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EAN : 9782226219251
336 pages
Albin Michel (AVM) (02/09/2011)
3.42/5   6 notes
Résumé :
En temps de crise, l'économie est souvent accusée de tous les maux. Mais si au lieu de la diaboliser, nous revisitions son rôle dans la société ? On pense en général qu'elle ne crée que des biens. C'est oublier sa vocation première : créer du lien, comme le montrent les réseaux d'économie solidaire. On pense aussi qu'elle épuise autant les ressources naturelles que les individus et les sociétés. C'est négliger les nouvelles pistes qui sont à notre portée, sources d'... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Une écriture fluide, un plan intéressant, allant des expériences de l'auteur à des références de la Bible. Elena Lasida n'hésite pas à donner des exemples qu'elle a vécus et de les relier à des expériences spirituelles.
Cependant les solutions proposées me semblent un peu simplistes et manquent de concret.
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
L’expérience de ce « goût de l’autre » montre bien que l’identité est toujours une histoire de rencontre. Rencontre du même et de l’autre. Rencontre du similaire et du différent. Rencontre qui révèle à chacun ses propres racines et qui donne des ailes pour s’envoler ailleurs.
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Plutôt qu'un moyen de satisfaire ses besoins, l'économie apparaît comme un lieu où se construit la société. Plutôt qu'un système pour réguler la circulation des biens, elle devient un facteur de médiation sociale. Plutôt que source de richesse monétaire, elle devient source de richesse relationnelle. Evidemment, elle est concernée par les besoins, les biens et la monnaie, mais sa finalité première est au-delà. Elle révèle et suscite le "goût de l'autre".
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On peut choisir la vie et mourir. Nous sommes des éternels voyageurs, en errance à travers nos morts multiples. Chaque arrivée devient très vite un nouveau départ, chaque acquis, une nouvelle perte. Le contraire de la vie n’est pas la mort, mais l’arrêt définitif de ce voyage à travers la mort.
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Nous sommes dans un "temps favorable" pour faire émerger du radicalement nouveau... aujourd'hui c'est le "temps favorable" pour rendre l'existence plus humaine, et l'économie fait partie de cette aventure passionnante.
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Le passé composé, c’est le temps verbal qu’on utilise pour « marquer une action passée ayant quelque rapport avec le moment présent »…

Et l’identité est aussi futur imparfait… Le futur imparfait serait ainsi une action future qui serait imparfaite et inachevée, toujours en train de se poursuivre, de se renouveler, de se perfectionner. L’identité est futur imparfait car elle est définie par le futur qui nous met en marche vers quelque chose que l’on espère atteindre mais que l’on ne connaît pas encore. Elle est futur imparfait car elle est construction d’avenir, inachevée mais en mouvement…
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