Combien ? Dès qu’un otage est libéré, la question resurgit. Etat, familles, entreprises et ONG paient pour récupérer le ressortissant, le fils ou le salarié. Qu’ils soient pirates en Somalie, djihadistes au Sahel, Farc en Colombie ou crapules en Haïti, tous n’ont d’yeux que pour elle : la rançon. Vieille comme le monde, elle alimente aujourd’hui un véritable business. Premiers à s’en saisir, les assureurs anglais l’ont baptisé K&R, pour Kidnap and Ransom. Les méthod... >Voir plus