N'éteins pas la lumière

J'ai été un peu décontenancée parce que j'ai trouvé des incohérences, et un Martin Servaz très en dessous par rapport à d'habitude (peut être est ce fait exprès après ce qu'il a vécu.
Pourquoi lorsque les policiers vont chez Mila , ils nl'emmènent pas au poste pour l'interroger ?
Christine qui réapparait , et qui se révèle machiavélique (on peut comprendre que l'expérience dans la chambre d'hôtel l'ait traumatisée mais bon...) et lorsqu'elle réapparait personne ne se pose des questions? surtout Martin en découvrant les deux ADN dans le trou?
De plus par rapport à d'habitude , j'avais deviné que c'était une femme qui était derrière tout ça , dès le début Servaz se met en tête que c'est Léo et ne cherche pas ailleurs....
Bref un peu déçu

Ce troisième roman de la série Servaz a du mal à décoller. Un gros pavé dont il faut lire au moins 200 pages pour en voir l'intérêt. L'histoire commence mollement avec notre Servaz en maison de repos pour flics mal en point. En parallèle on découvre Christine victime de harcèlement, manipulation et autres joyeusetés du genre. Les deux finiront par se rejoindre, forcément. le milieu du roman est bien plus captivant mais la fin m'a laissée perplexe et pas emballée. Trop ne rime pas forcément avec brio et c'est dommage. Je lirai quand même le tome suivant parce Servaz reste attachant.

Dans ce nouvel opus d'enquête de Martin Servaz, Bernard Minier s'amuse à remettre en cause notre santé mentale ce roman est peut-être le roman qui m'a le plus perturbé d'un point de vue psychologique. L'enquête est amené différemment cela peut frustrer dans un premier temps que cela ne se passe pas comment les tomes précédents mais on y prennent vite goût. Hâte de lire la suite des aventure du commandant Servaz

En bref, un troisième tome qui me confirme que cette saga n'est pas faite pour moi. Je ne suis pas spécialement attaché à Martin Servaz, les intrigues ne me passionnent pas malgré des résumés alléchants...

Après une bonne surprise malgré quelques longueurs pour le premier tome "glacé" et une déception cuisante pour le deuxième "Le cercle", ce troisième tome réunit tous les défauts que j'ai déjà pu relever (mes avis sont dans les slides 3 et 4). C'est donc le moment de prendre une décision et d'arrêter définitivement de m'acharner sur cette saga qui ne me convient pas.

Le résumé me plaisait bien, mais je n'ai pas retrouvé ce que j'attendais réellement. Après une scène d'introduction avec un animal torturé qui n'a pas grand intérêt selon moi, on se retrouve dans une histoire qui va tirer beaucoup trop en longueur...
Les thèmes abordés sont pourtant très intéressants, notamment l'emprise psychologique vraiment bien décrite et développée, mais les nombreuses révélations alourdissent l'intrigue de base et j'ai vu une impression de "too much" arrivée dans le dernier tiers du roman.

Avec une PAL indécente et une wish-list sans fin, il est temps pour moi de prendre des décisions et de dire stop lorsqu'une saga ne me plaît pas. Martin Servaz a continué et continuera encore sans doute sa route sans moi.
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En ce mois d'octobre, j'ai choisi de découvrir la plume de Bernard Minier, auteur à succès de romans policiers. Je regrette de ne pas avoir vérifié avant, mais ce roman fait partie d'une série et même si j'en ai compris l'essentiel, certains détails font référence aux tomes précédents, notamment le dernier chapitre.

Pour ce qui est de cette lecture, je dois dire que j'ai été perdue à plusieurs reprises. Beaucoup de personnages, de liens entre eux, de détails ont entraîné chez moi une certaine lassitude.
Cependant, il faut reconnaître que j'avais tout de même envie de connaître la suite de ce harcèlement qui commence crescendo pour atteindre un niveau d'horreur assez haut.

En résumé, ce thriller m'a intéressée mais ne m'a pas emportée. Je n'ai pas eu le retournement que j'attendais. Je vais commencer par lire la série dans l'ordre pour ne pas rester sur ce sentiment de déception.

Néteins pas la lumière de Bernard Minier, présentation.
Un homme marche dans la neige, avec son chien. le blizzard est très important. Il cherche une cabane. Il trouve Marianne dans la cabane, le torse fondu et ouvert.

Martin Servaz fait énormément de cauchemars.

Avis Néteins pas la lumière de Bernard Minier
Mon premier Bernard Minier et malheureusement pour moi le troisième tome de sa série sur Servaz. Par conséquent, il va falloir que je lise assez rapidement les deux premiers tomes pour ne pas oublier celui-ci et savoir ce qui s'est passé auparavant afin d'avoir une chronologie sur l'état de Martin Servaz.


Martin Servaz qui travaille dans la police est arrêté, de façon médicale, suite à un gros traumatisme. Il vit dans une institution où se retrouvent tous les flics qui ont subi un gros burn-out, quel qu'il soit. Mais il n'est pas enfermé, il peut sortir et vaquer à ses occupations. Ses nuits sont émaillées de cauchemars, surtout concernant ce qui est arrivé à Marianne, une femme qui compte pour lui et qui a disparu. Il connait l'auteur de cette disparition mais il ne sais pas si Marianne est toujours en vie, surtout qu'il a reçu un coeur dans une boîte et les analyses ont prouvé que c'était celui de Marianne.


La veille de Noël, Christine, animatrice radio, trouve une lettre dans sa boîte aux lettres. Il est annoncé le suicide d'une femme. Elle doit rencontrer les parents de son fiancé et ils sont déjà en retard. Mais ils interrogent les habitants de l'immeuble et cette lettre ne leur est pas destinée. le lendemain, elle remet cette lettre à la police mais aucune suicide n'est enregistré. Pour Christine, l'enfer commence et c'est la descente aux enfers. On s'introduit chez elle, on fait du mal à son chien, elle est discréditée aux yeux de tous, même au sein de la radio où elle travaille; A force, elle passe pour folle car des personnes reçoivent des mails de sa part, elle est accusée de harcèlement, de violences physiques pour être finalement arrêtée puis ensuite relâchée. Elle se tourne vers son ancien amant, Leo, qui a promis de l'aider; Au plus bas, elle va avoir tout de même un sursaut de volonté pour ne pas se laisser faire, pour que ceux qui lui font du mal arrêtent car elle ne veut pas se suicider. Elle a à l'esprit le suicide de sa soeur, et de ce côté-là, la vérité se révèlera à elle.


De son côté, Servaz tombe sur l'histoire du suicide d'une jeune femme qui avait tout pour elle, une artiste qui avait du succès. Mais en peu de temps, elle était devenue une ombre. Même si le suicide est avéré, Servaz va enquêter de son côté, pourtant il n'a pas le droit.

Monté comme un opéra, qui tient une place importante dans ce roman pour mettre la pression à Christine. L'opéra est également la musique préférée de Servaz. Un roman très bien documenté par rapport à la Cité de l'Espace de Toulouse, le monde des spationautes et les entraînements auxquels ils sont soumis avant de partir, et comment cela peut se passer dans l'espace. Pour les besoins du roman, il y a quelques scandales, rapidement étouffés. Est-ce que cela existe vraiment ? L‘intrigue est bien menée. Personnellement, je n'ai rien vu venir. Les personnages ont également été très bien étudiés. Christine ne sait pas à qui se confier avec ce qui lui arrive. Surtout, qu'à force tout le monde lui tourne le dos et pense qu'elle doit consulter. Malgré sa dépression, Martin n'a rien perdu de son envie d'enquêter et de faire toute la lumière sur ce suicide, qui semble être dû à la manipulation.

Personnellement, j'ai trouvé que Servaz s'est fait manipuler par Christine. Car à force d'avoir souffert, elle se révèle comme ceux qui l'ont fait le plus souffrir. Mais ce n'est que mon impression.
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Plutôt mitigée sur ce livre. J'ai énormément aimé les livres en amont mais celui ci ... J'ai trouvé le début très long même si je comprend ce sur l'auteur a voulu faire. Par contre, la fin, comme tous ses livres, très prenante. On a pas envie de lâcher

Un thriller de 700 pages qui ne me faisait pas peur par sa longueur tant j'étais pressée de connaître la fin de l'histoire. On croit connaître le coupable et puis, voilà que l'auteur nous fait des retournements de situation, on est en haleine jusqu'au bout !
Petit bémol sur les longues descriptions dans le domaine aérospatial où ce n'est vraiment pas mon truc (mais c'est purement subjectif).

Première déception avec Bernard Minier. J'avais beaucoup apprécié les deux premières enquêtes du commandant Servaz ; ici, il m'a fallu 500 pages pour entrer dans l'histoire. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup d'incohérences, que les personnages étaient peu crédibles. On retrouve le commandant Servaz dans une espèce de maison de retraite où il attend que passe sa dépression provoquée par la fin de l'enquête précédente. Un jour, il reçoit des indices le poussant à enquêter sur le suicide d'une jeune femme un an auparavant. Si le suicide est indiscutable, les raisons en sont obscures. Qui a poussé cette artiste à mettre fin à ses jours ? Et pour quelles raisons ?
Croiser tant de cruels pervers manipulateurs dans une seule histoire, ça fait peur et l'image de la société que nous propose Bernard Minier est, dans ce roman, vraiment pessimiste et déprimante. Ça ne m'empêchera pas de lire le suivant en espérant retrouver l'enthousiasme que j'avais rencontré lors de mes premières lectures de cet auteur.