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3,63

sur 79 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
C'est un livre très sympathique que j'ai bien aimé. Il est assez classique, comme n'importe quel livre portant sur les highlanders, mais j'ai passé un bon moment de lecture quand même, moi qui voulais quelque chose de léger.
Certes Jamie n'a rien du diable en tartan promis dans le titre, mais je l'ai trouvé touchant, tout comme Emma, qui m'a bien fait rire. Ils forment un joli couple tous les deux, et leur relation se construit assez naturellement, ce que j'ai beaucoup apprécié.
L'histoire est bien construite, sans temps mort, avec une fin joliment tournée, si bien qu'on ne s'ennuie pas une seconde. Même les personnages secondaires sont intéressants.
Bref, si ce n'est pas de la grande littérature, car il manque un peu de profondeur, il m'a fait passé un très bon moment. A lire si vous aimez les highlanders et les histoires d'enlèvement.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Après un petit séjour en Écosse, la lecture d'une romance historique au pays des Highlanders avec kilts et gros bras était évidemment un passage obligé. Merci à mes collègues qui ont dégoté ce titre dans nos rayons, l'illustration de couverture était plus que prometteuse…

Les habitué.e.s de ce blog le savent, je ne suis pas une grande lectrice de romances, j'y trouve rarement mon compte mais plutôt l'occasion de lever les yeux au ciel d'agacement. Mais à chaque fois j'essaye de m'y plonger sans trop d'a priori, juste avec curiosité, l'esprit ouvert et avec l'envie de passer un moment léger et pourquoi pas émoustillant.
Soyons clairs, Teresa Medeiros ne révolutionne pas le genre. Les trente premières pages me semblaient même assez peu encourageantes du point de vue féminin. Parce que l'héroïne qui se sacrifie en acceptant d'épouser un vieux riche pour relever les finances familiales (dilapidées par un père joueur et alcoolique) et pour saisir la dernière chance qui lui est offerte de ne pas finir vieille fille (21 ans au XVIIIe siècle, c'est la fin de la fraîcheur pour ces demoiselles), c'est plutôt moyen niveau condition féminine. Si en plus vous ajoutez à cela l'enlèvement devant l'autel par un barbare écossais, et voilà le combo femme = objet de convoitise, d'échange et de menaces. Et c'est acceptable parce que ça se finit en romance trop mignonne. Super, j'adore.

Clairement, ça ne partait pas de la meilleure des façons. Mais contre toute attente, ça s'améliore. Alors ce n'est pas non plus un roman féministe avant-gardiste mais l'héroïne se révèle finalement moins cruche et soumise que ne le laissait présager les premières pages. Elle prend son destin en main, fait preuve de libre arbitre et fait valoir ses propres choix, pourtant assez controversés pour l'époque.

La romance est, en revanche, sans aucune surprise et sans réel moment fort. le sauvage Highlander est évidemment un barbare civilisé et au coeur tendre qui lui fait vivre une histoire d'amour merveilleuse et des orgasmes parfaits dès la première caresse. On n'y croit pas du tout mais c'est rarement le cas dans ce genre de livres.
Par contre, parfois, on peut être émoustillé par les scènes un peu plus érotiques présentes dans ces romances… je vous arrête tout de suite, ce n'est pas le cas ici. Les scènes de sexe sont à peine présentes – peut-être 3 ou 4 maximum – et ne sont clairement pas bien tournées. C'est vite expédié et pas du tout sexy.

D'ailleurs on ne peut pas dire que ce Diable s'habille en tartan soit particulièrement bien écrit. Teresa Medeiros ne s'embarrasse pas de beaucoup de descriptions alors le voyage en Écosse et au coeur des émotions n'est pas complètement réussi.
Les scènes fonctionnent mais on les suit à distance, sans prendre part aux événements décrits. C'est, à mon avis, la grande différence entre un texte qui touche et celui qui ne fait que passer dans nos vies sans laisser de traces.

Le Diable en tartan est une romance historique ni inoubliable ni foncièrement mauvaise. Elle ne révolutionne pas le style mais n'agace pas trop non plus. Léger mais sans grand intérêt donc.
Lien : http://bazardelalitterature...
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Ce que j'aime dans mes LC avec Parthenia (ou d'autres) c'est qu'on ne voit jamais le livre de la même façon. J'ai parfois l'impression qu'on parle de 2 livres différents même si ce ne fut pas le cas ici.



Pourtant, Parthenia a focalisé sur l'époque à laquelle se déroulait l'histoire alors que ça ne m'a pas plus perturbée que ça. le seul élément qui nous a fait tiquer toutes les deux était le fameux dentier !



L'auteure prend son temps pour poser l'intrigue et les personnages et ils ne se jettent pas dessus dès la première page !

Il s'agit d'une romance anglo-saxonne assez typique, sans grande surprise avec un héros charismatique et une demoiselle en détresse, mais pas quiche ! On a même droit à la phrase qui hérisse le poil de Parthenia, vu qu'elle apparait dans nombre de romances actuellement. Personnellement, ce fameux « jouis pour moi » ne me dérange pas, mais maintenant dès que je vois cette phrase, je pense à ma binomette ! Jamais plus je ne verrai les romances de la même façon !!!



J'ai bien aimé les hommes de Jamie qui apportent une petite touche d'humour dans l'histoire ainsi que Ian Hepburn !! C'est le genre de personnage qui me tape dans l'oeil, car même s'il parait détestable, on se doute que c'est plus profond que ça !



En bref : une romance sympathique, mais on repassera pour le contexte historique qui est quasi-inexistant ! Par contre, l'Ecosse est sublime.

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Rien d'extraordinaire ou d'innovant dans ce roman, mais on passe quand même un bon moment au sein de cette romance historique. J'ai bien aimé les caractères des personnages.
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Tout d'abord, je dois dire que le personnage féminin a su me surprendre. Loin d'une jeune fille timide, Emmaline ou Emma, n'a pas la langue dans sa poche et les idées aussi d'ailleurs. Certes elle est naïve sur certains sujets mais comme toutes les jeunes filles anglaises de cette époque.

Quant à Jamie, j'ai eu du mal à me positionner sur ce personnage tout au long du roman. D'abord, en colère puis attendrie et de nouveau en colère envers lui, je dois dire que les scènes avec lui n'ont pas été simple.

L'intrigue apparait relativement simple : un enlèvement et une demande de rançon. Pourtant ce simple enlèvement révèle en fait un conflit familial vieux de plusieurs centaines d'années.

L'autrice prend le temps d'installer son histoire et pour faire naitre la romance entre Emma et Jamie. Cela se passe sur un temps relativement court et pourtant je n'ai pas eu l'impression que tout allé trop vite. Il y a peu de scènes charnelles, et à chaque fois j'ai ressenti l'amour puissant des deux protagonistes.

Malheureusement, malgré les descriptions, je n'ai pas été transportée dans les lands d'Écosse. Je trouve aussi que la solution pour résoudre tous les problèmes entre les deux clans est un peu facile mais aussi belle et bouleversante.

En bref, une romance qui prend son temps avec des personnages surprenants mais un manque d'Écosse et des ficelles un peu faciles.
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Voici un récit assez cohérent. Je suis donc assez contente d'avoir replonger dans les romances dites historiques. Jamie et Emma sont attachants. Leurs personnalités se dévoilent au fil des pages. La jeune anglaise semble se déniaiser un peu. Jamie n'est pas uniquement un hors-la-loi. Il y a le traditionnel enlèvement de la belle. Je crois qu'on ne peut pas y couper dans ce genre d'histoire.
Emma révèle un peu plus ses conditions de vie et sa place dans la société. le comportement de ses proches est presque réel.
La majorité du récit se passe dans la forêt entre Jamie et Emma. Cela donne l'impression qu'ils sont coupés du monde.
Tout n'est pas noir ou blanc. Jamie n'est ni le chevalier blanc, ni l'horrible bandit. le comte, fiancé d'Emma, est détestable, mais n'en reste pas moins un homme. Il est cupide, sadique et peureux.
Je suis un peu embêtée de ne pas savoir réellement à quelle époque se déroule tout cela. Il n'y a pas véritablement de rappel de convention de l'époque, si ce n'est la virginité de la mariée. Je n'ai pas eu de surprise en lisant ce roman. C'est ce que je reproche à bien des romans de ce type. L'originalité n'est pas beaucoup présente. Il y a un comique de situation, mais je n'ai pas souris. La fin ne m'a pas convaincue.
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J'avais déjà lu ce livre à il y a quelques années mais je ne me souvenais plus de l'histoire.

Alors qu'elle est sur le point d'épouser un homme qui pourrait être son grand-père, Emmaline Marlow (une Anglaise) est enlevée devant l'autel par un jeune (et vaillant) highlander. N'est-ce pas ce qu'elle avait un instant espéré en découvrant l'homme qu'elle devait épouser pour sauver sa famille de l'indigence?

Entre les clans Sinclair (le Highlander) et Hepburn (le fiancé écossais ^^) la haine est ancestrale sans parler d'une sombre histoire de double meurtre venue envenimer la situation.

L'intrigue est assez crédible dans l'ensemble mais manque un peu d'humour. Je préfère de loin les livres de Julie Garwood ou de Hannah Howell.

Challenge multi-défis 2017 (45)
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J'ai été très heureuse quand ma binômette Cassie m'a proposé de lire le diable s'habille en tartan en LC, en priant pour que ce ne soit pas trop la Bérézina, car les romances anglo-saxonnes et moi sommes comme qui dirait, à de rares exceptions près, assez incompatibles... Mais comme Cassie accepte de son côté sans broncher mes dézingages en règle, je n'étais pas non plus très stressée par la possibilité d'une déception !

Je dois dire que le début m'a fait un peu peur, et ce pour plusieurs raisons :
- je n'aime pas qu'un livre commence par un dialogue
- je n'aime pas que l'époque où est censée se dérouler l'histoire ne soit clairement identifiée.

Au vu de la 4è de couverture, je pensais que l'histoire se déroulait entre le XIVème et le XVIè siècle, voire le XVIIè siècle, mais il s'avère que les personnages évoluent vraisemblablement au début du XIXè siècle. Sachez cependant que nous ne connaîtrons jamais la date exacte malgré quelques indices temporels égrenés de ci,de là. Ce qui a été un peu gênant au début car je ne cessais de me poser quelques questions hautement existentielles : mince, les jeunes filles de l'époque étaient-elles déjà niaises au point de rêver au prince charmant ? que diable vient foutre un dentier en faïence de Wedgwood à cette époque ?!? ^^ Ouh là là, mais ne serait-ce pas là un premier indice temporel ? Wikipédia étant mon ami, je découvre que la manufacture de Wedgwood a été fondée en 1759... Une autre piste est donnée dans la presque foulée avec certains des cadeaux par son promis à Emma et qui porte sur les livres de William Blake (Chants de l'innocence) et de Fanny Burney. Hop hop hop, direction le web qui nous apprend que le livre du premier auteur est paru en 1789 et le dernier roman de la deuxième en 1814.
Le troisième indice temporel est donné avec la mention du Quarante-Cinq et du Bonnie Prince Charlie, donc en 1745 soit moins d'un siècle où est censée se dérouler l'intrigue... (Un siècle, ça fait un peu large comme mesure...). Nous apprenons que les héros vivent au Siècle des lumières qui prend fin en Ecosse vers 1800. Enfin le dernier repère temporel est donné avec les mentions des peintres Gainsborough et Reynolds qui ont vécu au XVIIIè siècle, dit du siècle précédent selon l'un des protagonistes...
Comme vous le constatez avec cette longue digression, cette absence de repère temporel m'a aussi bien obsédée que dérangée (à moins que ce soit le contraire...^^)... En tant que lectrice, je me suis sentie dans la peau de Sherlock Holmes à force de tenter de déduire l'époque de l'action, et j'en ai éprouvé de la frustration...

Heureusement, le soulagement m'a assez rapidement envahie quand j'ai constaté que l'auteure prenait son temps pour poser ses personnages et j'ai finalement pu me laisser happer par l'histoire. L'évolution des relations entre Jamie et Emma se fait de manière cohérente, on comprend tout à fait leurs réactions, leurs réticences et leur mépris face à leurs motivations supposées qui se transforme peu à peu en admiration. Jamie apparaît comme un hors-la-loi mystérieux et suprêmement viril, et l'héroïne n'est même pas agaçante !! Au contraire, Emma fait preuve à la fois d'une naïveté désarmante et d'une force de caractère impressionnante, ce qui donne parfois un côté décalé et cocasse à leurs propos ! J'ai beaucoup aimé leurs joutes verbales, le sens de la répartie très mordant de l'héroïne auquel répondait avec beaucoup d'à-propos Jamie qui ne se laissait que rarement démonter. D'ordinaire ce genre de dialogue finit par tourner à une surenchère lassante, comme dans d'autres romances que j'ai pu lire, mais pas ici... Ça s'accélère ensuite un peu entre eux mais toujours de façon vraisemblable, et les pensées d'Emma sur la dure condition des femmes sont vraiment touchantes...

Même si les personnages secondaires ne sont pas beaucoup développés, on a le temps de s'attacher à eux. J'ai particulièrement aimé les hommes de Jamie qui sont irrésistiblement attendrissants !

J'ai également bien aimé les descriptions de l'auteur sur le décor, le paysage, toute cette ambiance mélancolique qui s'en dégage. le fait que l'histoire se déroule essentiellement en une sorte de huis-clos (Jamie, ses hommes et sa captive fuient dans les montagnes) accentue cette impression, cette sensation de communion avec la nature.
En plus, même si le contexte historique est pratiquement inexistant, les normes sociales sont peu ou prou respectées (enfin rien de choquant ou d'incohérent à mes yeux !!^^)...

L'histoire possédait donc d'indéniables atouts pour me plaire... jusqu'à ce que j'arrive au fameux passage situé à la moitié du livre environ, où Jamie demande à sa partenaire :"Jouis pour moi"... alors qu'il est en train de la déflorer ?!!!? arghhh... pourquoi tant de haine ? pourquoi ce craquage complet de l'auteure alors qu'elle se débrouillait si bien jusqu'alors ? pourquoi, hein ?!? autant vous dire que cette phrase m'a fait débander illico (si je puis dire) et fait perdre au roman plusieurs bons points....

Pour conclure, une romance très agréable à lire mais gâchée par le tic anglo-saxon de la jouissance sur commande (j'en suis blasée !). Les personnages sont cohérents d'un bout à l'autre par rapport à leur personnalité et leur vécu (et ça change agréablement des autres romances anglo-saxonnes). Certains passages sont écrits de manière très drôle, et le comique de répétition clôt de manière jubilatoire l'histoire...

Lien : http://parthenia01.eklablog...
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Pour sauver ses parents et ses soeurs de la faillite dans laquelle son père les a plongé en jouant à des jeux d'argent, Emmaline Marlowe a décidé d'épouser le comte Hepburn, plus âgé qu'elle d'au moins 60 ans.

Mais le jour des noces, Jamie Sinclair, l'ennemi des Hepburn depuis des siècles enlève Emma et l'emmène loin du comte pour lui réclamer une rançon.

C'est sans compter sur les sentiments qui vont naître entre Emmaline et Jamie.


J'ai beaucoup aimé ce livre. Je suis très roman à l'eau de rose donc forcément, même si je sais comment la fin va se terminer, j'aime toujours autant les lire. Je n'ai donc pas été déçue avec ce livre et le ténébreux Jamie, ses airs de dur à cuire, de méchant garçon. L'histoire est bien ficelé et l'intrigue pas trop vite dévoilée.

On s'attend à ce que Emmaline soit une pauvre jeune fille un peu nunuche et finalement elle se montre effrontée, ose mettre Jamie au défi et ne se laisse pas faire devant ses airs de mauvais garçon.

Une lecture sans prise de tête.


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Un bon petit roman agréable à lire.

J'ai bien aimé l'histoire qui m'a fait penser aux harlequin que je pouvais lire adolescente.

L'histoire est sympa, il y a un peu d'action, il y a beaucoup d'humour, des complots et l'on passe un bon moment.

Cependant, c'est un peu idéalisé, tout le monde est gentil, la romance est vraiment mise en avant et ça manque un petit peu de piquant.

En tous cas, j'ai bien apprécié, pas de langage lourd ni pompeux, j'ai lu ce roman d'une traite.
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