Les oiseaux se cachent pour mourir

Un classique certes mais que j'ai découvert avec plaisir : n'ayant jamais vu le film avec Robert Redford, l'histoire m'était totalement inconnue.
La vie rude des éleveurs au fin fonds de la Nouvelle Zélande puis de l'Australie m'a profondément marquée : la lutte constante contre les éléments et cette capacité de résilience sont impressionnantes.
Et évidemment cette histoire d'amour qui dure pendant près de 50 ans !
Magnifiquement écrit et très émouvant!

J'avais beaucoup aimé cette grande saga australienne que j'ai lue il y a plus de vingt ans.

Avis mitigé en vue ! Il est clair que j'ai aimé l'histoire dans sa généralité cependant il y a quelques éléments qui m'ont dérangé, dérouté, voir frustré. Mais d'un autre côté il m'a plu, il m'a touché, il m'a embarqué !

Tout d'abord, on rencontre la petite Meggie Cleary le jour de ses quatre ans. Elle sera notre principal fil conducteur tout au long du livre. Bien que sa famille soit la clé de l'évolution de son histoire.
Nous sommes donc en 1915 en Nouvelle-Zélande, où la famille Cleary ne mène pas une vie évidente. le père travaille beaucoup et la mère élève ses enfants 7 enfants dont Meggie qui est la seule et unique fille.
Dans les années 1920, Mary Carson, la richissime veuve et soeur de Paddie Cleary (le père). Vivant en Australie et n'ayant aucun héritier direct, décide de faire venir son frère et toute sa famille. Afin de leur passer progressivement la main sur son immense domaine qu'est Drogheda. C'est alors que Meggie rencontrera pour la toute première fois le père Ralph à l'âge de 9 ans…

Cette histoire, je peux vous le garantir, ne vous laissera pas de marbre ! Car elle nous fait passer par tellement d'émotions différentes et contradictoires que l'on en ressort chambouler. Cependant je suis restée sur un sentiment de frustration que j'aurais difficile à vous décrire sans vous dévoiler l'essentiel. On a un trop-plein d'actions mais surtout de drames… Tout ce jeu d'amour interdit est à la fois frustrant et magnifique.

L'écriture de Collen McCullough est très fluide, agréable, touchante et descriptive. Beaucoup trop descriptifs, à certains moments, on se retrouve avec plus d'une dizaine de pages de descriptions (ce qui explique ses 897 pages). Je l'ai trouvé en règle générale mal dosée. Car quand on parle de l'environnement et du cadre de l'histoire, je l'ai trouvé parfaite. En tournant les pages de ce livre, je sentais cette chaleur Australienne envahir la pièce. Tout ça pour dire qu'il y a beaucoup trop de longueur à mon goût. Cependant, je tiens à souligner la modernité de la plume de l'auteur, car il faut savoir que celui-ci a été écrit en 1977.

La suite sur mon blog !
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J'ai toujours entendu parler de ce téléfilm, mais à l'époque j'étais beaucoup trop jeune pour que ma mère m'autorise à le voir. Dès que j'ai eu l'âge de la lire, je l'ai emprunté à la bibliothèque.
J'ai été plongée dans une fabuleuse romance à l'eau de rose comme je les aime avec des secrets, de l'amour, de la peine, de la trahison.
Je sais que certain se moque lorsque je parle de ce livre, mais c'est tout de même un incontournable du genre, qui je trouve ne vieillit pas du moins la version littéraire parce que le film : oublier le.

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Une grande histoire d'amour, des rebondissements improbable (mais non moins prévisibles) : un livre qui a priori n'avait rien pour me plaire. Et pourtant, le charme opère. L'écriture est fluide et la peinture de l'Australie qui y est faite m'a fascinée. Malgré une fin qui traîne en longueur, j'ai beaucoup aimé ce livre.
Lien : http://madimado.com/2011/12/..

J'avais dû le lire jeune-fille durant des vacances. Je garde plutôt en mémoire la série télévisée.
Une saga familiale mouvementée, en Nouvelles-Galles du Sud (Australie), dont l'histoire débute en 1920. Amours interdits, ambition, passion, deuil, héritage... Bref, tous les ingrédients d'une romance sentimentale, mais c'est également une fresque sociale intéressante, et c'est elle qui sauve ce livre d'une mièvrerie totale.

L'histoire :
La famille Cleary, fraîchement débarquée de Nouvelle-Zélande, arrive en Australie pour vivre dans un domaine appartenant à la soeur du père Cleary. Après avoir connu la misère cette famille nombreuse va découvrir une toute nouvelle vie. La jeune Meggie alors âgée de neuf ans, y rencontre le Père Ralph de Bricassart, jeune homme ambitieux voué à la religion. Un amour interdit va alors naître et s'amplifier au fil des ans. Meggie lui voue un amour exclusif tandis que celui-ci se démène pour échapper à la tentation et assouvir l'ambition qui le pousse à devenir un personnage important au sein de l'Eglise.

Mon avis :
J'ai lu ce livre que l'on m'a conseillé dans un groupe littéraire Facebook dans le cadre d'un challenge lecture. le thème ? Un livre dont le titre comporte six mots.
Défi plutôt simple à relever et c'est avec ce titre connu que je l'ai fait. Un gros pavé de plus de 800 pages avec comme toile de fond l'Australie du 20ème siècle, contant le destin d'une famille d'éleveurs et une histoire d'amour impossible entre une jeune femme et un homme d'Eglise.
Effectivement vu comme ça ça aurait pu me plaire. Mais non ça ne m'a pas du tout plu ! Maintes fois j'ai failli abandonner ma lecture mais l'irrépressible envie de respecter mon challenge m'a fait tenir le coup. J'ai tenu bon, mettant plus d'un mois à en venir à bout, survivant à l'envie de mourir d'ennui... Vous devez me trouver dure et pourtant c'est vraiment mon ressenti. Je développe.
Le pire dans ce roman c'est la pléiade de personnages insignifiants qui intervient. Comme Meggie, qu'on découvre de l'enfance à l'âge mûr, femme au caractère passif et égoïste, aux réactions insensées qu'on a envie de gifler plus d'une fois. Ou encore Ralph l'homme parfait, dévoué à la cause de Dieu que tout le monde adore parce qu'en plus d'être trop beau il est trop cool. Ou bien Dane, ce béni oui-oui très gentil, très beau mais manquant cruellement de crédibilité. Bref on a l'opportunité d'en détester plus d'un ! le seul qui mérite que l'on s'y intéresse c'est celui de Justine, la seule ayant une vraie personnalité et un aspect humain car imparfait. Malheureusement elle ne peut pas sauver tout ce pavé à elle seule.
L'histoire est ennuyante, les intrigues sont soit inintéressantes ou trop prévisibles, et les événements trop longs à survenir. L'histoire d'amour entre Meggie et Ralph est tout autant décevante.
Est-ce que ces ressentis sont dus au style plat de l'écrivain ? Sans aucun doute ! Ça manque de vie, d'émotion. Même les événements tragiques ne m'ont fait ni chaud ni froid. C'est trèèèèèès long. Les nombreuses énumérations des plantes présentes dans le décor australien n'aident pas à titiller notre intérêt bien au contraire.
J'avoue avoir survolé plusieurs passages, surtout vers la fin, ma patience atteignant ses limites. Bon, la toute fin m'a un peu intéressée, mais 50 pages sur 875 c'est trop peu.
Vous l'avez compris j'ai détesté ce livre, je n'arrive même pas à comprendre son succès ! Rarement je me suis autant ennuyée devant un livre, cette lecture a été une épreuve. J'ai lu pour dire de lire mais sans aucun plaisir, je ne pense pas que le respect du challenge valait le coup de perdre autant de temps. Tant pis pour moi, mais vous, fuyez pauvres pêcheurs pendant qu'il en est encore temps !
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J'ai le sentiment que toute une génération a lu et apprécié ce livre immortalisé par la série télé. Une belle histoire d'amour interdite, impossible et tellement belle! 20 ans après l'avoir lu je ne pense pas que mon regard serait identique. Mais c'est le propre de la maturité. Cela reste encore un très bon souvenir livresque.

Lu à l'adolescence...relu à un âge plus avancé...que du bonheur

J' ai adoré ce livre. L'histoire d'un prêtre qui tombe amoureux d'une jeune fille est magnifique. Si je me rappelle bien je l'ai lu en deux jours. Il est magnifique et bien écrit. J'ai même vu le film.