Je ne sais pas vraiment ce qui m'a poussée à emprunter ce livre à la médiathèque - sûrement une curiosité malsaine, du moins un petit peu. En effet, en lisant le résumé, j'ai découvert que ce manga racontait l'histoire d'une jeune fille kidnappée par une bande de jeunes hommes, qui va subir des choses horribles. Ce qui m'a intriguée, c'est le fait que cette histoire s'inspire largement d'un fait réel qui s'est déroulé au Japon dans les années 80.
Au départ, nous suivons un garçon
qui, avec son ami, va être entraîné dans une bande et être amené à kidnapper une adolescente de dix-sept ans, Sachiko. Durant des jours, sa soeur jumelle va partir à sa recherche vu que ses parents et la police ne prennent pas sa disparition au sérieux... Pendant ce temps, Sachiko subira des humiliations et des sévices.
Je m'attendais à ce que la lecture de ce manga soit dure, au vu du sujet traité, mais elle fût bien plus difficile que ce à quoi je m'attendais. Le•a lecteur•rice assiste aux viols et aux tortures que Sachiko subit et c'en est terrifiant.
Ce n'est que le premier tome et, après avoir consulté la page Wikipédia sur la véritable histoire, je ne suis pas sûre de finir cette série. Dans les faits réels, ce que la jeune fille - qui s'appelait Junko Furuta - a vécu va au-delà de ce que décrit ce premier volume. Les horreurs que ces jeunes hommes ont fait vivre à Junko Furuta vont même au-delà de tout ce qu'on peut imaginer...
Même si j'ai trouvé intéressant de découvrir le fonctionnement de la société japonaise à l'époque et les mécanismes de groupe qui peuvent entraîner des personnes à faire des choses horribles, je ne pense pas continuer la lecture. Elle était d'autant plus difficile à faire en sachant que ce qui est raconté a été vécu par une véritable personne, Junko Furuta. Ainsi, je ne pense pas continuer cette saga !
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Pour commencer, il faut noter que, bien que romancé, ce manga est inspiré de faits réels.
En France, nous avons tous entendu parler de l'affaire du "gang des barbares", où un jeune juif, Ilan Halimi, avait été enlevé, séquestré puis assassiné.
Cette affaire japonaise, bien que n'ayant aucune connotation avec une appartenance avec telle ou telle religion, m'a beaucoup fait penser à cela.
Pour en revenir au manga, quatre jeunes, tous mineurs (moins de 20 ans au Japon) au moment des faits, étant tous plus ou moins impliqué dans des affaires de gang, vont enlever une jeune fille, la séquestrer, la violer et lui faire subir des sévices corporels et psychologiques.
Si tout en étant assez "pudique" dans les scènes violentes, l'auteur arrive à retranscrire avec efficacité l'ambiance pesante et malaisante.
Et pourtant, il faut savoir que pour cette adaptation en manga, les faits ont été bien amoindris, la réalité des faits étant tout simplement immonde.
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Tres bonne découverte pour ce manga vérité.
tiré d'une histoire vraie cela donne tout un sens à cette lecture tres dur à ne pas mettre dans toutes les mains.
le graphisme est un petit peu différent de ce que je lis habituellement ce n'est pas mon préféré mais l'histoire nous tien en haleine et est percutante.
je suis enthousiaste de lire la suite de cette petite série de 4 tomes.
vous avez envie de découvrir une histoire vraie un peu « glauque » ce manga est pour vous.
attention viol et maltraitante.
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Autant le dire tout de suite je n'ai pu terminer malheureusement ce premier tome qui m'a été offert par les éditions Naban. le thème évoqué (viol, manipulation) sont très dur. Il n'y a aucun avertissement de lecture sur le manga, je trouve cela très étonnant. Un enfant pourrait acheter sans problème ce livre… terrifiant
Inspiré d'une histoire vraie et prévu en 4 tomes.
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Une narration qui marque aussi l'évolution de Hiroki dont la descente aux enfers est visuellement percutante. Et à ce titre, le scénario de Seiji Fujii est malin.
Lire la critique sur le site : MangaNews
Tout tournait autour de la violence et la capacité à vaincre nos ennemis.
Nous nous sentions forts à contrôler les autres par la violence. Nous avions changé. Nous nous étions mis à tabasser tous les mecs qui venaient nous emmerder.