et la mort, Herjólfur est transféré à l'hôpital de Reykjavík. C'est alors que Tomas, fraîchement muté dans la capitale, revient prêter main forte à Ari dans le déroulement de l'enquête.
Les deux enquêteurs vont alors tenter de mener leur enquête dans la petite communauté de ce petit port de pêche où il ne se passe soi-disant jamais rien.
Au fil de l'intrigue, nous ferons connaissance de l'épouse et du fils de Herjólfur, mais aussi de Gunnar, le maire, et de son assistante Elin. L'auteur nous met sur plusieurs pistes tout au long de l'enquête et nous découvrirons des secrets parmi les habitants. Ari tentera de percer l'histoire de la vieille bâtisse et de ses anciens occupants.

L'écriture est si fluide qu'elle happe le lecteur. Entraînée dans l'histoire, je n'ai pas vu le temps passé. Les chapitres sont courts et alternent entre le récit de l'enquête et des passages manuscrits d'un journal tenu par un inconnu interné en hôpital psychiatrique. Quel est le lien ? Comme parfaitement indiqué en quatrième de couverture, peut-être faudra-t-il aussi "écouter cette voix qui murmure, enfermée derrière les cloisons d'un hôpital psychiatrique, et qui tient peut-être la clé de l'énigme".

Mörk est un roman policier qui se déroule au pays des fjords, où l'intrigue est rondement bien menée, dans le moindre détail, jusqu'à la fin du livre. J'ai adoré !
Ragnar Jónasson a le talent de nous faire tourner les pages les unes après les autres, sans pouvoir s'arrêter.

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Ca y est, je me suis fait avoir dans le méli-mélo des éditions françaises. Pensant lire le quatrième tome de la série Dark Island, je me rends compte que j'aurais dû lire Vik avant Mork, qui est en fait le cinquième. Qu'à cela ne tienne, ce tome peut très bien se lire indépendamment des autres, les seules références au passé étant le retour de Tomas pour aider à l'enquête et quelques allusions au couple qu'Ari Thor forme avec Kristin, et à la naissance de son fils l'année précédente, mais c'est vraiment très léger (sans doute parce qu'on en parle assez dans le tome précédent...). Nouvelle enquête à Siglufjordur pour Ari Thor, donc, qui vient de voir le poste d'inspecteur lui filer sous le nez, au profit d'un nouvel arrivant. C'est précisément l'agression de ce nouvel inspecteur, dans l'exercice de ses fonctions, qui est le départ de l'affaire. Encore une enquête agréable à suivre, avec des ramifications dont on se demande tout au long de la lecture lesquelles mèneront au dénouement de l'intrigue. Ragnar Jonasson, une valeur sûre.
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Un policier est abattu alors qu'il faisait sa ronde. Avec l'aide de son ancien collègue, Ari Thòr va mener l'enquête et mettre au jour les secrets de certains habitants de Siglufjödur.

J'ai trouvé ce tome 6 en boîte à livres et comme il semblait qu'il pouvait être lu indépendamment, je n'ai pas pris la peine de me procurer les précédents. Après lecture, je peux vous dire qu'on comprend parfaitement ce qui se passe dans cet opus même si on n'a pas lu les autres. Mais on passe à côté de tout ce qui concerne l'évolution des personnages et des relations entre eux. Il y a des rappels, mais les références au passé ne sont pas détaillées. Donc si la série vous intéresse, commencez absolument par le tome 1.

Pour être franche, je n'ai pas grand chose à dire sur ce bouquin. C'était une lecture sympa sur le moment, mais pas super marquante. C'est du policier nordique classique. le côté huis-clos a bien fonctionné avec moi, comme toujours, le reste n'était pas assez original ou approfondi pour que j'en garde un grand souvenir. Moins de 300 pages, ça va très vite. Ceci dit, il n'y avait probablement pas de quoi faire plus ou mieux avec ce qu'on avait à se mettre sous la dent.
Lien : https://bienvenueducotedeche..
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Mörk ça rime avec beurk.
Bon d'accord, c'est de la mauvaise poésie je sais, mais puisque je parle d'un mauvais livre j'ai le droit, non ?

Et pourtant ce polar a reçu pas moins de trois prix littéraires, c'est à n'y rien comprendre ! J'en reste baba et je me demande quel est le montant des chèques encaissés par les jurys - peut-être que si on me donne la même chose je changerai moi aussi mon fusil d'épaule… Non ? Sûr ? Bah tant pis, alors j'le descends !

Déjà, avant de commencer, je dois dire que j'en ai marre des jeux de mots à la con de certains journaux (torchons ? brouillons ?) : “une énigme criminelle qui ne vous laissera pas de glace”, “un polar froidement efficace”, typiquement des phrases qui habituellement me font fuir. Hélas je ne l'ai vu qu'après. Merde, je préfère encore regarder La reine des neiges en mangeant un fjørd (et pourtant je n'aime pas les yaourts) !

Pourquoi avoir lu ce livre alors, vous avez raison de demander. Eh bien pour tout dire, je n'avais rien lu dessus, jamais entendu parler, je rodais comme une âme en peine à la médiathèque espérant dénicher une petite lecture sympa pour le week-end quand je suis tombée sur ce Mörk et en même temps - il faut le dire - tombée dans le panneau.
Parce que j'aime bien les polars nordiques. Normalement. Je suis fan d'Erlendur Sveinsson, le héro d'Indridasson. Et comme je ne suis pas monogame, je voulais bien en essayer un autre.
Parce que j'aime bien l'Islande. Et ça ça reste vrai, d'ailleurs la seule chose que j'ai aimé dans ce roman c'est l'endroit où ça se passe (évidemment, ça ne suffit pas).

Voilà déjà deux bonnes raisons de choisir un bouquin non ? Sauf que là c'était une fausse bonne idée. J'ai détesté le (ou l'absence de) style, j'ai halluciné devant la nullité de l'intrigue (j'ai deviné le fin mot de l'histoire pratiquement dès le début), les ficelles sont grossières, les personnages inconsistants. Bref, capital charme, zéro, capital empathie, zéro et capital suspense, zéro. Et ça, pour un polar, c'est ballot.

L'Islande n'a pas livré tous ses secrets nous annonce-t-on en grande pompe sur la couverture, eh bien heureusement j'ai envie de dire ! Des secrets comme ça, faut se les garder. On ne m'y reprendra plus, beurk !
Lien : http://tracesdelire.blogspot..
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Second volet de la trilogie de Ragnar Jonasson. Ari Tor doit faire face à l'assassinat de son supérieur, retrouvé devant une vieille maison au bord du village enneigé.
Brûle, neige, protagonistes du présent et du passé : tous s'enchevetrent sans que l'on sache encore de quelle manière.
Ce polar nordique dépeint parfaitement l'atmosphère apparemment tranquille de l'Islande, pays où le taux d'incidents et de crimes est très bas.
Mais est-ce pour autant le pays où il fait bon vivre ?
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C'est le deuxième roman de cet auteur que je lis.
On se retrouve au nord de l'Islande dans la petite ville de Siglufjördur où, en général il ne se passe rien et la sécurité est telle que les habitants ne ferment même pas leur porte à clé.
On retrouve le jeune policier Ari Thor qui, depuis un an maintenant, s'est plutôt bien intégré dans cette ville.
Sa compagne, Kristin, s'est maintenant installée avec lui et exerce comme médecin dans une autre ville. Ils ont un petit garçon mais Kristin se pose des questions sur ses sentiments à l'égard d'Ari Thor.
Dans cette ville si calme et paisible, un flic va se faire tuer alors qu'il enquête dans une maison abandonnée où il y aurait des trafics de drogue. La population locale n'en revient pas et un ancien flic, Tomas, revient pour aider Ari Thor à mener l'enquête le plus rapidement possible.
Petit à petit, les deux hommes vont découvrir les secrets de certains habitants.
En parallèle, on lit aussi le journal intime d'un patient d'un hôpital psychiatrique.
Le thème principal de ce roman c'est aussi la violence, notamment celle exercée contre la femme, au sein du couple.
Au final, c'est un bon moment de lecture, je lirai avec plaisir un autre volume de cette série.
Cela vaut plutôt pour l'atmosphère, le dépaysement géographique, davantage que pour le suspense.
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Cinq ans après l'action de Snjör, le deuxième thriller de Jónasson trouve Ari Thór abandonné pour le poste d'inspecteur dans la petite ville islandaise de Siglufjördur, un revers atténué par ses retrouvailles avec sa petite amie, Kristín, et la naissance de leur fils, Stefnir. Lorsque Herjólfur, l'homme qui a obtenu le poste d'inspecteur, meurt après avoir été abattu à bout portant par un fusil de chasse près d'une maison abandonnée, l'ancien supérieur d'Ari Thór, Tómas, supervise l'enquête. Ari Thór et Tómas marchent sur la pointe des pieds alors qu'ils suivent des pistes pointant vers le maire de la ville, Gunnar Gunnarsson; les enregistrements téléphoniques montrent que Herjólfur a appelé Gunnarsson tard dans la nuit peu avant l'attaque. Les dires du du maire selon laquelle la conversation portait sur la circulation semblent invraisemblables. Ari Thór commence à se sentir comme un "étranger dans un endroit où tout le monde était connecté et où personne ne pouvait faire entièrement confiance". Jónasson plante des indices juste avant une révélation inattendue et dévastatrice...Tout cela dans cette petite ville de l'extrême nord de l'Islande, Siglufjördur, port de pêche, en particulier du hareng, dans ce fjord encaissé entre des sommets qui peuvent atteindre Mille mètres, ce qui a permis la tranformation de la ville peu à peu en une station de ski.
Si vous aimez le ski hors des sentiers battus, c'est une belle destination, attention toutefois, L'Islande est un pays très cher...


Hélas, ce livre a été traduit de l'Anglais (vraisemblablement avec Google traduction), le résultat est épouvantable.
Regardez avant de prendre un livre étranger, s'il a bien été traduit de la langue d'origine - d'autant que dans le cas de l'Islande, nous avons de très bons traducteurs...
Lien : http://holophernes.over-blog..
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Je n'ai pas été très emballée par cette lecture. J'ai trouvé l'enquête un peu molle, les personnages fades et on devine assez facilement la fin. Bref je crois que le livre bénéficie plus de la vague des polars nordiques que de réelles qualités littéraires.
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J'ai adoré Snjór, et la suite des aventures islandaises d'Ari Thór m'attendait sagement dans ma bibliothèque, alors, je n'ai pas résisté bien longtemps à la tentation.

La quiétude de Siglufjördur est troublé par une nuit d'hiver. Un inspecteur de police est assassiné alors qu'il enquête au abords d'une maison en ruines. Son collègue Ari Thór mène l'enquête dans une communauté pourtant réputée sans histoire. Une fois de plus, il faudra reconstituer toutes les pièces du puzzle et lever le voile sur certains secrets.

Cette fois encore, je suis pleinement convaincue par l'atmosphère feutrée de ce petit village islandais. le froid étreint la ville, étouffe les bruits, les cris, recouvre d'un manteau blanc les secrets honteux et laisse nos enquêteurs face à une étendue immaculée qu'il va falloir retourner, fouiller, pour mettre à jour la vérité. Cette atmosphère est reconnaissable entre mille et apporte comme un cocon douillet à l'enquête, un cadre dans lequel j'ai adoré me glisser. Alors, une fois de plus, les amateurs de polar trépidants, menés à vive allure, seront sans doute déçus. Les choses se font lentement, doucement, pas à pas, comme craignant une avalanche, mais pour autant, le lecteur ne s'ennuie pas, et c'est là le tour de force de cette narration!

Deux fils narratifs coexistent. le présent d'Ari Thór et de Tómas, et d'étranges chapitres écrits en italique, qui se déroulent dans un hôpital psychiatrique. Durant un très long laps de temps, ces deux fils restent radicalement séparés, et cela a attisé ma curiosité. Peu à peu, nous comprenons le problème de la personne en question, mais l'opacité avec l'affaire qui occupe nos enquêteurs perdure. J'ai adoré cela : je n'ai pas vu venir les révélations sur la personne concernée, et l'explication de son comportement est tout à fait crédible. Les révélations jouent pleinement leur rôle dans la résolution de l'enquête et apportent un vrai plus au récit. J'ai également apprécié la ligne narrative principale : j'ai aimé retrouver Ari Thor car c'est un personnage infiniment humain. Il fait des erreurs, fait l'autruche quand il se sent perdu, sa vie amoureuse est une fois de plus… compliquée! D'ailleurs, sa compagne m'a profondément agacée dans ce roman. Si vous me suivez depuis un moment, vous savez que cette complexité des personnages est quelque chose sur laquelle je m'arrête. J'aime retrouver la densité de la vraie vie, j'aime que les êtres évoqués ne soient pas juste des marionnettes menées par le bout de la plume d'un auteur. J'aime beaucoup la figure de l'assassin qui apparaît ici. Elle est terrible et saisissante, et malheureusement, sans doute plus banale qu'on ne le croit – au sens où de telles choses arrivent plus souvent qu'on ne le croit. Parfois, comme ici, nous n'avons pas besoin de grand renfort d'hémoglobine et de scènes cruelles pour savourer un polar bien ficelé, à la chute percutante.

La narration est vraiment intéressante car on ne tombe pas dans un schéma manichéen avec un méchant, qui n'est que méchant ou un justicier qui est parfait. Chaque personnage – que ce soit le maire, Kristín, Gunnar, Elín, Jódis et tous les autres- a une part d'ombre, des secrets inavouables, chacun est pétri de petites bassesses, de loyauté trahie, de courage parfois aussi. Cela crée une galerie de personnages savoureuse et vivante. Sous le prétexte d'une enquête, nous découvrons un peu plus les gens de Siglufjördur et, ça aussi, ça fait plaisir. Cela permet d'entrer pleinement dans l'univers, de poser nos valises de lecteur et de nous installer dans une temporalité, dans une durée. Nous faisons corps avec l'univers et, peu à peu, les habitants du village deviennent un peu nos compagnons de route, à nous aussi. Mention spéciale pour Jódis, cette vieille femme m'a émue! Elle apparaît assez brièvement mais le tragique de sa vie n'en est que plus poignant, et c'est un sacré bout de femme! Pour autant, son histoire ne bascule pas dans la mièvrerie ou le pathos, c'est un fil supplémentaire, qui étoffe l'histoire du village, qui donne corps à la communauté et qui nous cheville un peu plus aux côté d'Ari Thór.

Ainsi, ce deuxième volet m'a ravie. Je l'ai dévoré, et si je résiste à l'appel du tome 3, ce n'est qu'une question de jours avant que je ne craque! Je suis définitivement conquise par la plume de Ragnar Jónasson et par l'atmosphère de Siglufjördur.
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