Les Oiseaux et autres nouvelles

Ma deuxième lecture de cette autrice après ''Rebecca'' et je suis toujours autant sous le charme, bien qu'il s'agisse ici d'un recueil de nouvelles, de sept nouvelles exactement. Chacune de ces nouvelles a été très agréable à lire, bien que les registres varient beaucoup d'une histoire à l'autre. On est parfois dans le fantastique, parfois dans le polar/policier ou encore dans le frisson. A l'instar de ''Rebecca'', j'ai ressenti un certaine lenteur à démarrer pour deux ou trois de ces nouvelles, des démarrages qui font penser que l'histoire risque d'être un peu ennuyeuse, mais c'est toujours une lenteur savamment calculée pour mieux lancer la trame principale de l'histoire qui finit toujours par être prenante. Ce n'est en revanche pas le cas pour la nouvelle titre ''Les oiseaux'' qui nous plonge très vite dans une ambiance genre ''La nuit des morts-vivants'' mais avec des oiseaux (et dont la trame n'a pas grand chose à voir avec le film), histoire qui m'a beaucoup plu et dont le seul défaut étant qu'elle se termine trop tôt, sans résolution finale. La seconde nouvelle, ''Le pommier'' est peut être ma préférée et m'a beaucoup fait penser à certaines histoires d'épouvante/fantastique De Maupassant. La nouvelle ''Le vieux'' est d'un coté la moins intéressante à lire mais c'est également celle qui bénéficie du twist final le plus surprenant, qui nous fait comprendre que la façon dont on s'imaginait l'histoire en la lisant était complètement fausse. En bref un recueil très intéressant, et je possède deux autres livres de du Maurier : ''Ma cousine Rachel'' et ''L'Auberge de la Jamaïque'' que j'essaierai de lire dans l'année (au moins un en tout cas).

J'aime de temps à autre m'offrir des pauses détente. Et quoi ou qui de plus agréable que Daphné du Maurier et quelques unes de ses nouvelles pour vous tenir compagnie ?
Célébrissime pour ses romans - Rebecca -, - L'auberge de la Jamaïque -, - La maison sur le rivage -, l'écrivaine est moins citée pour ses nouvelles, ce qui est un tort.
Certes - Les oiseaux - qu'a immortalisé Hitchcock est gravé pour longtemps dans l'imaginaire collectif… mais sous son aspect cinématographique, lequel est passablement éloigné de sa création littéraire originelle.
Ce petit recueil d'un peu moins de 200 pages est une belle occasion de découvrir le grand talent de novelliste de Daphné du Maurier, et d'abord de revivre l'histoire de ces "drôles d'oiseaux" à travers la plume de sa créatrice. Croyez-moi, vous serez tout autant sinon plus emportés que par la caméra de qui-vous-savez.
Outre une écriture sobre et efficace, l'imaginaire et le savoir faire narratif de l'auteure font de - Les oiseaux -, - le pommier - et - Une seconde d'éternité - de passionnants moments de lecture, dont l'atmosphère à mi chemin entre le réel et le fantastique, l'omniprésence d'une tension et d'un suspense captivants vous happent et vous entraînent dans des histoires que vous n'oublierez pas de sitôt.

Je ne suis pas un amateur de nouvelles mais quand j'ai lu ce livre j'ai été emballé. C'est court mais c'est très dense et les histoires sont très différentes les unes des autres mais toutes d'une très grande qualité.

Une invasion d'oiseaux en tout genre, une ambiance lourde et angoissante, il n'en faut pas plus pour que la reine des romancières nous envoûte dans ce récit où le non-dit est de loin le plus terrifiant pour notre imagination !

Avis :
Cette nouvelle inspira le célèbre Alfred Hitchcock pour son film culte, Les Oiseaux. Mais ne vous y trompez pas, tout est déjà dans le livre !
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Dans ce recueil, on trouve trois nouvelles fantastiques de Daphné du Maurier, Les oiseaux, le pommier et Une seconde d'éternité.
Dans Les oiseaux, porté à l'écran par Hitchcock en 1963, Nat Hocken, un ancien combattant et blessé de guerre, assiste un soir à une attaque d'oiseaux sur sa maison. Ils entrent dans la chambre de ses deux enfants et se lancent en piquet sur eux. Nat parvient à les tuer ce soir-là, mais les attaques continuent et personne dans le petit village ne semble vouloir croire que les oiseaux aient pu devenir fous et attaquer les humains. La famille de Nat devra se calfeutrer chez elle pour échapper aux volatiles.
Dans le pommier, un homme, veuf depuis peu suite au décès de sa femme Midge, savoure son veuvage et sa liberté retrouvée. Mais, un pommier dans son jardin va lui donner du fil à retordre. Un matin, il le voit depuis chez lui et lui trouve une étrange ressemblance avec sa défunte femme. Il ne veut rien de cet arbre, ni son bois, si ses fruits, et il entre presque en guerre contre lui, au grand étonnement de ses employés de maison qui se demandent si leur patron n'est pas fou.
Dans Une seconde d'éternité, Mme Ellis, veuve depuis peu après dix ans de mariage et mère d'une fille de neuf ans, Susan, vit désormais seule dans sa maison. Sa fille, en pension la semaine, ne la rejoint que le weekend. La petite fille grandit et ses besoins évoluent. Mme Ellis songe à lui acheter un vélo. En revenant de promenade, elle trouve des gens chez elle. La police est appelée sur place et son discours est décousu. Elle semble avoir décroché de la réalité. Mme Ellis est-elle folle ou a-t-elle perdu la mémoire ?
En 1952, Daphné du Maurier écrivait trois récits où les éléments surnaturels avaient la part belle. La suspens est présent de bout en bout et ces histoires sont réjouissantes à lire. Aucune de ces courtes histoires n'a réellement de fin et le lecteur aura tout le loisir d'imagine une suite selon son inspiration.

Si vous évoquez « Les oiseaux », nombre de vos interlocuteurs penseront au célèbre film d'Hitchcock, sans savoir qu'il s'agit de l'adaptation d'une nouvelle de D. du Maurier (si, si, je vous assure, j'ai fait le test !), comprise dans un recueil qui en compte 6 autres :

- « le pommier » : le veuf de Midge, femme plaintive et geignarde, prend en grippe l'un des pommiers de son jardin, dont l'allure décharnée lui rappelle sa défunte épouse.
- « Encore un baiser » : le narrateur, jeune employé dans un garage, s'amourache d'une ouvreuse de cinéma, qu'il va jusqu'à suivre une fois la nuit venue.
- « le vieux » : s'adressant à un interlocuteur inconnu, un homme relate les étranges événements dont il a été témoin en observant la vie au bord d'un lac du « vieux » et de sa famille.
- « Mobile inconnu » : la femme de Sir John se suicide alors qu'elle est enceinte de 5 mois. Il charge un détective de mener l'enquête afin de découvrir les raisons de ce geste a priori inexplicable.
- « le petit photographe » : une marquise en vacances à l'hôtel avec ses deux petites filles se languit et s'interroge sur le sens de sa vie morne et ennuyeuse.
- « Une seconde d'éternité » : Mme Ellis vit seule la plupart du temps. En effet, elle est veuve et sa fille unique est en pensionnat. Un jour qu'elle rentre d'une promenade, sa maison est occupée par de louches individus.

Et enfin « Les oiseaux », nouvelle qui ouvre le recueil… ou comment de simples volatiles peuvent devenir, en l'espace de quelques heures, une source de terreur.

Au départ de ces histoires, soit les personnages sont placés dans des situations qui mettent en avant ce que la nature humaine peut avoir de sordide, voire de glauque, soit ils subissent un événement qui fait basculer un quotidien banal dans l'horreur, de façon tantôt réaliste, et tantôt fantastique.
Leur point commun, c'est que l'auteure ne les conclut pas de manière définitive : leur fin est sujette à plusieurs interprétations possibles, ou invite le lecteur à imaginer une suite.

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ces nouvelles. Contrairement au style de certains de ses romans, qui peut parfois sembler un peu vieillot, j'ai trouvé celui des « Oiseaux », par sa simplicité, très actuel. Hormis quelques indices qui permettent de situer les récits dans une époque, rien n'indique qu'ils ont été écrits au début des années 50. J'ai aimé aussi l'introduction d'éléments totalement irréalistes dans des histoires qui commencent comme des faits divers, et toujours, ce talent de D. du Maurier pour nous plonger dans des atmosphères oppressantes, et mettre le lecteur sous tension avec des détails subtils.

A ceux, donc, qui ne connaissent des « Oiseaux » que son adaptation cinématographique, j'en recommande vivement la lecture…
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J'ai eu quelques appréhensions sur quelques tournures de phrases "curieuses" de la traductrice, amatrice, semble-t-il, de passés simples très XIXe, notamment dans la nouvelle la plus célèbre, qui a donné son titre au livre. Mais petit à petit, je me suis laissé prendre au fil de ces histoires étranges, suprenantes - toujours - même quand on croit l'avoir déjà lu. Et on comprend le choix du grandissime Alfred...

C'est avec plaisir que j'ai retrouvé la plume de Daphné du Maurier pour cette lecture commune du mois anglais. le livre est en réalité composé de plusieurs nouvelles.

J'ai été déçue par Les Oiseaux car le récit semble être inachevé. En effet, il n'y a pas de dénouement. le lecteur est libre d'imaginer la suite or je préfère une histoire qui se conclue concrètement. J'en attendais peut-être un peu trop car c'est cette nouvelle qui est mis en avant et qui est la plus connue.

Les nouvelles que j'ai apprécié sont le pommier, Encore un baiser et, le Vieux.

Le pommier : un homme est obsédé par un pommier qui ressemble un peu trop à sa femme défunte. Cette obsession est-elle imaginaire ou tout simplement la réalité ?

Encore un baiser nous raconte l'histoire d'une jeune fille mystérieuse. Je me suis demandée si cette jeune femme n'était pas un vampire ou une autre créature de la nuit. Daphné du Maurier vous donnera la réponse.

Le Vieux : j'ai eu un coup de coeur pour cette histoire familiale à la fois touchante et tragique. La chute est excellente.

Les autres nouvelles sont biens écrites mais pas autant que les trois citées ci-dessus. Finalement, j'ai une préférence pour les romans de Daphné du Maurier plutôt que pour ses nouvelles.
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Il s'agit d'un recueil de sept nouvelles, dont la première est intitulée Les Oiseaux et qui a inspiré Hitchcock pour son célèbre film, mais toutes les nouvelles sont mystérieuses ou angoissantes, flirtant tantôt avec le réel et tantôt avec le fantastique, frôlant parfois l'horreur... Les nouvelles étant toutes très abouties, je vais consacrer quelques mots (voire plus !) à chacune.

Les oiseaux
Je pense que c'est celle que j'ai préférée. Je l'ai commencée un soir, dans l'idée de juste lire les premières pages, et j'ai été incapable de reposer le livre avant de l'avoir finie. Nous faisons la connaissance de Nat, ancien combattant et blessé de guerre, qui travaille dans une ferme. Il aime observer les oiseaux, et se rend compte, alors que l'hiver s'installe, que ceux-ci se comportent bizarrement. Il va essayer d'alerter autour de lui, mais personne ne prêtera attention à ses craintes.
L'intrigue est menée avec une grande maîtrise et c'est extrêmement bien écrit. On s'interroge, on suit Nat et sa famille, on frissonne un peu de peur, l'horreur est de plus en plus tangible mais pas au point d'empêcher de dormir (heureusement pour moi…). Je ne sais même pas en parler tellement c'est génial. Je ne voulais pas arriver à la fin mais je ne pouvais pas m'empêcher de continuer ! Tout est très bien pensé, les détails se succèdent, formant un ensemble très cohérent, qui nous plonge immédiatement dans l'ambiance. L'intrigue joue sur des peurs assez universelles (notamment celle l'inexplicable) et peut ainsi toucher tout le monde, mais je n'étais pas mécontente de sentir un peu le climat post Seconde Guerre mondiale des années 50. le texte en tout cas n'a pas pris une ride. Ce genre de thème marche toujours aussi bien de nos jours ! le personnage principal est en plus très attachant. Débrouillard et intelligent, il est dévoué à sa famille et a tout du héros qui s'ignore, j'ai aimé le suivre et trembler pour lui. Quant à la fin, eh bien… C'est du Daphne du Maurier !

Le pommier
Excellente nouvelle également. Un homme, veuf depuis trois ans et qui se satisfait très bien de sa liberté, remarque un jour dans son jardin un pommier différent des autres. Décharné, les branches tombantes, il a l'air d'être presque déjà mort. Et surtout, il lui fait penser à feue son épouse, Midge…
Ce texte est très subtil et en même temps on sent que l'inéluctable va se produire. Dès le début j'ai senti ce qui allait se passer, mais Daphne du Maurier décrit si bien le chemin qui y mène que j'étais comme envoûtée, ce qui est assez malsain d'ailleurs. Les descriptions sont particulièrement exceptionnelles dans cette nouvelle. Elle a insufflé une présence incroyable à ce pommier qu'on suit sur plusieurs mois, en tissant les fils de l'histoire du personnage principal en parallèle de l'évolution de l'arbre. le fantastique est léger tout en semblant être partout. Comme je le disais, la chute n'était pas une surprise, mais dans la construction de ce texte ça n'a aucune importance !

Encore un baiser
J'ai légèrement moins aimé ce texte à cause du type de narration choisi et du style qui va avec. C'est le personnage principal qui parle, nous racontant cette fois où il a rencontré une fille, ouvreuse au cinéma, et qu'il l'a suivie dans le bus qu'elle a pris après la dernière séance du soir.
Daphne du Maurier, pour rendre son personnage réaliste (et c'est réussi), lui donne un air légèrement péquenaud. Il appelle la fille « ma gosse », fait des phrases simples. Il a l'air d'un type un peu ennuyeux, mais ce qu'il va vivre est loin d'être ordinaire. Pour le coup, je n'ai pas du tout deviné la fin, même si je me doutais que ça avait un rapport avec un certain sujet. C'est vraiment la nouvelle à laquelle j'ai le moins accroché, mais ça reste très bon !

Le Vieux
Cette nouvelle m'a fait rire car je me suis faite avoir tout du long ! Un homme nous raconte, comme si nous étions devant lui, touriste ou nouvel arrivant dans le coin, l'histoire du vieux qui traîne là.
Pour le coup, je ne voyais pas du tout où l'auteure nous menait, avec ce narrateur un peu fantôme, qui nous met en contact avec ces personnages par son biais mais n'a pas d'importance en lui-même dans l'histoire. À quoi ça rime ? Au final, c'est un jeu subtil de l'auteure, qui réussit parfaitement à nous berner jusqu'à la fin et à nous étonner lors de la révélation, où l'on se pose et réfléchit avant de se dire que oui, elle nous a eus sur toute la ligne. Je n'en dis pas plus, c'est presque déjà trop !

Mobile inconnu
Une femme mariée, riche, heureuse, se suicide tout à coup dans sa belle maison, à l'effroi de son mari qui ne comprend pas. La police ne trouve aucun mobile et conclut à un coup de folie, mais Sir John ne croit pas à cette théorie et engage un détective privé pour faire la lumière sur cette histoire. Black va en effet finir par découvrir beaucoup de choses.
Celle-ci était géniale également, ma deuxième préférée on va dire ! Daphne du Maurier tente ici une nouvelle policière et mystérieuse où elle sème allégrement les indices, nous conduisant sur les traces de la vie passée de Lady Farren. Les ficelles du genre sont absolument maîtrisées et donnent une nouvelle digne d'Agatha Christie ! J'ai trouvé l'écriture très entraînante sur cette nouvelle, on a l'impression que ça va vite, une certaine fièvre nous tient en même temps que Black se rapproche de la solution… et la chute est également très bien.

Le petit photographe
J'ai apprécié cette nouvelle aussi, mais un peu moins, vous allez voir pourquoi. madame la marquise passe ses vacances dans un hôtel de luxe avec ses deux petites filles et leur gouvernante mais comme toujours elle en vient à rapidement s'ennuyer, jusqu'à ce qu'elle rencontre un photographe.
J'ai eu un gros problème avec l'héroïne, cette marquise qui m'est rapidement apparue comme imbuvable ! le « petit photographe » n'a pas cette image d'elle apparemment, et bien sûr ça cause des soucis à un moment donné. Je le trouve donc un peu stupide lui, je ne vois pas à quoi il s'attendait, ce qu'il espérait ! Néanmoins, à partir du moment où la nouvelle bascule, l'horreur de la situation nous apparaît bien, et la peur qui transpire dans chaque ligne salit aussi le lecteur. Et la fin, qu'on devine quelques lignes avant qu'elle soit révélée, et conforme à l'esprit de la nouvelle et personnellement me satisfait très bien !

Une seconde d'éternité
J'ai un peu moins aimé celle-ci également, mais pour des raisons différentes. On nous présente madame Ellis, sa vie de veuve bien ordonnée, les joies de l'existence qui se résument à sa fille, Susan, jusqu'à ce qu'un jour, plus rien ne soit comme avant.
Là aussi, le personnage principal ne m'a pas été très agréable, et en même temps on la plaint un peu, car elle nous apparaît très pathétique cette Mme Ellis. le déroulement de la nouvelle est très intriguant, on se demande où ça mène, les pistes se multiplient, mais la chute est un peu bancale, la fin brutale. Comme souvent avec cette auteure, on n'a pas de réponse claire, mais là c'était un peu trop fuyant, je n'ai pas été convaincue par cette façon de « sortir » de la nouvelle.

Ce qu'il y a à retenir de ce recueil, c'est que les nouvelles sont très accrocheuses, Daphne du Maurier possède une plume véritablement magnifique et quelquefois magique, et elle maîtrise aussi bien le format roman que celui plus court de la nouvelle. Hormis la dernière, j'ai trouvé que chaque nouvelle était bien détaillée, on n'a jamais l'impression que ce n'est pas approfondi ou que c'est trop court, autrement que parce que c'est trop bon !

Et voilà, encore un Daphne du Maurier, encore un coup de coeur. Si vous ne la connaissez pas, qu'est-ce que vous attendez ?
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Je n'avais pas fait attention que ce titre était en fait un recueil de nouvelles. Et quelles nouvelles ! On y retrouve ce côté très angoissant cher à Hitchcock. le lecteur est irrémédiablement entraîné dans la folie des personnages.
Parmi ces nouvelles donc, la première est bien sûr Les Oiseaux. Les oiseaux qui sont devenus fous et qui, au gré des marées, s'attaquent férocement aux humains…
Une autre s'intitule le Vieux. Un homme observe le vieux et sa compagne vivre, loin de tout. La chute de cette nouvelle est extrêmement étonnante.
Le Pommier, c'est cet arbre que vous voyez depuis la maison, que vous ne supportez plus et qui s'obstine à bourgeonner. Il ressemble presque à un être humain. Son odeur vous gêne. Sa vue vous gêne. Mais pourquoi êtes-vous le seul à qui il fait cet effet ?
Quant à Mobile inconnu et Une seconde d'éternité, attendez-vous à être pris aux tripes ! Dans la première, une femme à qui la vie souriait se donne brutalement la mort, sans explication. La révélation sera brutale… Dans la seconde, une femme part en promenade. Mais lorsqu'elle revient chez elle, plus rien n'est comme avant… Des gens se sont installés dans sa maison, personne ne la croit.
Vous aimez Stephen King ? Il est le digne descendant de Daphné du Maurier. Un livre qu'on garde dans sa bibliothèque mais qu'on n'est pas sûr de ressortir de sitôt…
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