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EAN : 9782824649689
City Editions (11/09/2013)
3/5   3 notes
Résumé :
Eté 1911. Une excentrique comtesse revient vivre dans sa propriété de Temple Hill, au c?ur de la campagne anglaise. Elle a l'intention de passer l'été au manoir pour écrire ses mémoires. Rapidement, les habitants s'interrogent sur cette vieille dame et sa vie pleine de mystères. Des rumeurs circulent sur ses maris et ses enfants, tous décédés? Cecily, une jeune villageoise, est fascinée par le personnage. Elle recueille les confidences de la comtesse qui a longtemps... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Parfois je prends des livres par hasard, j'aime bien tenté la chance parfois elle ce révèle très bonne pour moi niveau littérature. Pas celle fois-ci par contre, j'en sort mitigé et tellement mélanger dans les dialogues de l'auteure Judith Kinghorn à croire que le personnage principale à l'Alzeihmer. Je me suis endormie car la répétition à presque toute les phrases de Rome et de Paris afin de paraître cultiver pour le personnnage qui a connut ces vieilles villes d'Europe. Non, je le recommanderais pas même si je sais que je ne suis pas le public cible.
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Il arrive qu'une personne entre dans notre vie sans crier gare et qu'elle nous fasse oublier momentanément qui nous sommes. Mais ce n'est que lorsqu'elle s'en va que nous en prenons conscience et redevenons ce que nous avons toujours été. Et ce n'est pas toujours facile, car entre-temps nous avons changé, et l'ancienne personne que nous étions ne nous semble plus aussi confortable qu'avant. (p 269-270)
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Dernièrement, elle avait pris plaisir à errer dans ce paysage confus qui s'étire entre le sommeil et la veille, ce lieu de demi-conscience. Elle aimait se prélasser dans cette lumière crépusculaire dont elle aurait voulu ne jamais sortir. Elle espérait qu'ils viendraient à elle si elle s'y attardait suffisamment longtemps.
Car c'était là, dans ce lieu imprécis que leurs voix tant aimées lui parvenaient depuis un autre siècle sous forme de murmures et de chuchotements. Occasionnellement, elle entendait de la musique - des notes de piano, un chant - par la fenêtre ouverte, flottant à travers le jardin, dans la pièce voisine ou à l'étage, ténue et impossible à localiser. (p 87)
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Mais à d'autres moments, quand la solitude et la singularité lui pesaient jusqu'à devenir insupportables, l'absence de voix familières se faisait assourdissantes. (p 284)
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Mais la comtesse l'interrompit à nouveau, déclarant que l'histoire ne pourrait jamais rendre compte de la vérité, ni de tous les destins individuels.
Ceux-ci étaient perdus, envolés à jamais. L'histoire ne pouvait que survoler et faire des généralités, dit-elle, réduisant les histoires vécues, les identités, les perspectives personnelles, les vérités, les triomphes, les défaites et les tragédies à une sorte de divertissement populaire. (p 118)
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- Des mots, répéta Cora en jouant avec le médaillon qu'elle portait autour du cou. Et combien ont été écrits ou prononcés pour être ensuite reniés ? Il y a trop de mots de nos jours, trop de mots pour désigner trop de choses. Et il y en a sans cesse de nouveaux qui sont inventés. (p 58)
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