Un troisième tome qui se dévore, où l'on découvre qui est la mystérieuse compagne de Takioka et surtout qui a envoyé les lettres et est responsable de l'ijime que subit Haruko.
Après, même si cette situation est très délicate pour elle, on a du mal à éprouver de la sympathie car elle pleure, vraiment, vraiment beaucoup trop. le seul personnage pour lequel on éprouve un brin de compassion c'est le pauvre protecteur qui ne sait plus trop sur quel pied danser.
Le cercle vicieux de l'ijime montre ses mécanismes les plus vils et atteint les personnes proches de la victime. Tout cela est très bien décrit pas l'auteure.
La personne instigatrice de l'ijime est vraiment exécrable et on ne comprend pas vraiment ses motivations à part de la cruauté gratuite.
Un tome perturbant en somme et pour tout avouer, je ne sais plus du tout comment cela finit mais le déroulement n'augure pas de bonnes choses pour le tome final. Un shojo très sombre quand même.
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L'histoire commence à tourner en rond. On sent qu'un élément majeur manque à la construction. On survole le problème sans le traiter réellement.
La notion de chance est toujours l'élément majeur de la narration même si celui-ci semble simple et vide. L'intérêt décrire sur cette notion ne semble pas assez forte.
Heureusement que le graphisme est toujours aussi agréable. Il est épuré et simple. On se retrouve vite emporté dans le monde de l'adolescence.
Je vais tout de même lire le dernier tome. J'ai peut-être loupé un élément dans la résolution de cette chasse à la sorcière.
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