merveilleux chant d'amour en une trentaine de pages et 14 strophes en prose, d'une langue simple, réservée, délicatement construite, avec des retours toujours variés, un élan.
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C’est la ronde de tes dunes qui fait le vent des caresses de l’herbe. Le vent des vagues qui caressent le bas de la dune. Qui touchent de leur écume la folie des herbes face à la mer. Face à l’immensité du temps qui entasse le sable des dunes où nous roulons depuis toujours.»
«Nous respirons autrement dans les bras enlacés des arbres et cherchons l’air des enfouissements. Si la mort vit dans l’étagement des saisons, elle met le ciel sous nos pas et nous couche
De tes yeux qui brillent d’une lumière noire pour que mes pas portent ta lumière. Ton désespoir porte mes pas vers ta lumière noire. Ton désespoir fait l’éclair de tes yeux pleins de buée.»
J’entends ton écoute du bout des doigts et ton écoute parcourt mon corps. Tout mon corps jusqu’à mes doigts qui entendent tes clairs de lune