S'il ne fallait qu'un seul mot pour qualifier ce livre, je choisirais "ésotérique".
Ce livre est une lutte des forces du bien contre le mal. En gros, toutes les religions qui sont représentées par des français contre les forces de Satan.
C'est un concept simple et qui a fait ces preuves. de plus les chapitres sont fait de telles manières que le bien et le mal alterne leur point de vue.
Jusque là, tout va bien.
Hélas, car il y a un hélas, ce livre est tout d'abord rempli de faute et d'erreurs de typo. Je jette la pierre à l'éditeur sur ce coup là.
Ensuite, il y a des incohérences dans ce livre. du moment que vous connaissez un peu les sites dont l'auteur parle, vous comprendrez. Parfois c'est même tiré par les cheveux. Un calendrier aztèque, qui est maya et qui est relié aux templiers et vous saupoudrez le tout d'une amnésie collective, ça fait un peu beaucoup. Et il y a plein d'autres détails comme ça qui m'ont empêchés de rentrer dans le l'histoire.
Peut-être suis-je encore loin de l'illumination pour apprécier ce livre, mais même avec un esprit ouvert j'ai du mal à apprécier ce roman qui s'apparente un peu à un gâteau trop sec qu'on a du mal à avaler.
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Une incroyable expérience
Il m'arrive de souhaiter que se conte trouve un écho dans notre réalité.
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Quant à l’évolution de l’Islam, son radicalisme l’arrangeait. Il n’avait quasiment rien à faire pour qu’il sombre spontanément dans les forces obscures. L’idéal suicidaire des plus extrémistes lui convenait tout à fait et il se régalait des nouvelles qui régulièrement parlaient de ces exaltés qui faisaient sauter des autobus remplis de civils. Un véritable délice
Claire et Marc avaient d’ailleurs ce mélange de discrétion et d’authenticité que l’on trouve chez ceux qui sont proches de la nature. Claire était rousse, ses cheveux étaient ondulés et ses immenses yeux bleus exprimaient une grande force. Car si elle était aimable, accueillante, généreuse et patiente, elle avait aussi un fichu caractère. Elle pouvait aussi être pète-sec et ne mâchait pas ses mots. Elle aimait les personnes franches et authentiques. Et si, avec son mari, elle ouvrait sa maison à tous ceux qui en avaient besoin, elle n’en était pas moins exigeante dans sa sphère intime.
Avec le virus I Love You, il avait provoqué un immense désordre mondial. Et comme il avait le sens de l’humour et aussi celui de la formule, il était assez content de son œuvre. Un poison nommé « je t’aime », quel raffinement ! Simpliste, économique et puissant. Tous les êtres en mal d’affection de par le monde étaient tombés dans le panneau et cela avait fait des millions de « victimes », et pour lui tout un réseau de nouveaux noms de proies potentielles.
Une vieille prophétie avait annoncé qu’il était temps désormais de faire battre à nouveau le cœur de la terre et que les hommes devaient s’unir pour commémorer le vingt et un mars de chaque année cette extraordinaire occasion.
Si les élucubrations de quelques « alter » lui posaient question, Sariman savait que, là comme ailleurs, ils restaient des êtres humains. Il pouvait alors les soumettre en agissant sur leurs points faibles, à savoir leur orgueil, leur fascination pour le pouvoir. Si certains méprisaient l’argent ou le sexe, le besoin insatiable de reconnaissance avait encore de beaux jours devant lui.