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4,04

sur 1065 notes
Un roman que j'avais entendu parler grâce à l'adaptation télévisuelle avec Richard Chamberlain donc je m'y suis attelée en connaissant l'histoire, l'attachement entre le Père Ralph de Bricassart et la jeune Meggie Cleary qui au fil des ans se transforme en un véritable amour qui ne peuvent vivre en raison du choix de vie de Ralph.
J'ai découvert une belle fresque familiale et historique très riche agréable à lire qui s'étale du début des années 1915 à la fin des années 1960 avec une jolie brochette de personnages bien dépeints avec leurs défauts et leurs qualités qui m'ont touché et en prime une description de la vie à cette époque.
Ce roman est romanesque mais pas que ! Il relate aussi les relations et les familiaux avec trois générations de Cleary, la difficulté à cette époque d'être une femme, le choix cornélien de Ralph entre le devoir envers sa religion et l'amour qu'il porte à Meggie et la vie à cette époque avec entre autres celle difficile des éleveurs de moutons en Australie entre la période des moussons et celle des chaleurs intenses. Bref un beau roman dense et émouvant, triste également mais qui je trouve reste intemporelle.
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Une saga familiale entre la Nouvelle-Zélande, l'Australie et la vieille Europe, avec au centre la vie de la seule fille de la fratrie et son amour impossible pour un séduisant et ambitieux prêtre.
Une critique plus détaillée et d'autres sur
Lien : http://le-blog-d-elisabeth-g..
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Terminé a l'instant ce très jolie roman.
J'ai adoré, mais cette auteure est une valeurs sûre ses livres sont géniaux.
Meggie , une jeune fille tellement attachante et belle
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Notre histoire se déroule entre 1915 à 1969
La passion partagée par Meggie Cleary, femme de Nouvelle Zélande qui s'est installée plus tard en Australie et le prêtre Ralph de Bricassart devenu cardinal. Il y a beaucoup de douleur dans cette lutte entre ce bien, la raison, et ce mal et la tentation. Un beau texte magnifié par un climat des plus tumultueux.
Chaque ligne nous renvoie à un amour inassouvi, ceci dû au fait des hommes qui en ont décidé ainsi.
Certains pourraient y voir le scandale, la honte de s'être détourné des lois divines, moi, je n'y ai vu que le cri d'un amour inassouvi, tout comme ce cri poussé par cet oiseau de légende qui s'empale sur des épines de ronce et qui chante jusqu'à sa toute fin.




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Que de souvenirs cette lecture évoque en moi ! Oh, ce n'est pas une relecture, je suis sûre et certaine de n'avoir jamais lu ce livre, tout au plus des extraits épars et au hasard, avec un petit goût d'interdit. Car, oui : ce dont je me rappelle, c'est quand j'étais encore enfant, un peu plus de 10 ans mais au début des années 1980 on ne nous disait pas encore « ados » à cet âge-là : donc, je me rappelle ma maman toute contente à l'idée de voir sa mini-série du même nom, série que je n'avais pas le droit de regarder avec elle… mais je ne manquais pas de lire la revue des programmes TV (à cette époque lointaine où il n'y avait pas Internet) pour découvrir le synopsis de l'épisode du jour et rester en admiration devant les photos du beau Richard Chamberlain
Je suis tombée sur ce livre en cherchant l'un ou l'autre roman australien pour un challenge autour du monde, je ne pensais pas du tout à ce titre, mais quand Google me l'a proposé, c'était une évidence que je « devais » le lire ! Et ainsi, ce sont ces images volées à une maman peut-être un peu trop protectrice qui me sont revenues, et bien au-delà ! J'ai rarement lu une romance d'une telle intensité, d'une telle force narrative ; elle va bien plus loin que l'attirance entre un homme et une femme qui finissent par se découvrir. L'amour n'est que rarement dit, et encore plus rarement montré dans des scènes explicites (contrairement à tant de romances actuelles), et pourtant il est bien là avec des ramifications profondes comme des racines qui s'enroulent, se perdent dans les profondeurs, se rejoignent entre mères et filles, et vivantes comme des branches qui s'élancent vers le ciel et ne meurent jamais tout à fait même quand elles sont coupées durement. C'est l'histoire de toute une vie, de plusieurs vies qui s'entrecroisent, dans un cadre dur, avec des femmes fortes sous leur allure soumise ou rebelle, bien avant qu'on parle d'émancipation ou de droits des femmes…
Et bien sûr, c'est surtout une histoire d'amour impossible, parce que l'homme aimé (et qui aime pourtant) choisit l'Autre : Dieu et son Église, cette Église et son pouvoir, et l'argent aussi… le personnage de Ralph touche énormément, par cette originalité que représentent ses choix : les tourments d'un prêtre pourtant convaincu de sa vocation avec ses aspects célestes, mais tellement fragile comme un homme, n'ont jamais été ainsi exploités je crois, avec une telle justesse réaliste qui fait que l'on vibre avec lui, dans tout son cheminement émaillé de mauvais choix, lui le jeune prêtre irlandais en Australie, qui deviendra prélat à Rome… Et que dire alors de Meggie ? Elle personnifie mieux que beaucoup d'héroïnes d'antan la femme soumise (dans le sens « traditionnel » du terme) à un père et des frères puis à un mari, mais libre malgré tout, malgré elle et malgré une énorme couche de naïve ignorance qu'il lui faudra des années à perdre.
En filigrane de cette magnifique et dramatique histoire d'amour, précédée d'une autre trop peu évoquée (celle de Fee, la mère de Meggie) et poursuivie à travers celle de sa fille Justine, on a aussi une véritable ode à l'Australie à travers trois générations de colons, qui ont apprivoisé une terre pourtant hostile, un climat qui n'en fait jamais qu'à sa tête. Par ailleurs, l'auteure ne manque jamais une occasion de soulever l'un ou l'autre sujet d'actualité lié à l'époque que ses héros traversent. Pour citer ceux qui m'ont le plus marquée : elle dénonce l'absurdité de la guerre, et notamment le silence assourdissant du Vatican lors de la 2e guerre mondiale ; ou encore les dangers d'une « guerre bactériologique », prenant en exemple celle qui a été menée contre les lapins trop nombreux en Australie (car, importés par un colon anglais sans cervelle, ces adorables se sont répandus de façon incontrôlable, n'ayant pas de prédateurs naturels là-bas… jusqu'à ce qu'on fasse circuler le virus de myxomatose qui a fini par « sauver » les étendues herbeuses, et dès lors l'économie de tout un pays, reposant sur l'élevage de moutons, qui autrement n'avaient plus d'herbe !).
Ainsi, même s'il y a ici et là quelques longueurs, même si le récit semble parfois un peu daté dans la façon d'être écrit (par exemple, il n'est jamais question des aborigènes… ce qui serait hautement politiquement incorrect de nos jours, mais l'était sans doute beaucoup moins en 1977 lorsque ce livre est paru), tout ce roman est porté par un souffle épique. Il vibre d'une puissance toute particulière, à travers un sujet devenu peut-être obsolète (on ne trouve plus guère de jeunes et beaux prêtres, déjà, à la base !) mais qui n'en touche pas moins de façon universelle.
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Les oiseaux se cachent pour mourir est devenu un de mes romans préférés à l'instant où j'ai découvert cet amour invincible entre Meggie et Ralph, qui a été en quelque sorte leur tragédie également.
L'histoire est tellement touchante qu'il nous est impossible de ne nous identifier à aucun des deux personnages, pour vivre en même temps qu'eux cet amour impossible. D'un côté, il y a Meggie qui, depuis toute petite, voue une admiration sans bornes à Ralph qui se mue au fil des années en une passion profonde et vraie. de l'autre, Ralph est un homme ambitieux qui ne saura pas choisir entre l'amour divin et l'amour d'une femme. Cela constituera, pour eux deux, le plus grand combat de leur vie.
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Ce livre n'est pas seulement un simple roman d'amour; il retrace également toute l'histoire d'une famille australienne du XXème siècle, en traitant des relations mère-fille, père-fils, des amours interdits, de la fatalité... On parvient également à voyager à travers les grands décors australiens décrits de manière splendide et d'observer les changements climatiques parfois imprévisibles du grand pays. Mais bien évidemment, ce qui ressort de ce gros roman, c'est la relation unique, précieuse et indicible entre l'attachante Meggie Cleary et le charismatique Ralph. C'est une passion dévorante, déchirante qui touche les deux êtres si sincères l'un envers l'autre, mais séparée à cause de la religion. Un roman marquant et puissant.
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Une magnifique histoire que du plaisir à lire.
Bien écrit, histoire sensée qui peut arriver ou qui est arrivée.
Mais aussi des femmes et des hommes courageux .
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Alors, tout d'abord, je tiens à préciser que ce n'est pas du tout mon style de lecture habituel. Je me suis laissé tentée par un nouvel horizon littéraire, m'attendant à une histoire niaiseuse à souhait, pleine d'amour(s) qui me collerait des boutons et autres allergies et parsemée de personnages féminins qui me donneraient envie de me jeter à terre pour faire une crise d'épilepsie. Je m'attendais à un récit historique mais décrédibilisé par une Cendrillon nunuche, éperdument amoureuse d'un prince charmant aussi cruche qu'elle...Enfin bref. Je m'attendais à beaucoup de choses, force est de constater que je m'étais enfoncé le doigt dans l'oeil jusqu'à la rate.
Pour le récit historique, j'avais raison. On découvre tout d'abord la Nouvelle-Zélande des années 1910 et dix ans plus tard, nous débarquons en Australie et ce, jusqu'à la fin du livre. On s'immerge dans le quotidien des paysans/fermiers/ouvriers de l'époque, on en apprend beaucoup sur l'immigration des colonies anglaises et bien entendu, vu que le livre se déroule sur la majeure partie du 20ème siècle, on se tape les deux guerres mondiales mais d'un point de vue que je ne connaissais absolument pas. En gros c'est l'histoire d'une famille, avec ses hauts, ses bas, ses joies, ses peines et ceci, sur trois générations, le tout saupoudré de l'actualité de l'époque, des avancées technologiques/scientifiques/sociales du 20ème siècle et surtout, de moult détails qui place le décor avec une justesse qui frise la névrose.
Parlons-en des détails. Ayant lu le Seigneur des Anneaux (et les adeptes du genre ne me contrediront pas je pense), j'ai subi les détails de Mr Tolkien avec plus ou moins d'enthousiasme. Les oiseaux se cachent pour mourir n'a rien a envié aux hobbits. C'est-à-dire que ce fabuleux pavé de 900 et quelques pages, croule sous les descriptions de personnages, de paysages, de meubles, d'animaux...etc. Tant et si bien que l'histoire en elle-même n'atteindrait pas même la moitié des pages si on enlevait les dites descriptions. C'est le seul point négatif que je reprocherais à l'oeuvre. Les 500 premières pages étaient enivrantes, car ne laissant aucune place à l'imagination, l'auteur parvient à nous immerger totalement dans l'univers qu'il décrit. Tous les détails permettent de visualiser les endroits à la perfection. Ceci étant dit, les 500 dernières pages étaient donc, une douloureuse torture. J'ai lâché le bouquin pendant une semaine, non pas parce que l'histoire m'ennuyait, mais bien à cause de ces descriptions ultra longues, ultra chiantes, et surtout ultra mal situées à chaque page ou presque, ce qui (à mon sens) noyait les dialogues et l'intrigue au milieu d'une masse d'informations, qui, après avoir piqué ma curiosité, a fini par me donner envie de me taper la tête contre les murs. Et tout comme le Seigneur des Anneaux, je ne me souviens pas le moins du monde de tous ces détails.
Bref. Mis à part ça, l'histoire m'a agréablement surprise. Enfin, agréablement, tout est relatif. Je m'attendais à du froufrous, du niais, du chamallow rose et mou. Mais j'ai eu le droit à la détresse, l'angoisse, la dure réalité de la vie de l'époque et tout ça parce que les Cleary, sont malchanceux à souhait. L'histoire d'amour finirait presque par être secondaire, tellement tous les personnages ont leur place et tellement il se passe de trucs moches tout au long du bouquin. Chacune des personnes qui compose la famille Cleary a le droit à sa part du gâteau. Les parents de Meggie tout d'abord. Paddy, le père, est un homme doux, attachant. Il aime sa famille plus que tout et ça se sent. Il a énormément d'affection pour sa seule fille, et dès le début de l'histoire, on aime le personnage. Fee, la mère, c'est plus compliqué. Je ne l'ai ni détestée, ni aimée. Elle est froide et indifférente. Elle ne sourit, ni ne rit jamais mais elle s'occupe du foyer et de ses enfants de façon irréprochable, même si elle préfère un de ses fils, l'aîné, Frank. Et lui, je l'ai adoré. Son personnage est pourtant le moins aimé de l'histoire. Il ne ressemble ni à son père, ni à ses frères et il a un tempérament qui le pousse au conflit presque tout le temps. Mais j'ai aimé sa fougue, sa passion, et sa détresse face à une vie qu'on lui impose mais qu'il n'aime pas. Il est rebelle et j'aime beaucoup les personnages qui marchent hors des sentiers battus. Les autres frères je n'en parlerais pas, pas qu'il n'y ait rien à dire, mais ce serait trop long justement. Alors il nous reste Meggie. Seule fille au milieu de 5 frères elle doit se charger des corvées de la maison parce que, oui, à l'époque, les femmes étaient des bonnes à tout faire toute leur vie. Mais Meggie est un personnage fascinant. On évolue avec elle, on aime et déteste avec elle, sans pour autant savoir si on l'aime ou pas. Personnellement, j'ai du respect pour elle, et contrairement à certaines personnes de mon entourage qui ont fini par la détester à la fin du livre, j'ai continué à éprouver le même attachement et la même sympathie tout au long de l'histoire. Il faut dire qu'elle a vraiment une vie de merde, et je trouve qu'elle s'en sort plutôt bien. Elle est une rebelle dans son genre, mais à l'aspect beaucoup plus lisse que son frère Frank. Elle a beau aimé chevaucher comme les hommes, rêvant qu'on s'adresse à elle comme à ses frères, elle n'en reste pas moins une femme dont le souhait le plus cher est de fonder une famille et un foyer. C'est le plus triste pour moi. Elle qui au début du livre avait un potentiel de "marginale", qui voulait être libre, et qui avait une relation fusionnelle avec Frank, finit par désirer ce que, apparemment, toutes les femmes de l'époque désiraient. Une vie rangée, avec un mari et une portée de gosses pour perpétuer l'espèce. Mais Meggie tombe amoureuse du Père Ralph à dix ans, et elle ne se défera jamais de cet amour. Et Ralph, lui, prêtre de sa condition, éprouve les même sentiments. Lui, par contre, j'ai fini par le détester. Peut-être parce qu'il est l'épitomé de la perfection au début, parce qu'on le voit au travers des yeux d'une fillette de 10 ans. Mais il finit par se casser la gueule de son piédestal et on se rend compte qu'il est le plus humain, le plus imparfait, de tous les personnages du livre. Et je ne l'ai pas détesté pour ce qu'il devient mais plutôt parce qu'il est justement resté le même jusqu'à la fin. Meggie et Ralph sont, pour moi, la plus belle histoire d'amour qu'il m'ait été donné de lire, parce qu'elle est la plus triste, la plus dramatique et à la fois la plus pure et la plus intemporelle. Je suis pourtant fan des Disney et des fins heureuses que ça induit forcément. Mais Les oiseaux se cachent pour mourir c'est la réalité dans sa forme la plus crue, la plus douloureuse mais surtout la plus sincère.
Ce livre est un coup de coeur pour moi. Peut-être parce que je ne m'attendais pas du tout à ce que j'ai lu. Ou peut-être parce que, à aucun moment de la lecture, je n'ai senti la fiction. Ca aurait très bien pu être un récit historique pur et simple au lieu d'un roman, que ça ne m'aurait pas choquée. Même si il se passe vraiment des trucs horribles et tristes tout le temps, c'est la réalité de l'époque. Les gens qui meurent à cause du travail, des conditions météorologiques ou de la maladie...Bref, des gens qui meurent, c'est la vie. Et ce qui m'a plu, c'est que ce n'est pas décrit de façon dramatique et larmoyante. Les personnages qui affrontent le deuil ont de la fierté, beaucoup de fierté, et ils combattent pour survivre à la perte, survivre à la malchance et surtout, ils combattent pour continuer à aimer. On peut ne pas aimer leur façon d'appréhender les choses qui arrivent dans leurs vies, mais ces personnages sont plus humains, plus réellement humains j'entends, que bon nombre de personnes que j'ai pu croiser dans mon existence. L'auteur a voulu écrire une histoire empreinte d'une juste réalité, d'une juste temporalité et d'une juste émotion, et franchement, c'est réussi.



Je conseille cette lecture à ceux qui, déjà, n'ont pas peur des pavés. 900 pages ce n'est pas le bout du monde, mais avec les descriptions, ça prend un temps fou. Mais surtout, je le conseille à ceux qui voudraient en apprendre un peu plus sur la vie en Australie au 20ème siècle, à ceux qui veulent lire une histoire d'amour qui a du sens, qui paraît concrète. Et même si la légèreté n'existe pas dans Les oiseaux se cachent pour mourir, on passe un excellent moment tout en ressentant un panel d'émotions qui va du plus négatif, au plus positif.
Lien : http://xenaddict.blogspot.fr..
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Ce livre est en effet un livre-événements ;un livre qui vous marquent .Livre que ma mère m'a passé et qu'elle a adoré .Maintenant je comprends pourquoi .
L'auteur a une plume exceptionnel ;une de ces plumes qui nous fait voyagé dans un autre temps ,un autre lieu .Pendant toute ma lecture j'étais là-bas ,en Australie ,avec ces merveilleux personnages .Personnages profonds ,réels ,authentiques ;qui ont un caractère bien à eux .Il en y a beaucoup ,des personnages ,mais on ne les oubli pas ,on les reconnait sans problème ,mettant un nom sur un caractère .
L'histoire se déroulant sur un demi-siècle ,racontant l'histoire de toute une famille ,est d'un réalisme à vous coupez le souffle .On vit leur joie en même temps qu'eux et on ressent leurs peines .
Ce livre ,profond et réaliste ,est de ceux qui me marquent à jamais ,de ceux que je n'oublie pas ,de ceux ,que ,quand on m'en parle ,je peux citer tel ou tel personnage .Livre dont je n'aurais de cesse de parler .
Livre tout simplement époustouflant .
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