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EAN : 9782290338261
1058 pages
J'ai lu (02/07/2004)
3.71/5   26 notes
Résumé :
Née du feu d'un volcan, Uasti, la mystérieuse déesse voilée, va parcourir le monde des hommes à la recherche de son destin. Tour à tour épouse de voleur ou de roi, guérisseuse, guerrière, sorcière, elle finira par comprendre le mystère de ses origines et se retirer de l'autre côté de l'océan. Mais elle a laissé derrière elle son fils, Tuvek, élevé par les barbares dans l'ignorance du secret de sa naissance. Lorsqu'il apprendra de qui il est l'enfant, Tuvek va jurer ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Présentation succinteUne saga, c'est avant tout quelque chose d'ambitieux. Quand on parle de ce genre de choses, on s'attend à tomber sur quelque chose d'énorme, qui va laisser des traces profondes dans l'esprit de tous les lecteurs. Et peut-être que ce sera le cas pour celle-ci. Contrairement à bien des plagiaires de la fantasy moderne, Tanith Lee ne choisit pas la facilitié de tirer à la ligne d'une manière évidente(1). Non, au lieu de cela, elle s'intéresse tout d'abord à Uasti, presque une Déesse, en tout cas plus qu'une simple humaine, pour nous la faire suivre dans ses péripéthies rarement heureuses (et pour cause). Ce qui donne le très étrange premier roman, La déesse voilée. Puis, elle s'attache aux pas de Vazkor, un personnage tout aussi étrange et tourmenté, dans les deux suivants(2). Bref, c'est épais (forcément, avec plus de mille pages), c'est assez violent, mais est-ce que c'est bien ? Une première réponse pourrait être oui, mais … Pour une réponse plus complète, vous devrez en revanche attendre la fin de cet avis et les spoilers qui vont avec … La sorcière voiléeCe premier roman nous raconte donc les aventures d'Uasti, depuis son "réveil" jusqu'à son "départ"(3). Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle a une vie plutôt animée, entre son brigand, son futur roi, et deux ou trois autres gars qui passent, elle a le don étrange de faire tourner les têtes (ce qu'on comprend en toute fin du roman). Si cette espèce de résumé vous paraît un peu décousu, c'est normal : Uasti est un personnage très étrange, ballotée par un Destin franchement bizarre, et qui n'a pas les moyens de s'accrocher à quoi que ce soit. Ce roman, c'est en quelque sorte une course désespérée contre on ne sait quelle étrange voix qui la pousse vers le suicide. Et puis peut-être aussi que j'ai eu beaucoup de mal à adhérer aux désirs de ce personnage assez marqué par son destin, qui au bout d'un moment finit par considérer que tout ce qui lui arrive est normal, et du coup ne se bat plus pour elle. En fait, je dois avoir une vision bien trop masculine de ce que peut être la fantasy pour pouvoir m'immerger à fond dans ses intéressantes réflexions personnelles. Bref, ce premier tome est très décalé du reste de la production de fantasy, où abondent guerriers, magiciens, sorciers, et orang-outangs. VazkorJe sais, ça n'est pas le titre complet, mais j'essaye de ne pas gâcher le suspense. Encore une fois(4), le personnage principal est fortement marqué par son destin. Si sa vie commence dans ces étranges clans nomades, elle basculera assez vite pour, tout comme dans le premier roman, se parer un moment du faste le plus incroyable avant de se terminer sur un départ (on pourrait quasiment parler de fuite) devant un monde transformé par le héros. Bien sûr, le héros est cette fois un homme, ce qui donne lieu à plus de combats, de bagarres, de batailles, mais finallement, tout ça n'est que du décorum face à ce qui lui arrive, et qui est largement plus intéressant qu'une bonne dizaine de Belgariade mal digérées. En effet, peu à peu, ce personnage se transforme, passant de l'enfance à l'âge adulte, dans des conditions qui n'ont rien d'enviables : peu aimé de son père et de son clan, il ne trouve asile qu'auprès de sa mère (et encore ne s'agit-il que d'un asile temporaire). Il va ensuite traverser toute une série d'épreuves, lui faisant prendre conscience de son délicat héritage. Mais malheureusement, difficile d'en dire plus. La quête de la sorcière blancheCe dernier tome permet enfin de mettre en présence les deux précédents intervenants, au terme d'une longue, très longue (peut-être même trop longue) quête. Et encore une fois, l'auteur nous réserve ces rebondissements dont elle a le secret, avec notamment un passage fabuleux de maladie et de désolation. Un avis synthétiqueAttention, cet avis va contenir des spoilers. J'ai un avis très mitigé sur ces différents romans, parfois pour les mêmes raisons, parfois pour des raisons spécifiques. D'abord, les raisons génériques. le moins qu'on puisse dire, c'est que Tanith Lee n'a pas une relation empathique très intense avec ses personnages. ou alors, elle a vraiment du mal à nous faire ressentir leurs émotions. Car même lorsqu'Uasti essaye de tuer le premier Vazkor, ou lorsque le second apprend que sa mère n'est pas sa mère, il y a certes une espèce de flottement, mais rien n'est fait pour nous plonger à leur place (alors même que l'écriture à la première personne de Vazkor devrait nous faciliter ces choses). On assiste donc d'un oeil tout à fait neutre à leurs (més)aventures. Et là, en revanche, il convient de féliciter l'auteure qui parvient à nous faire revivre des poncifs de cette littérature avec un léger goût d'inattendu. Que ce soit la course de char, la bataille rangée, l'embuscade, l'épidémie ou la fuite, on découvre toujours de nouveaux angles. Pourtant, il n'y a rien de novateur, que ce soit dans La sorcière voilée ou dans les autres romans. Enfin, rien … soyons honnêtes. La sorcière voilée utilise peut-être l'un des plus gros Deus Ex Machina que j'aie eu l'occasion de voir. Quoique la conclusion de "La quête de la sorcière blanche" ne soit pas mal non plus de ce côté-là ... C'est marrant, mais en relisant cet avis, je le trouve très négatif. Pourtant, tout n'est pas à jeter. L'écriture est limpide, certaines choses sont bien trouvées, et les errements d'Uasti sont très crédibles. Pourtant, l'impression qui reste est assez décevante. Peut-être parce que la lecture d'une traite des trois tomes ne me donne pas envie d'avoir pitié. En tout cas, la seule chose que j'en retiendrai, c'est qu'il s'agit, malgré les habituelles envolées lyriques de la quatrième de couverture, d'une oeuvre honnête de fantasy, ni plus mauvaise ni meilleure ni plus originale que bien d'autres, mais, hélas, en aucun cas inoubliable. (1) Il faudrait plutôt évoquer ici la tentation Hollywoodienne des suites et autres retours des mort-vivants(2) Dont je vous révélerai plus loin les titres, qui sont en soi des spoilers(3) Au niveau "flou", ça doit être suffisant(4) mais c'est en même temps assez normal, vues les relations entre les deux personnages
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Cette critique est provisoire; elle porte sur le premier livre de ce tome qui en compte 3, la déesse voilée.
Je découvre donc avec ce livre une partie de l'univers d'une auteure que je ne connaissais que par le nom, Tanith Lee, laquelle j'apprends au cours de mes recherches qu'elle a écrit pas mal de livres à destination des enfants. Je ne sais pas si cela a influencé ma lecture mais du coup j'ai beaucoup apprécié sa manière d'écrire car même si le sujet est plutôt adulte, j'y retrouve quelques caractéristiques d'une écriture de livre pour enfant. C'est léger, fluide, le vocabulaire et la syntaxe utilisés sont simples et lisibles. Tanith Lee nous raconte une histoire. Je retrouve la même fluidité que j'ai pû apprécié chez Robin Hobb ou Brandon Sanderson pour ne citer qu'eux.
Du coup la lecture se fait très facilement même s'il reste difficile d'entrer dans la peau de cette femme ( l'histoire est contée à la première personne), de suivre son parcours de son point de vue. Tanith Lee à travers ce personnage, raconte l'histoire de plein de femmes, de manière imagée bien entendu mais je pense que les lectrices n'auront aucun mal à s'identifier à elle. D'autant que Tanith ne se gène pas pour écorcher sérieusement la gente masculine au passage. Mais elle l'écorche de manière intelligente, fine et juste et ne tombe pas dans le piège du féminisme machiste. Combien de féministes(homme ou femme) accusant les machos à outrance, tombent elles (eux) mêmes dans le machisme.....!! Et bien Tanith Lee n'y tombe pas. Bien au contraire elle s'en sert pour raconter le parcours de cette femme qui passe par tous les stades: adolescente, déesse, voleuse, esclave, mère, épouse, concubine, putain, guerrière et nous montre avant tout une combattante à la recherche d'elle même, car en dehors de l'amnésie dont elle souffre, cette déesse est à la recherche de son identité, de sa personnalité même voire de la réalité de son existence. le deuxième tiers du livre est un peu long, il ne se passe pas grand chose, j'y ai perdu le fil plusieurs fois puis le dernier tiers répond aux questions posées dans les 2 premiers tiers et nous apporte beaucoup plus de compréhension autant sur le personnage lui même que sur l'écriture.
Le second livre débute dans le vif du sujet en nous plaçant dans la peau de son rejeton....
Suite de la critique quand je l'aurai lu.... oui je sais c'est inhabituel comme manière de faire mais j'aime bien ne pas faire comme les autres.....
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Tanith Lee fait partie de mes écrivains favoris et pourtant cela n'a pas empêché ce livre de dormir sur mes étagères pendant plusieurs années avant que je ne le lise enfin… Sans doute parce que ce petit pavé m'impressionnait, du haut de ses mille et quelques pages ! ^^ » Mais, une fois commencée, ma lecture s'est poursuivie rapidement et avec plaisir. Car comme toujours, Tanith Lee a fait montre de talent et a su créer un univers aussi chatoyant que sensuel au sein duquel se déroulent des histoires captivantes.

La saga d'Uasti comporte l'intégralité de la trilogie formée par La Déesse voilée, Vazkor et La Quête de la sorcière blanche. Dans la première partie, nous découvrons la narratrice qui s'éveille dans le noir, sans aucun souvenir de son identité ni du lieu où elle se trouve. Ce n'est qu'en s'extirpant de ce souterrain qu'elle découvre qu'elle était endormie sous un volcan. Elle masque son visage dès qu'elle le peut, car pour avoir vu son reflet, elle se sait maudite et ne devant pas offrir son visage à la vue des autres. Au fil de ses errances, elle se découvre des pouvoirs aussi fluctuants qu'insoupçonnés. Dans Vazkor, nous suivons le parcours de son fils qu'elle a abandonné, ne l'ayant jamais désiré – c'est un puissant sorcier, avide de pouvoir, qui l'a épousée en profitant de son ascendant sur elle, pour assurer une descendance avec celle qu'il considérait comme membre d'une espèce supérieure. Ce fils, élevé dans une tribu barbare et dans le secret de ses origines, va croiser de manière sanglante la route d'individus qui ont autrefois côtoyé son père – père auquel il ressemble beaucoup. Dès lors, Tuvek va cheminer pour découvrir sa parenté et concevoir un désir de vengeance sur cette mère qui l'a abandonné. Dans La quête de la sorcière blanche, Tuvek est parti par-là les mers pour retrouver sa mère biologique, dans l'optique d'assouvir sa vengeance. Mais la route sera semée d'embûches et d'illusions.

Vous l'aurez compris, l'un des thèmes majeurs de cette trilogie est la quête des origines. Pour Uasti (nom que notre narratrice se verra donner dans La Déesse voilée) comme pour Tuvek, cette quête des origines (qui se double d'une quête d'identité pour Uasti) sera le moteur de leur voyage. On pourrait même parler d'errance, d'ailleurs, concernant Uasti puisqu'elle sera ballottée au fil des événements, avant de décider seule de son destin lorsqu'elle aura enfin trouvé les clefs de son passé. Pour Tuvek, les choses sont quelque peu différentes. Il croit savoir qui il est mais découvrir l'identité de ses véritables parents va profondément bouleverser son regard sur son lui-même – et faire naître en lui une véritable haine pour cette mère qui l'a abandonné.

Le thème du pouvoir est également prégnant, Uasti comme Tuvek appartenant à une espèce non humaine, malgré leurs apparences, ils joueront souvent (parfois inconsciemment) de la suprématie que leur donne leurs pouvoirs mentaux. de ce fait, le lecteur ne s'identifiera pas à eux. Mais il sera ravi par les voyages des personnages au sein de contrées barbares ou soi-disant civilisées, le tout sous la plume toujours aussi poétique et sensuelle de Tanith Lee. de fait, malgré la violence qui pouvait entourer les deux personnages principaux (quand ils ne l'imposaient pas eux-même), j'ai beaucoup aimé ce voyage dans ces contrées imaginées par Tanith Lee. Elle a le don de déployer sous nos yeux des paysages, des villes, des cultures certes parfois barbares ou répugnantes, mais toujours avec un vocabulaire chamarré qui leur donne le poli des univers de contes. le fait qu'elle s'attarde sur les descriptions et non sur l'action accentue d'ailleurs cet effet.

À noter que si la trilogie s'inscrit majoritairement dans le genre de la fantasy, La Déesse voilée contient une part de science-fantasy. Un mélange des genres qui se fait avec fluidité même s'il pourra surprendre, je pense, certains lecteurs en dépit des indices glissés par l'auteur pour annoncer cette transition.

La saga d'Uasti est donc un pavé mais un plaisant pavé, puisque les pages se tournent toutes seules et que l'auteur a su créer un univers aussi foisonnant que décrit en détails. Cette abondance de descriptions, bien que rédigées dans une écriture sensuelle, pourra peut-être rebuter certains mais pour ma part, elle a contribué à me donner le sentiment de lire une véritable et passionnante saga de science-fantasy. [Lire la critique sur le blog]
Lien : https://lullastories.wordpre..
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La fin d'année étant toute proche, La Saga d'Uasti est définitivement mon roman coup de coeur de 2021.

Je me souviens de ma rencontre avec ce livre dans cette vieille librairie aux étagères toutes poussiéreuses. Je ne sais encore comment mon attention s'est portée sur lui ; pourquoi mon regard s'est figé sur sa couverture ; quel sortilège a pris le contrôle de mes mains, m'incitant à m'en saisir, à le feuilleter avec délicatesse pour mieux me lier à lui ; et quel charme enfin a fini par me convaincre qu'il était mien et que sa place était dans ma bibliothèque.

Il arrive que le premier contact avec un livre sonne comme une évidence. J'ai toujours été fasciné par cette étrange attraction qui prend alors possession de notre libre-arbitre et nous pousse à considérer comme notre un bouquin dont on a jamais entendu parler et dont la seule couverture nous a envoûté.

Et là, vous vous dites : il est bien joli son laïus mais quand est-ce qu'il compte nous parler du livre ?
Eh bien, je ne fais que ça depuis une minute. Car ce roman, voyez-vous, c'est un enchantement. Tout comme son héroïne, Uasti. Et vous allez précisément suivre l'histoire de cette femme au destin incroyable ; une femme que rien n'épargnera, une femme dont le salut tiendra à un réflexe de survie très simple : fuir, quitte à devenir déesse, guerrière, esclave, catin, concubine, prêtresse ou sorcière. Une femme qui portera la malédiction en elle, la traînera avec elle dans un sillage de mort, et ira par-delà des frontières interdites jusqu'à se fondre dans la légende...

Une légende que cherchera à comprendre bien plus tard un certain Vaskor. Quels liens tragiques a bien pu tisser l'odieux et cynique destin entre ce guerrier enragé et cette légende qui le hante au travers de songes et de manifestations curieusement prophétiques ? C'est ce que vous découvrirez en lisant cette fantastique intégrale regroupant une trilogie hélas trop méconnue de la fantasy parce que boudée par les éditeurs. Tanith Lee n'a pourtant rien à envier aux auteurs phares du genre et prouve, s'il en était encore besoin, que les récits héroïques ne sont pas une exclusivité masculine.

Et là, je sais ce que vous vous dites, que j'en ai trop dit.
Eh bien, une fois de plus, vous êtes dans l'erreur. Sachez que j'ai à peine effleurer le mythe car il m'est impossible d'en révéler davantage ; l'envoûtement étant encore pregnant, il m'invite au silence.

Aussi, comme on souffle sur la flamme d'une bougie pour appeler les ténèbres, une force inconnue souffle sur mes révélations pour attiser votre curiosité.
Rien qu'un souffle... ffue ! (Silence)
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On m'a conseillé ce livre, alors j'ai essayé de m'accrocher. j'ai lu un quart de la trilogie (les 3/4 du premier livre). Et cela en m'y remettant à plusieurs reprises. Là, j'abandonne.
Je sais pas encore ce que je vais pouvoir raconter à la propriétaire quand je vais lui rendre son livre...
Que j'ai rien compris.
On suit une femme, à la première personne, elle décrit ce qui lui arrive. Plein de mystères et d'énigmes auxquelles elle ne comprend pas grand chose. Alors elle avance, il lui arrive d'autres choses qui n'ont apparemment rien à voir avec ce que l'on sait déjà. Et on comprends toujours rien.
C'est comme si l'univers n'avait pas de consistance : on traverse tout ça sans aucune émotion, sans aucune tension, aucune logique non plus. Ou alors, si logique il y a, ce n'est pas une logique à laquelle je suis sensible.

Voilà voilà voilà.....
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Il y avait eu les ténèbres, et dans ces ténèbres: le néant. A présent, toujours plongée dans l'obscurité, j'entendais un bruit, un seul, qui se répétait de façon rythmique; une machine infatigable qui se soulevait, s'abaissait, inspirait, expirait. Tout à coup, mon coeur s'était remis en marche.
Mes yeux s'entrouvrirent sur une froide et lugubre lumière verdâtre. Le Jade, croyais je. Mais j'étais trop faible pour m'en saisir. J'ignorais où j'étais et ne gardais aucun souvenir de ce qui s'était passé. A nouveau, je me retrouvais sous la montagne à attendre ma naissance. Les séquences formaient un entrelacs indémêlable.
Puis la lumière s'éclaircit, blanchit. Un son mat et des grains de poussière se mirent à danser. Des cris, un bruit de chute de pierres, suivi d'un nuage poudré. Quand il se dissipa, je découvris la silhouette d'un homme sans visage qui se penchait vers moi. Il poussa une exclamation. Une main s'avança en tâtonnant vers ma figure et agrippa le masque d'argent.
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Se réveiller et ne pas savoir où l'on est,ni qui l'on est,, ni même ce que l'on est-une chose avec des bras et des jambes? un animal? le cerveau d'un grand poisson?-, voilà un bien étrange réveil. Au bout d'un moment toutefois, je m'étirai dans le noir, puis promenai mes mains sur mon corps:j'étais une femme.
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