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4,3

sur 942 notes
Avis de Grybouille (Chroniqueur sur le blog Léa Touch Book) :


Combien d'auteurs sont capables de sortir de leur zone de confort ?
D'autant plus si le dit auteur, en l'occurrence Deon Meyer, est déjà connu et reconnu comme un maitre dans le monde du thriller/Polar.
Une mise en danger pour notre plus grand plaisir ?
Vous le découvrirez en lisant les 625 pages du dernier roman de Deon Meyer.
Il décrit lui-même cette aventure : « J'ai écrit L'Année du Lion avec ferveur. C'est une histoire qui m'a obsédé pendant cinq ans. »

Le P'tit Duc, en lisant « L'année du Lion », a découvert une autre facette de cet auteur d'Afrique-du-Sud qui m'a déjà fait découvrir son très beau pays où la fin de l'apartheid n'a pas tout résolu dans cette société qui a déjà beaucoup souffert.

L'histoire,

Un monde où une fièvre endémique a décimé 95% de la population, un bon départ, non ?

Des hommes rendus pour certains à leurs plus bas instincts, un Père et son Fils qui portent un projet, des survivants lancés sur les routes, un monde qui perd ses repères, la difficulté d'unir et de diriger, l'Amour, la Haine, les luttes de pouvoirs, les mensonges des adultes, l'initiation des plus jeunes, la reconstruction.. .

Onze mois après les ravages de « La Fièvre », nous trouvons Willem Storm en compagnie de son fils Nico alors qu'ils ont survécu à cette catastrophe planétaire.
Amélia, la maman, ne donne plus signe de vie.

Dans le camion qu'ils ont trouvé et où ils ont stocké des matières de première nécessité. Willem a un projet, créer une communauté, donner un nouveau départ aux survivants.
Ce sera à Vanderkloof, village idéalement situé sur des hauteurs à proximité d'un barrage hydroélectrique.
Pour cela, il imprime une brochure pour ceux qui voudraient le rejoindre « Si vous voulez faire partie de cette nouvelle société ouverte, ordonnée, démocratique et libre, venez à Vanderkloof… »
Les bonnes volontés feront le reste.

Au rythme des arrivées, le village va reprendre vie avec plus ou moins de bonheur.. .
Le lien extérieur ? C'est le temps des colporteurs.

Un récit palpitant, étonnant, surprenant, captivant.. .

Le style,

Pour ce changement de thème Deon Meyer ne s'est pas ménagé.
La parole tourne entre les personnages. L'histoire d'Amanzi est relatée par les différents acteurs de l'aventure.
L'excellence nait de la difficulté et Deon Meyer avec son dernier roman « L'année du Lion » en est la parfaite illustration.
Chapeau bas !

Quelques personnages,

Willem, « le monde, maintenant…nous allons l'arranger, Nico, le raccommoder. Toi et moi. »
Nico, « J'avais treize ans quand j'ai tué deux hommes par colère envers le monde et envers mon père. »
Domingo, « …son sourire, ses yeux, toute sa présence me disent qu'il est létal. » dira de lui Nico.
Berryl Fortvin et les 16 enfants dans un camping-car, « C'est trop pour moi. »
Henni Laas, le pilote du Cessna 172, « …le vieux monde d'avant la Fièvre n'était pas forcément bon pour moi. »
Nero Dlamini, le psychologue, « le fait d'avoir une raison de vivre et de survivre a un impact sur la longévité… »
Sophia Bergman, « Et si j'étais la seule qui restait ? »
Pasteur Nkosi Sebego, « …je craignais le Seigneur. »
James Rankin, l'êvèque chef du groupe anglican.
Jacob, Birdie, Lizette, Mecky Zulu, Trunkenpolz, James, la KTM, Ravi, Jacob, Melinda, Cairistine, Abraham, les COpS…

« Les gens ont fait beaucoup de tort à la terre. Je me demande, n'est-ce pas la Terre qui aurait envoyé la Fièvre ? »
Si vous avez un peu de fièvre, pas de panique ce doit être un rhume d'automne, à moins que… Bon le p'tit Duc reste sous la couette, on ne sait jamais…
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Voici un roman post-apo intéressant qui m'aura dérouté tout au long de ma lecture.
Nico Storm, le narrateur, déroule ses mémoires de jeune enfant, adolescent puis jeune adulte depuis la Fièvre, épidémie meurtrière provoquée par une souche du Coronavirus (je précise que ce livre a été publié en 2019, juste avant notre propre épidémie). Sa mère disparue, son père décide de fonder une nouvelle société basée sur l'échange, le volontariat, l'entraide face à des groupuscules violents et pilleurs. Ce projet utopique conduit le père du narrateur vers une fin tragique : son assassinat. Ce meurtre est le point de départ du roman.
Ce postulat de base pourrait conduire le récit tambour battant en mode polar sur un décor à la mad max. Ce n'est pas tout à fait cela. Durant ce long récit mémoriel (long, voire très long), quelques témoignages d'habitants d'Amanzi (la nouvelle cité fondée par Willem Storm) viennent apporter des regards extérieurs au sujet principal. Les années s'égrènent au fil des pages. Portant l'emblème d'un animal, on suit laborieusement le développement d'Amanzi, les doutes, les peurs et les espoirs de ce qui est perçu par l'unique regard de Nico.
Je me suis globalement ennuyée à la lecture de ce roman. le point de vue quasiment unique est intéressant mais lassant sur le long terme. Les personnages rencontrés lors des témoignages incises ou observés de loin aurait, pour moi, mérité d'être plus approfondis. La toute dernière partie avec une sorte de révélation m'a plutôt déçu. Toutes ces pages pour en arriver là… Dommage. Il était intéressant néanmoins de suivre un récit loin de tout fatalisme « fin du monde » et sans dimension fantastique comme certains récits post apo peuvent l'être.
Bonne lecture à tous.
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Ce livre m'a été prêtée par une amie, et qu'est ce que je l'en remercie ! Je l'ai dévoré.

A la fois beau et dérangeant, il évoque l'histoire d'un père et son fils qui cherchent à survivre sur un continent décimé par une maladie. Arriveront ils à recréer une communauté et reconstruire les technologies sociologiques, militaires et techniques du monde d'avant ? La chute est imprévue et bien amenée.

J'ai par hasard lu ce livre en pleine période du covid... Certaines similitudes font sacrément réfléchir !

Je conseille définitivement cette petite pépite :)
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Ouvrage visionnaire, passionnant, que j'ai eu du mal à lâcher la nuit histoire d'emmagasiner tout de même quelques heures de sommeil.

Les personnages principaux sont attachants. L'humanité y est décrite dans toute l'étendue de sa vulnérabilité et ses vicissitudes, mais aussi dans toute son ingéniosité.

Je retrouve l'impitoyable talent d'écriture de Deon Meyer, devenu avec le temps mon auteur contemporain préféré. J'ai lu tous ses romans publiés en langue française à ce jour et attends le suivant avec impatience.
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Commençons par le commencement : j'ai adoré.
Pourquoi ?
1) écrire en 2016 sur un coronavirus qui décime 95% de la population mondiale, c'est alléchant.
2) la reconstruction du monde d'après ou comment répondre à la pyramide de besoins ( se nourrir , se défendre, s'aimer, s'éduquer ... est bien traité au travers de la communauté qui se structure
3) les sujets de la gouvernance , de la religion, de l'immigration avec l'arrivée de groupes humains avec des règles et des valeurs différentes sont aussi abordés intelligemment.
4) de l'action mais pas trop qui rend le livre dynamique et donnant envie de tourner les pages.
5) une construction intéressante qui permet de bien être à la place de nombreux personnages.
6) une écriture simple mais très honnête.
7) 75 dernières pages que je ne dévoilerais pas qui sont quand même pas mal...
En fait mon seul bémol est sur la révélation de la mort du père dès le début ce qui gâche un peu le plaisir de la découverte même si cela, je le comprends, permet un angle différent de la narration... quoi que .










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Ca fait du bien ces livres qui vous aspirent dans une frénésie de lecture et vous font oublier les écrans. J ai été passionné comme pas assez souvent par ce livre. c'est très bien ficelé au niveau action et en plus il y a une habileté global au niveau scénario enchevêtrement des personnages avec chacun plusieurs niveaux de lecture, une vision bien grise personne n est qu'un gentil tout le monde a sa croix. Un régal.
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Deon MEYER est un auteur que j'affectionne tout particulièrement depuis ma lecture de “L'âme du chasseur” , et bien sûr pour la série “Benny Griessel”, tant pour ses scénarios toujours bien ficelés, que pour l'humanité de ses personnages.
Avec « L'année du lion », on sort du cadre classique de l'Afrique du Sud contemporaine pour se trouver projetés de façon très réaliste au même endroit, mais après qu'un coronavirus ait anéanti 95% de la population mondiale …
Dans le contexte actuel, la mise en abyme est assez troublante ; d'autant plus que ce livre a été publié pour la première fois en 2016. Au-delà de cela, et de l'histoire personnelle captivante du héros Nico Storm et de son père, l'originalité du livre réside dans les différentes approches que les protagonistes adoptent pour survivre, s'organiser, se reconstruire, bâtir de nouvelles sociétés …
Comme on peut s'y attendre, le chaos régnant après que « La Fièvre » (le fameux virus) ait fini de moissonner des vies (l'histoire débute au moment où l'épidémie a pris fin) encourage les comportements extrêmes de certains, alors que d'autres tirent les leçons du passé et tentent d'éviter de renouveler les mêmes erreurs.
Vous l'aurez deviné, j'ai adoré ! J'ai acheté ce livre bien avant la pandémie actuelle, puis je l'ai mis de côté, un peu comme on garde une bonne bouteille dans l'attente d'une occasion à sa hauteur… Et puis, je l'ai retrouvé cet été, en ayant presque oublié le pitch, et ne l'ai lâché qu'une fois achevé. Les aspects techniques sont très bien documentés, le scénario et les situations réalistes, et les personnages denses à souhait. Deon MEYER a su adapter son art à un genre différent de son terrain de jeu habituel (le policier); c'est sans nul doute le meilleur livre que j'ai lu cette année.
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Il arrive parfois que certains grands auteurs de polars, qui nous régalent avec leurs héros récurrents, s'essaient à des oeuvres hors–série ou à des romans d'un autre genre. J'avoue avoir parfois été un peu déçu. Qu'en est–il lorsque Deon Meyer délaisse Benny Griessel, Mat Joubert etc… et le genre polar, pour une incursion dans le roman d'anticipation post–apocalyptique ? C'est une réussite digne du chef–d'oeuvre ! L'Année du Lion est une pure merveille !
En plus, le lire en ce moment est un fabuleux clin d'oeil. Imaginez un peu : un coronavirus, provenant d'une chauve–souris, infecte le monde entier et tue 95 % de la population humaine. Tout cela écrit en 2016 ! Pour ma part, la coïncidence de l'épidémie actuelle de coronavirus est fortuite car, en prenant le roman, je ne savais pas de quoi il traitait. Heureusement, les similitudes entre fiction et réalité s'arrêtent là.
Deon Meyer décrit une société violente où les hommes sont revenus à l'état d'animaux, luttant pour leur survie. Mais ce n'est pas un simple roman de plus du genre. Il y a bien plus dans L'année du Lion, qui oscille sans cesse entre des visions de l'humanité remplie d'espérance ou de noirceur. le père du narrateur construit une nouvelle société où la communauté est plus forte que l'individualisme. Sont développées toutes les valeurs et les qualités positives de l'homme : l'entraide, la solidarité, l'amitié, l'amour, mais aussi l'ingéniosité qui a permis à notre espèce de progresser. Mais, l'autre revers de la médaille humaine est les extrémités auxquelles l'instinct de survie pousse certains. Vols, viols, meurtres… Hormis ces personnes redoutables, les survivants doivent aussi composer avec de féroces meutes de chiens errants, rendus à la vie sauvage, une fois la civilisation humaine effondrée. L'auteur fait le parallèle entre ces hordes canines et les bandes de motards, qui pillent et tuent. Il fait dire à l'un de ses personnages, qu'homme et chien sont semblables. Une fois le vernis de la vie en société et de la civilisation a disparu, les deux redeviennent des animaux sauvages qui suivent leur instinct. C'est le contraire que veut démontrer le fondateur de la communauté d'Amanzi, en exploitant le meilleur de l'humanité. Mais, très vite, des dissensions apparaissent, qui entraînent des scissions. On voit aussi comment certains bonimenteurs profitent de la faiblesse psychologique des gens, dans cette condition de survie, pour s'ériger en faux prophète.
Outre l'histoire de cette communauté, le roman s'apparente de loin au polar car on apprend, dès la première page, que le fondateur d'Amanzi a été assassiné et que son fils, qui écrit plusieurs décennies plus tard, en guise de témoignage, est bien disposé à le venger la mémoire de son père.
La fin est très inattendue, tant sur l'identité des meurtriers, que sur la véritable origine du virus assassin… de quoi alimenter les âmes tourmentées des complotistes de tout poil.
Du fait de la pandémie actuelle, on a sorti Deon Meyer de son confinement près du Cap, pour l'interviewer à propos de l'aspect prophétique de L'année du Lion. L'auteur a déclaré qu'il avait pris beaucoup de plaisir à écrire ce roman, dont l'élaboration a pris 4 ans et qu'il avait, un temps, songé à continuer dans ce genre littéraire, mais que la situation actuelle l'amenait à abandonner ce projet… tout en affirmant que le confinement est un excellent contexte pour situer une nouvelle enquête policière.

Lien : http://www.polardesglaces.com/
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Après une longue interruption (déménagement + travail), je reviens vers Babelio (qui m'a bien punie en ne m'incluant pas dans sa masse critique, soit dit en passant), et vers la communauté.
Je reprends un peu mes esprits, car mon temps de lecture s'est bien amenuisée dans cette longue période. Qu'à cela ne tienne je viens d'ingurgiter trois livres dont celui-ci, "l 'année du lion". Je recherchai un livre d'évasion, bien j'ai été servie! Monde apocalyptique, suspens qui déploie ses ailes peu à peu, bon c'est pas "la route" de Cormack", mais il a son style, et se lit bien jusqu'à la fin, sans ennui ni pétarade de joie.
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Un très bon Déon Meyer qui revisite sous l'angle de l'écologie le genre post-apocalyptique. Virtuose, ce spécialiste du polar conserve son sens du suspens haletant et capture notre attention de bout en bout. Par certains aspects L'année du lion fait penser à La constellation du Chien de Peter Heller. Une épidémie, la fin d'un monde, des rescapés, des bandes violentes, un petit avion cessna, la reconstruction.

Nous entrons dans la vie de Nico alors qu'il a 13 ans. 90% de la population mondiale a péri dans une épidémie de fièvre qui s'est propagée sur la planète à très grande vitesse via les aéroports, les grands rassemblements et autres regroupements humains. Dès les premières pages, on sait que son père, Willem Storm, va être assassiné qu'il est un homme digne et brillant, qui après le désastre a bâti une communauté. Si le meurtre reste le fil rouge ce captivant récit, c'est la construction de ce nouveau monde sur les ruines de l'ancien qui reste l'essentiel du récit.

Avec son père, Nico traverse l'Afrique du Sud à la recherche d'un lieu bien situé qui leur permettra de refonder une communauté d'humains et de repartir sur d'autres bases. Ils ne sont que deux mais Willem a chevillé au corps à certitude que l'homme est bon et qu'il peut surmonter cette apocalypse. Il est convaincu que le vrai drame de cette épidémie est la perte irrémédiable d'une culture et des connaissances que l'humanité a mis plusieurs millénaires à développer. Cultivé, Willem instruit son fils, il lui explique la démocratie romaine, la faune, la flore, la production d'électricité, la patience... Quand ils croisent la route d'Hennie As qui survole la région avec un petit avion Cessna, la construction de la communauté peut commencer. S'y ajouteront l'énigmatique Domingo; la scientifique Birdie ; le pasteur Nkosi ; le psychologue Nero ; l'énergique Béryl, la pisteuse Sofia et plusieurs milliers d'autres tous très différents.

La communauté va se doter d'un nom : Amanzi mais surtout d'une organisation permettant un fonctionnement optimal du groupe. Avec l'arrivée de nouveaux rescapés elle acquiert les compétences pour couvrir ses besoins essentiels : nourriture, santé, éducation mais aussi pour sa défense. Afin, de consigner la construction du projet Amanzi, Willem va enregistrer les témoignages de chacun. Ceux-ci vont fournir au lecteur un récit polyphonique même si le narrateur principal reste Nico. Chaque événement important sera relaté sous plusieurs angles de vue. le vécu de la Fièvre, l'exode, la faim, les raids de vandales, mais aussi des étrangetés qui sont autant d'indices semés ça et là mais dont on ne comprendra le sens qu'à la fin.

On suit avec intérêt les hypothèses de Déon Meyer sur la construction de ce nouveau monde, les savoir-faire nécessaires pour l'électricité, la construction, l'irrigation, l'élevage..., l'arbitrage entre démocratie et dictature bienveillante, la gestion des groupes antagonistes, le nécessaire « communisme » du début et l'émergence d'une forme de capitalisme.

Cette communauté pacifique va se trouver, outre les turbulences internes, confrontée à des raids de pillards, à des bandes violentes qui forceront Amanzi a repenser sans cesse son sytème de fonctionnement, sa défense, ses centres de décision et sa communication.

Face au cataclysme provoquée par cette Fièvre, Déon Meyer ne manque, cependant pas d'écrire un chapitre intitulé « ce que tu regrettes le moins ? » (de l'ancien monde) . Certains ne regrettent rien et sont plus heureux dans ce petit univers où tout doit être repensé, reconstruit ensemble, les uns avec les autres dans une réelle et nécessaire solidarité. Les choses détestées sont « Facebook, plus que tout (...) Les amis sur Facebook, ce n'était que ça, un public. (...) » L'inégalité profonde, les milliers de gens croisés quotidiennement dans un total anonymat, les embouteillages, le souci de l'effondrement du monde, l'impression de ne servir à rien, ...

La fin c'est la découverte du meurtrier et - comme dans tous les bons polars, elle est inattendue. Ce que l'on peut regretter c'est une conclusion très - trop rapide. La révélation faite, Meyer boucle en quelques lignes une affaire qui nous a tenu 600 pages. C'est le seul point faible de ce roman passionnant qui par ricochet livre une sérieuse critique de notre présent.

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