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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
En cette année 2073, alors que quelques dizaines d'années auparavant, l'homme vaincu par la peste écarlate se fit rare sur terre. Seule une poignée de représentants de l'espèce continue à vivre, hors de toute civilisation...

Et jack London, prêtant parole à un vieillard qui connut cette peste et constata ses effets, aïeul de quelques garçons né bien après la pandémie, que la nécessité de survivre amena à être bergers dans un monde où la nature a repris ses droits, raconte l'humanité.

Il raconte la surpopulation, la richesse, l'abondance, le confort perdu, se heurtant bien souvent à l'incompréhension de son auditoire, cette nouvelle humanité qui s'est organisée en tribus, et qui pour se nourrir, retrouve naturellement la pratique de la cueillette et la chasse, à laquelle s'ajoute l'élevage.

Une humanité pauvre, inculte parce qu'elle n'a plus besoin de l'écriture, des grands nombres, de l'argent, n'a plus d'histoire, plus de racines.

Grand père raconte l'école, l'université, le capitalisme des magnats qui alors, détenaient le pouvoir, possédaient les richesses et dominaient le monde… dans cette nouvelle société, plus de magnats, plus de richesse, mais des clans, des discordes et des ententes qui se transmettent sur la base de la tradition orale…

Un livre surprenant, écrit en 1912 et publié en France en 1924. de l'anticipation, oui, mais l'auteur à parfaitement imaginé ce monde post-apocalyptique tout à fait plausible : disparition de l'espèce humaine et avec elle, les ingénieurs, les médecins, les scientifiques susceptibles de faire repartir la vie sur Terre.

L'humanité doit tout réapprendre. Il y a fort à parier qu'elle risque de commettre des erreurs à nouveau… Mais tenons en nous à ce récit issu de la plume agréable de Jack London !

Un récit qui fait peur, car il décrit une situation réaliste et envisageable. Un récit qui amène à réfléchir, à mettre entre toutes les mains.






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Petit par la taille, ce récit de Jack London est grand par la valeur.

D'une grande modernité dans la forme et le fond, il a sans doute inspiré nombre d'auteurs. Tous les récits post-apocalyptiques sont dans "la peste écarlate" : l'atmosphère de "La route", l'émotion de "Je suis une légende" et bien d'autres. Certains éléments font même penser au film "Zombie" de George Romero (le passage où des personnes non infectées se retranchent dans une université est assez saisissant).

En à peine plus de 120 pages, l'auteur parvient à traiter entièrement et intelligemment son sujet : retour à la sauvagerie (et de ce fait le pouvoir qui change de main), perte du savoir, aspect cyclique de l'Histoire.
La conclusion du récit semble pessimiste, London affirmant que l'Homme reproduira inexorablement les mêmes erreurs, mais je n'ai pu m'empêcher de déceler une note d'espoir, cachée là, dans cette grotte pleine de livres.

Encore une merveille signée Jack London qui semble décidément un auteur indispensable.

Challenge petits plaisirs (5)
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Jack London nous emmène, dans ce court roman, en 2073, dans un monde ravagé, 60 ans plus tôt par une terrible maladie, la peste écarlate. Les quelques survivants ont formé des tribus et vivent comme le faisaient nos ancêtres à l'époque préhistorique. Mais un homme se souvient… le grand-père aimerait raconter à ses trois petits-enfants le monde d'avant. Mais comment faire ?

C'est toujours un plaisir de lire cet auteur. Et quelle réflexion, quelle anticipation dans ses propos ! Ce texte a été écrit en 1912, pourtant il n'a pas pris une ride : surpopulation annoncée, cataclysmes, maladies… Cependant, il reste du positif dans cette nouvelle humanité : la transmission de la culture.

Si vous ne l'avez pas déjà lu, n'hésitez pas !
Lien : https://promenadesculturelle..
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J'ignorais complètement que Jack London avait donné dans le récit post-apocalyptique mais avec "La peste écarlate", il n'est rien moins question que de la fin du règne de l'Homme dont les civilisations ont été violemment balayées par une bactérie homicide.

"Le monde magnifique et puissant que j'ai connu, aux jours de mon enfance et à ceux de ma jeunesse, a disparu. Il s'est anéanti. Je suis, à cette heure, le dernier survivant de la Peste Écarlate et seul je connais les merveilles du passé lointain. L'homme qui fut jadis le maître de la planète, maître de la terre, de la mer et du ciel, l'homme, qui fut un vrai Dieu, est retourné à son primitif état de sauvagerie et cherche sa vie le long des cours d'eau."

Le narrateur, le Pr Smith, fut un intellectuel, un lettré, un universitaire, un homme de la bonne société. En 2012 (le roman a été écrit un siècle plus tôt, en 1912), il a assisté, impuissant, au cataclysme. Seul survivant de son secteur, il ne tarde guère cependant à rencontrer une poignée d'autres rescapés. L'ordre des choses est irrémédiablement inversé : les faibles sont devenus les forts ; les intellectuels sont écrasés par les manuels. Acculés au pied du mur, les survivants de la peste écarlate n'ont plus qu'un double but : survivre et procréer.

Entre cette apocalypse et son récit, soixante ans ont encore passé. Le Pr Smith, devenu plusieurs fois grand-père, relate les faits à ses petits-fils - aux trois quarts sauvages - dans le but de les "civiliser" et de leur léguer son savoir. Hélas, son constat est amer : l'homme semble immuable et très rapidement, le besoin de dominer et d'asservir par la violence et la superstition pointe dans le coeur de la jeune génération...

Jack London est un conteur formidable. Avec une sobriété de mots extraordinaire il évoque des scènes épouvantables. Le rythme est très rapide, le lecteur retient involontairement son souffle, subjugué par la prescience de cet auteur du début du XXème siècle, et apeuré devant la peinture d'un scénario qui n'a absolument rien d'improbable. Bref, Cormac McCarthy n'a rien inventé.


Challenge Petit Bac 2016 - 2017
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En 2013, une épidémie mondiale éradiqua la quasi totalité de la population humaine. Seuls quelques survivants miraculeux parvinrent à former de rares tribus.

Nous sommes en 2073, et un ancien professeur d'université, désormais vieillard malpropre, tente d'éclairer ses petits enfants et de les mettre en garde...

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1912 ! Ce court roman a plus de 100 ans et pourrait avoir été écrit hier. D'ailleurs, les Walking Dead et autres survival post apocalyptiques à la mode ne sont rien d'autre que les produits de ce texte visionnaire.

Seulement, là où certains se servent de la menace zombie pour souder les survivants, effrayer le lecteur ou lui montrer que l'homme n'est que peu de choses, Jack London nous place devant un miroir.

Nul monstre horrible, nulle créature dégénérée ne menace l'homme mieux que lui-même, et la peste écarlate n'est là que pour mettre en exergue son comportement bestial, fût-il un homme civilisé.
Les esclaves d'hier sont les ouvriers d'aujourd'hui et peut-être les bourreaux de demain.
Les philosophes et les poètes meurent de faim comme les autres, voire encore plus facilement, et sont une proie parfaite pour les brutes et les tyrans.
Les opprimés et les faibles ploient sous le joug de la superstition et des tromperies en tous genres.
Et cela, quel que soit le contexte et le degré de "civilisation".

Avec un récit qui commence teinté d'humour et d'angélisme, faisant s'entretenir des enfants rustres et ignares et un ancien professeur de littérature au seuil de sa vie, Jack London nous dépeint donc, en peu de mots, le mal qui ronge l'Homme : désir de pouvoir et de domination d'un côté, crédulité et bêtise de l'autre.

Pessimiste mais clairvoyant, un récit dont on ne doit pas se priver.

(Petit bémol concernant la langue, riche mais clairement peu accessible au jeune public alors que le bouquin est conseillé aux classes de 5e ; et pour l'histoire du Professeur qui se perd parfois dans des détails un peu longuets.)
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Il y a un siècle, London situait son terrible virus en 2012 et soixante ans plus tard, la poignée de rescapés était quasiment revenue à l'âge de la pierre...

Simpliste mais amusant, le Chauffeur, vilain individu violent et injuste, soumettant en esclavage la seule survivante, la jeune et rafinée épouse du banquier van Warden!

Je me suis régalé avec les deux autres nouvelles, la mortelle morsure du froid, anxiogène, au dela de 50 degrés sous zéro et cette colonie de quarante chercheurs d'or au bord du Yukon, leur loi, condamnation à être abandonné aux remous du Yukon, doté d'une quantité de vivres inversément proportionelle à la faute.
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L'APOCALYPSE COMME SI VOUS Y ÉTIEZ.

Tout a débuté en 2013. le terrifiant été 2013. C'est cet été-là qu'éclata, sans vraiment prévenir, la terrible "peste écarlate". Enfin, sans prévenir... Il y avait bien eu des alertes tout au long du XXème siècle précédent, mais comme l'humanité s'en était toujours tirée en limitant les dégâts, personne ne songeait que le pire pouvait être à venir.

Ce pire, c'est l'un de ses rarissimes survivants qui le raconte soixante longues années plus tard à trois de ses petits enfants. Cet homme, devenu vieillard un peu sénile parlant de choses tellement anciennes qu'elles n'intéressent plus guère de jeunes contemporains de temps si nouveaux, en cette année 2073, c'est l'ex-professeur James Howard Smith. Et ce n'est pas sans mal ni impatience qu'il évoque un monde désormais totalement englouti.

La cause de ce cataclysme mondial fut une simple maladie, mais une maladie tellement rapide, virulente et mortelle qu'elle désorganisa en un tournemain toute la société, tous les rapports entre les survivants devenus de plus en plus clairsemés. Une maladie étrange que l'on nomma "La peste écarlate" en raison de la pigmentation d'un rouge indescriptible que la peau des malades et futures victimes prenaient une fois contaminés, une maladie déroutante puisque pour ainsi dire indolore, une affreuse torpeur où les muscles du corps se paralysait progressivement, jusqu'à l'arrêt du coeur. L'effet de ce supplice presque anodin sur les spectateurs était indubitablement effrayant. Une fois atteint, il ne leur restait plus aux malades qu'à dire adieu aux leurs - s'ils en avaient encore -, et essayer de mourir aussi dignement que leur mentalité le leur permettait.

Bien évidemment, ces premiers temps de fin du monde ne se déroulèrent pas dans la paix et la sérénité, et ce sont des scènes tour à tour émouvantes ou cruelles, insupportables de violence ou au contraire d'une humanité rare que le vieil homme décrit à ses trois petits-fils, essayant de leur faire passer un sommaire message humaniste dont ils semblent se désintéresser à peu près totalement. Puis, le vieil homme, ancien lettré, intellectuel, ayant ce que l'on appelle encore aujourd'hui un certain "verni", conte comment il dut s'adapter très vite au monde nouveau et en devenir, accepter de se joindre à l'une des trois bandes s'étant partagées, avec les rares survivants, les grands espaces désormais quasiment vides de la côte ouest des anciens Etats-Unis d'Amérique - celle des Santa Rosa, après avoir souffert le martyr sous la coupe de l'illettré "Chauffeur" -.
Mais le vieillard se refuse à croire que tout ce qui fut avant cette fin du monde, et c'est patiemment qu'il a reconstitué une sorte d'immense bibliothèque, dotée d'une méthode pour redécouvrir l'alphabet, dans une grotte à l'emplacement tenu secret.
Pour que puisse renaître, dans un avenir incertain, les ferment d'une nouvelle véritable civilisation.

Il est certain que la veine fantastique est aussi méconnue du public français qu'elle occupe pourtant une place importante dans l'ensemble de l'oeuvre de Jack London. Deux romans en sont probablement à la fois les chefs d'oeuvre et, conjointement, plus connus : le Talon de fer et le Vagabond des étoiles. Mais cela serait aussi oublier un peu facile son Avant Adam, une sorte de la Guerre du feu, de Rosny aîné avant la lettre. Il y eut aussi d'autres nouvelles, parmi lesquelles la prophétique L'Invasion sans pareil, qui pressent tout à la fois l'émergence d'un nouveau pays à l'échelon international : la Chine ; ainsi que la mise en oeuvre d'une forme parfaitement inconnue et nouvelle de guerre, à cette époque : la guerre bactériologique, comme moyen de destruction massive des êtres vivants, sans pour autant endommager les moyens de production, indispensables aux envahisseurs !

Bien sur, cela peut surprendre de voir ce cher Jack London, imperturbable matérialiste, athée convaincu et revendiqué, s'adonner au jeu difficile et hasardeux de la prospective politique, scientifique ou métempsychique. Il ne faut cependant pas oublier que s'il ne connu pas son père biologique, William Henry Chaney, astrologue de son état, son souvenir en fut certainement maintenu par sa mère - une mère sans aucune tendresse pour son fils mais avec laquelle il maintint des relations, même distantes, jusqu'à la fin - et qui pratiquait le spiritisme et fut même médium. Avec une telle généalogie, il était difficile au jeune Jack d'être parfaitement étranger à ces matières. Ce qui est en revanche nouveau dans ce très court roman construit sur sept bref chapitres très fluides et vivants - aujourd'hui, on parlerait certainement de "novella" -, c'est qu'il ne laisse à peu près aucune place à la vision socialiste, parfois cachée, d'une immense partie des oeuvres du californien. Certes, ce texte ne fut publié en livre qu'en 1915, un an avant la disparition de l'auteur, mais il fut écrit en 1911, en des temps antérieurs d'avec sa séparation définitive d'avec le parti socialiste américain. Mais cette année est une année de grande dépression morale, de scepticisme, de doutes et même si l'on est pas encore dans cette annus horribilis que fut 1913, London connait certains de ses moments les plus noirs. C'est, en particulier l'année de la publication de son recueil intitulé Quand Dieu ricane, à l'humour plus que désespérément noir.

Dans La peste écarlate, rien de cet humour cynique. En revanche, c'est à un écroulement total de notre civilisation que l'on assiste, certes par cause d'une terrible et fatale maladie, mais le personnage principal de ce petit roman apocalyptique ne le sous-entend même pas : ce malheur était prévisible, tant les alertes précédentes avaient été fréquentes et corrigées de justesse, mais sans vouloir jamais les prendre sérieusement en compte, l'humanité étant tellement arrogante et sûre d'elle. A travers ce personnage pourtant cultivé, dans un monde se croyant à l'abri de toute déchéance, c'est aussi une diatribe souhaitant mettre en garde quant à l'immense fragilité de notre culture, de notre civilisation et de sa capacité à sombrer dans ses travers les plus rétrogrades en un rien de temps. le XXème siècle n'aura malheureusement pas été avare en exemples venant illustrer et confirmer cette hypothèse... Et de constater que le retour à un certain état de nature, cher à notre Jean-Jacques Rousseau par exemple, ne coïncide pas vraiment avec une amélioration de l'être humain, au contraire, puisque c'est ni plus ni moins un retour à la plus primaire barbarie que le vieil homme n'a cessé de contempler, au fil des ans d'après la catastrophe. Demeure ce vieux rêve, cher à un Victor Hugo, entre autres, que la civilisation ne peut toutefois passer que par la culture, par la connaissance savante, la lecture et l'écriture, mais aussi par la connaissance des savoirs antérieurs, destinée à être examinée par les génération futures afin d'éviter la répétition des erreurs. Ainsi notre vieil homme tente-t-il de sauvegarder ce qu'il est encore possible de mettre à l'abri : les livres. Mais de constater aussi, avec ou sans ce "coup de pouce" qu'il est dans la nature humaine de se construire une destinée, cette dernière fut-elle bonne ou mauvaise.

Texte méconnu que celui-ci, c'est vrai, si l'on compare à des Croc-Blanc, L'appel sauvage (L'Appel de la forêt dans sa traduction la plus éhontée) ou encore Martin Eden. Mais un de ces textes exemplaires dans l'oeuvre de l'américain, par la vigueur de son style, son efficacité narrative, la modernité de son traitement. Un régal toujours renouvelé !
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Et dire que ce roman fut écrit en 1912 !
J'ai eu l'impression que tous les récits post apocalyptiques, dystopies et autres histoires de zombies, ont une dette envers ce récit. C'est un roman très court, bien écrit, avec des personnages attachants, très complet et bien rythmé avec le vieux qui raconte en 2073 ce qu'il s'est passé en 2013 à des enfants redevenus sauvages. La vision du monde de 2013 est assez bien vue, même si c'est Los Angeles et non San Francisco qui fait 4 millions d'habitant, et que le cheval et la charrette y ont toujours leur place.

Un récit fondateur du genre post-apocalyptique et qui 100 ans après n'a pratiquement pas pris une ride ! à lire absolument !
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C'est avec une plume riche et vivante que le vieillard nous conte son histoire, celle des hommes et d'une civilisation anéantie par une épidémie en 2013 : la peste écarlate qui entraîne une mort fulgurante. L'Homme s'embrase de l'intérieur telle une torche vivante.
60 ans plus tard, il est un des très rares survivants d'un monde que les nouvelles générations ne connaissent pas. Redevenu à son état primitif, l'homme tente de procréer afin que la race humaine ne disparaisse pas de la planète.
Autour du feu et partageant avec ses petits-enfants le repas fait de moules et d'un crabe, le grand-père se heurte à l'incompréhension des garçons et entend avec effarement cet inexprimable besoin de domination dans leurs paroles.
Publié pour la première fois en 1912, ce roman d'anticipation a encore
toute sa place un siècle plus tard.
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Dans la Peste Ecarlate, Jack London agissant comme un visionnaire , pensa à ce que sera la Terre et ses habitants si jamais une terrible et vaste épidémie
arrivera et frappera .Pour ce faire, il conte dans la Peste Ecarlate qu' un immense fléau, une maladie mystérieuse, inconnue jusque là, contre laquelle la science est demeurée impuissante, a dépeuplé le monde et presque complètement anéanti l' humanité.
Jack London, le célèbre romancier californien, nous fait un saisissant et tragique tableau de cette vaste agonie humaine et de la terrible et fantastique destruction de San Francisco, qui s' écroule dans des tourbillons de flammes .Quant aux rares survivants qui ont échappé au fléau, que
deviendront-ils abandonnés à eux-mêmes, sur la Terre désolée .
Par une régression successive, ils retourneront logiquement à l' état préhistorique des premiers hommes du monde, et l' humanité devra reprendre lentement, ensuite, à travers des millions de siècles et de
générations sa marche vers la civilisation disparue.
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