L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes

Le titre de ce roman m'avait tapé dans l'oeil. Je m'attendais à de l'humour, des histoires touchantes et des personnages féminins forts et indépendants. Je n'en ai pas eu pour mon argent...

Je ressors de cette lecture insatisfaite. Les femmes qui habitent cet immeuble interdit aux hommes semblent malheureuses, seules, aigries ou pleines de regrets. Pas vraiment l'idée que je me faisais de la personnalité des héroïnes. Sans oublier le fait que les histoires des personnages sont à peine esquissées. Je n'ai pas eu l'occasion de m'attacher à ces femmes.

L'idée de départ est bonne mais je n'ai pas aimé ce qu'en a fait l'auteure. Un petit livre qui sera vite oublié...

Si l'idée de départ est intéressante, malheureusement, l'auteur n'est pas allée assez loin à mon sens dans la psychologie des personnages et la philosophie de ces femmes. Un goût d'inachevé...

Voilà un livre dont le titre et le résumé sont prometteurs, mais où le contenu n'est manifestement pas à la hauteur. L'auteure enchaîne les stéréotypes et les personnages ne sont pas assez approfondis. Entre la jeune fille qui rêve au prince charmant et la vieille avec son chat qui pense avoir renoncé aux hommes mais qui se ment à elle-même, seul le personnage de Giuseppina apparait comme sympathique, bien qu'encore une fois elle soit le stéréotype de la fille italienne oppressée par sa famille machiste. (Qui se laisse voler son enfant par ses frères ?)
Ce qui est dommage, c'est qu'avec un tel concept, l'auteure aurait pu faire un livre magnifique si les personnages avaient été plus réalistes et si leur psychologie plus approfondie.
Ce livre est malheureusement creux, et l'intrigue n'est pas réellement définie, les personnages sont juste présents. Il y a beaucoup trop de choses invraisemblables pour que l'on se prenne au jeu (tu as un fils, et tu ne l'invites pas chez toi sous prétexte que l'immeuble est interdit aux hommes ?), et c'est vraiment dommage car le livre avait un potentiel dans son ensemble car le rapport homme/femme mérite d'être exploité en profondeur, mais il "n'envoie pas le pâté" comme prévu. le style de l'auteure est, cela dit, fluide et agréable, car malgré ses défauts, ce livre se lit assez rapidement.
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J'avais été emportée par l'autre roman de Karine Lambert "Eh bien dansons maintenant". mais franchement là je n'ai pas ressenti la même en lisant cet ouvrage. Je me suis accrochée pour parvenir au bout des 213 pages et je dirais que c'est la fin qui m'a émue et beaucoup plu. Mais le reste du roman, bof... Les personnages sont attachants mais l'histoire manque de piquant pour happer davantage le lecteur. Les personnages auraient eu plus de corps, ils m'auraient probablement plus intéressée. Déception donc.
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Cette année, le père noël m'a apporté ce livre. Quand j'ai vu la couverture, ça m'a fait sourire et je me suis dis, pourquoi pas !
Verdict : je ne l'ai pas terminé. J'ai essayé de me forcer mais c'est une perte de temps. L'idée est originale, les personnages sympathiques, mais il manque quelque chose, c'est un peu fade.
En revanche je n'ai aucun mal à imaginer une adaptation de ce livre au cinéma ou à la télévision.

Une communauté de femmes qui a décidé de partager un immeuble et d'y interdire les hommes ... mais personne n'est à l'abri d'une surprise !

L'auteur dresse les portraits de femmes blessées par un amour qui a mal tourné qui s'évertuent à oublier les hommes. de la plus âgée à la plus jeune, de celle qui s'est sacrifiée à celle qui eu peur d'oser, de celle qui est sûre d'elle à celle qui veut encore y croire... chacune apporte son histoire et son affection.

L'ensemble est agréable à lire, sans grande surprise, une lecture-détente, un peu trop facile à mon goût mais plaisante : j'aime les textes plus denses en écriture et en émotions.

Attirée par le résumé et curieuse de voir ce que pouvait donner cette sorte de colocation originale, je n'ai vraiment pas été séduite. Je m'attendais, peut être à cause du titre, à un sujet traité avec humour mais au final, les héroïnes de se romans semblent plus frustrées et mal dans leurs peau qu'heureuses. L'histoire quand à elle ne m'a tellement pas marqué que j'en ai oublié la trame. sans grand intérêt donc. Dans le même genre et sur le même su jet, j'ai pris bien plus de plaisir avec "Les lits à une place" de Françoise Dorin.

Carla, Simone, Guiseppina et Rosalie habitent dans le même immeuble à Paris qui appartient à la Reine, une ancienne ballerine. Elles sont d'âges et d'univers différents mais ont un point commun : elles ont renoncé à l'amour.

Le seul individu masculin de cet immeuble pas comme les autres s'appelle Jean-Pierre et c'est un chat car la Reine a accepté de leur louer un longement à une seule condition : aucun homme, quelqu'il soit, ami, fils, frère… ne doit en franchir le seuil. Même les plombiers, médecins et autres réparateurs doivent être de sexe féminin.

Lorsque Carla part se ressourcer en Inde, elle propose à Juliette de séjourner chez elle. La jeune femme n'a pas renoncé aux hommes, elle, mais est séduite par leur complicité et a plaisir à passer son dimanche en leur compagnie.

Pour autant, elle est toujours en quête de l'âme soeur et tenter d'ouvrir les yeux de ses voisines : quelle folie de renoncer à l'amour !

Il ne manquait plus à mon tableau de chasse que le premier roman de Karine Lambert, L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes, bien que les avis que j'avais lus étaient plutôt négatifs mais l'ayant trouvé d'occasion à moins d'un euro, je n'ai pas hésité à le prendre.

Hélas, je dois bien admettre que je rejoins le cohorte des déçu(e)s car je ressors très mitigée de cette lecture. Si le thème est original, il n'est pas assez étoffé et ne comble pas les lacunes de ce roman.

Karine Lambert nous propose ici une somme d'histoires somme toutes très banales, portées par des personnages simplement esquissés. Elle s'attarde surtout sur la Reine et Juliette, fil conducteur du récit.

Le roman se lit facilement et sans déplaisir grâce à la plume fluide de l'auteure, les chapitres sont courts, de ce côté-là rien à redire heureusement car l'histoire se révèle plate et sans intérêt.

Ce récit, loin de servir la cause des femmes, est bourré de clichés et de situations caricaturales. Car les raisons pour lesquelles toutes ces femmes ont renoncé à l'amour semblent bien minces et m'ont laissé sur ma faim.

Je peux comprendre les raisons qui ont poussé la Reine à prendre cette décision, se retirant des hommes et du monde à l'instar d'une Greta Garbo, pour les autres, franchement, je suis étonnée car leurs raisons sont identiques à peu de choses près alors que je pense qu'il y avait matière à faire mieux !

Je ne me suis attachée à aucune de ces femmes, elles sont un peu tête-à-claques pour tout vous dire et leurs histoires personnelles sont tellement répétitives que ça en devient vite lassant.

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La lecture n'était pas désagréable mais je me suis un peu ennuyée. Je m'attendais à autre chose, quelque chose d'un peu loufoque mais ce ne fut pas le cas. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages qui ont été pour moi survolés.

L'histoire : Juliette arrive dans cet immeuble car une amie, Clara, part en Inde et lui laisse son appartement pendant son absence. Juliette sait qu'aucun homme n'est censé mettre les pieds dans les lieux, exigence dans la propriétaire de l'immeuble. Cela ne l'arrange pas car Juliette espère rencontrer un homme. Elle ne désire pas être célibataire toute sa vie.

Juliette va faire la connaissance des occupantes. La propriétaire des lieux, une ancienne danseuse, Reine, vit recluse au dernier étage et veille sur toutes par son grand âge. Il y a Giuseppina, la Sicilienne cabossée dont les hommes de sa famille lui ont enlevé sa fille. Rosalie qui se réfugie dans le yoga et les tisanes pour réparer son coeur brisé. Simone qui ne peut même pas inviter son fils à entrer mais qui possède le seul mâle des lieux : le chat Jean-Pierre.



Mon avis :

Une histoire sans prétention qui se lit tranquillement installé bien moelleusement dans un canapé.

Juliette va découvrir ses femmes et leurs histoires. Elle va aussi faire le point sur la sienne et ce qu'elle veut pour plus tard. Juliette va bousculer le quotidien de ses femmes et, pour chacune, redonner à espérer plus, voir un Roméo...

Les personnages sont attachants et la bonne humeur transparaît malgré les itinéraires de vie difficiles de ces femmes.

Une petite friandise sucrée mais pas trop pour reprendre la lecture en 2016 dans un fauteuil confortable et au milieu des plaids...
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