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4,07

sur 3315 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Dans le premier tome, le côté sexiste m'avait gâché la lecture. le deuxième était un peu mieux mais, je n'y croyais pas vraiment et quelques petites choses m'avaient gênée.

J'ai vraiment eu l'espoir fou que le troisième tome soit une révélation. Et ça partait vraiment bien. L'histoire m'a happée tout de suite et j'étais vraiment curieuse de connaître la suite. Suivre la victime tomber petit à petit c'était vraiment une très bonne idée. Cette femme qu'on aime détester et qu'on fini presque par prendre en pitié.
Servaz en "congé" obligé, ne peut s'empêcher de mettre son nez partout. Mais, c'est plutôt subtile et, j'avoue que j'ai fini par le trouver amical.
Mais voilà, vers la fin, la véritable raison du suspect est révélée et là… Comment dire ? La levure a été oubliée dans la recette et BAM ça a fait un plat. Déjà vue ? Pas crédible ? Horripilante ? Vous l'aurez compris, le final a gâché ma lecture.
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Mon 4ème Minier, différent des 3 autres ou l'on retrouve l'inspecteur Servaz en congé maladie mais toujours actif ! Très bonne structuration en 3 actes et plusieurs scènes sur fond d'opéra. La rencontre entre l'insecteur et les victimes intervient relativement tard, mais bien présente et logique. On est pas dans les Pyrénées mais bien à Toulouse ou l'intrigue fait intervenir des spationautes, femmes et hommes sur terre ou dans la station spatiale internationale ! Ai pas très bien compris le début/fin avec le coeur humain de Marianne et le légendaire ennemi Suisse mais cela n'empêche pas de constater une certaine rage d'amour manipulée allant jusqu'à la phobie du harcèlement...
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Mon premier Minier. Un polar français et décentralisé (nous sommes dans le ressort de Toulouse) ; tout ne dépend pas de la PJ parisienne. L'histoire commence par une attaque de loups dans la neige qui m'évoque les histoires de troïka affolée tirant son traîneau de toutes ses forces pour échapper à une horde de loups affamés que racontait mon grand-père. Ce n'était qu'un rêve et je comprends aussitôt qu'il vaudrait mieux avoir lu les précédents pour comprendre les circonstances qui ont fait éclore ce rêve. Néanmoins, ce début m'a attiré dans cette lecture.

Le commandant Martin Servaz est en maison de repos à la suite d'un épisode dépressif dont on ne sait rien. Peut-être à cause de Mahler ? Pour moi, qui aime Mahler ne peut être que dépressif.

Quoi qu'il en soit, bien qu'en congé maladie, notre policier se trouve embarqué dans une enquête pour meurtres, dont l'arme est la manipulation orchestrée par un pervers narcissique ; une arme à la mode, mais dont la progression est, ici, très réaliste.

J'en sors partagée entre l'appréciable rigueur que l'auteur a mis à se documenter, l'habileté avec laquelle il introduit des revirements de situation et une prose parfois pédante, parfois relâchée qui lui sert un peu trop souvent à mon goût de tremplin à diffuser des opinions personnelles.

Je vais m'attaquer aux précédents épisodes.
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Premier Minier et je ne sais qu'en penser ! Cette histoire est dingue et très addictive mais le démarrage est un peu long et la fin un peu... pas finie : il reste pour moi des zones d'ombre à propos de certains personnages et details les concernant et sur lesquels l'auteur ne revient pas.. Et certains événements se passent alors qu'ils auraient mérité un peu plus d'explications... Mais c'est une belle découverte !
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Pour être tout à fait honnête, ce n'est pas mon livre préféré de l'année ; surtout qu'on m'en avait fait un tableau haut en couleur et surtout aussi que c'était le premier livre des vacances. Je n'accroche pas trop avec le personnage de Servaz et le livre est assez long. Je ne sais pas si tout y est nécessaire. Toujours assise sur mon transat contemplant la piscine qui m'appelle, je suis partagée entre facilité et voyeurisme. Je crois que je vais faire une pause dans ce genre de polars. J'ai sincèrement la sensation de ne pas être la bonne personne pour vous en parler. Je ne dirai pas que ce n'est pas bon ou médiocre, peut-être que tout y est pour ceux qui aiment. J'ai totalement décroché. Lisez-le, et dites-moi ce que vous en pensez !
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Après avoir audiolu les deux premiers polar des enquêtes de Martin Servaz, c'est tout naturellement que je me suis plongée dans le troisième, N'éteins pas la lumière, lu, ici encore, par Hughes Martel.

Dans N'éteins pas la lumière, la vie de Christine Steinmeyer, une présentatrice radio à Toulouse, bascule doucement mais sûrement en enfer après la réception d'une lettre. Son harceleur rend sa vie impossible. Son entourage professionnel, amical, familial se détache d'elle car son harceleur est habile, il la fait passer pour folle. Pendant ce temps, le commandant Martin Servaz en arrêt maladie et en convalescence dans une maison de repos reçoit une clé d'hôtel puis une photo. Ces envois vont lui donner l'envie d'enquêter de manière officieuse.

Le principal souci que j'ai rencontré avec N'éteins pas la lumière c'est qu'il est long. Trop long. Certains passages sont très détaillés à nous ennuyer et d'autres plus passionnants sont survolés ! de plus, Martin Servaz passe un peu au second plan et ce personnage m'a clairement manqué ! On suit principalement Christine et honnêtement en lisant un polar dans la série Servaz, je voulais plus de Servaz. La Christine je m'en fiche un peu de ce qu'elle pense…

Néanmoins le harcèlement dont elle est la victime est parfaitement détaillé, on ressent bien la chute abyssale de la présentatrice radio au fil des jours, son entourage qui la lâche progressivement parce qu'il ne la croit pas, parce que son harceleur est doué au point qu'il a retourné tout le monde contre elle.

Malheureusement la lecture de Hughes Martel ne suffit pas à me laisser sur une bonne impression. Bien qu'il y ait eu des scènes intéressantes, palpitante, je reste mitigée. le démarrage est long, le premier tiers du livre ennuyeux. C'est ce mauvais départ qui fait que je n'ai pas pu apprécier pleinement N'éteins pas la lumière.

Cependant, l'intrigue reste bien construite et une fois l'enquête mise en route, on ne voit plus les chapitres défiler. Ce n'est pas ce point noir dans la série Servaz qui va me faire arrêter l'écoute des romans de Bernard Minier, mais je vais audiolire autre chose avant de me plonger dans le suivant.
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N° 1535 – Mars 2021

N'éteins pas la lumièreBernard Minier -XO éditions.

Christine Steinmeyer est animatrice de Radio à Toulouse et reçoit, le soir de Noël dans sa boite aux lettres une missive dont elle croit qu'elle ne lui est pas destinée. Pourtant, au cours d'une de ses émissions, elle est accusée de n'avoir pas empêcher le suicide d'une femme qui lui avait écrit cette lettre. Elle fait même l'objet de harcèlements par un pervers qui la poursuit, de quoi provoquer une psychose paranoïaque pour elle qui traverse une période sentimentale difficile. Christine n'est pas inconnue dans le monde de l'audiovisuel puisque ses parents y ont acquis une belle notoriété. Ce n'est pas facile pour elle d'exister dans leur ombre et dans le souvenir de sa soeur Madeleine, sa soeur aînée décédée quelques années plus tôt.

Le commandant Servaz est dans une maison de repos pour flics dépressifs après avoir reçu par la poste le coeur de Marianne, une femme qui se serait suicidée. Dans un grand hôtel de cette localité une main anonyme a réservé à son nom une chambre où l'année passée une actrice s'est suicidée dans dans circonstances étranges. Cette affaire est classée mais Servaz, même s'il n'a pas participé à l'enquête initiale et s'il n'a aucun titre pour investiguer, s'en empare. Deux affaires apparemment sans aucun lien entre elles, apparemment seulement car leurs vies vont se croiser. Il enquête donc sans aucune autorisation ni ordre pour cela mais, revenir ainsi aux réalités représente pour lui une thérapie et il va remonter méthodiquement les pistes. Ce qu'il découvre dépasse largement ce à quoi il s'attendait, entre une aventure spatiale, un prédateur sexuel, la folie de Christine qui grandit à force de harcèlements dans une atmosphère kafkaïenne, la violence, la dépression, la vengeance, la haine, la duplicité, la trahison... Au rythme de « Madame Butterfly » et autres morceaux de grande musique notre auteur mène une intrigue un peu lente au début, avec quelques longueurs, des détails assez difficilement crédibles et une fin peut-être un peu trop « Happy end ».

J'avais été séduit lors de la lecture de « glacé » et de « Le cercle » du même auteur. Sans minimiser la satisfaction que j'ai eue à découvrir ce roman, je l'ai trouvé un peu en retrait par rapport aux deux précédents. Pourtant j'apprécie comme toujours qu'un polar soit bien écrit, plein de suspense et érudit.Lire un roman de Bernard Minier est toujours pour moi un bon moment.
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Une copie "Juste Une Ombre" de Karine Giebbel peu de temps avant, au sujet similaire. Mais heureusement dans un style beaucoup plus chatoiement et bien loin de ce si insipide roman de GIEBBEL.


Ce roman est une habille construction autours de son personnage central en dehors de SERVAZ. En revanche, encore une fois le descriptif de l'univers de la conquête spatiale sans grand intérêt.


Deux histoires : celle de Christine Steinmeyer, ( personnage beaucoup plus sombre et volontaire que l'on pourrait penser au départ ) et celle récurrente de Servaz.

La problématique de celà depuis GLACE et avec LE CERCLE, est qu'à chaque fois, on a droit au même copié /collé sur le descriptif des ses collègues , sur celui d'Irène qui disparait peu à peu et au retour à venir d'autres personnages.
Peut-etre à ce jour le meilleur des trois lectures de ce romancier
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Bonjour à vous Bande de Lecteurs Fous, aujourd'hui nous venons vous faire part de notre dernière lecture N'ETEINS PAS LA LUMIERE de Bernard Minier, troisième volet de la saga avec le Commandant Martin Servaz, au Edition Pocket
Au menu beaucoup d'ingrédients disparates réunis dans 700 pages. Tout d'abord il vous faut une dose de suicide, à cela ajouter une portion de harcèlement, quelques spationautes, une virée dans l'espace et une enquête de police qui n'en est pas vraiment une !
Il est vrai que N'ETEINS PAS LA LUMIERE trainait dans notre PAL depuis un peu moins de deux ans. Mais pour une raison qui nous échappe ce roman nous appelés. "Viens me lire, viens me lire" et nous voilà plongés dans sa lecture. Enfin nous allions pouvoir retrouver le commandant Servaz et faire fonctionner nos cerveaux pour nous remémorer les précédents volumes de la saga. Puis aux files des pages, cette lecture n'était pas sans nous en rappeler une autre. JUSTE UNE OMBRE de Karine Giebel, qu'à l'époque nous avions apprécié mais sans plus. Alors il est vrai que nous avons été quelque peu déçus que le roman se focalise sur le personnage de Christine et sur le côté manipulation psychologique, pour délaisser le commandant Servaz, et l'enquête. Car dans le fond l'enquête est originale, amenée de manière subtile et qui touche l'univers spatial, ce qui est très original.Il nous a manqué du Martin, par trop Christine, mais une chose est sûre Bernard Minier ne fait pas les choses à moitié, c'était audacieux !
Lien : https://lesrecetteslitterair..
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Premier roman que je lis de cet auteur qu'on trouve partout sur les étals et dans le métro. Une vraie invasion. J'ai été agréablement surprise par le style, qui n'a rien d'un Harlan Coben. C'est à la fois bien construit, bien écrit et bien documenté. Même si l'histoire en elle-même de la nana persécutée qu'on cherche à faire basculer dans la folie n'est pas follement originale (ça m'a rappelé "Robe de marié" de Lemaitre), on sent un auteur plutôt féministe et engagé, ce qui rend le dénouement final vraiment surprenant. Bon c'est peut-être trop long de 200 pages mais ça se lit bien. Après je pense que je vais aussi très vite l'oublier totalement...
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