AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9781026220917
423 pages
Librinova (03/09/2018)
4.5/5   2 notes
Résumé :
Jean-Philippe et Marie ont toujours été fous d’Aline, leur fille. Ils la surnomment Alcaline affectueusement, parce qu’elle déborde d’énergie et ne peut jamais rester en place.
Mais tout bascule une journée d’août 2005, quand Aline, en route pour retrouver des amis à Royan, disparaît mystérieusement. Retrouvée plusieurs jours plus tard, gisant sous un pont,
violemment battue et torturée, elle est transportée inconsciente en service de réanimation et ne... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Quelques instants de bonheur cruelsVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Quelques instants de bonheur cruels
Jean-Félix Monies
412 pages
Sorti le 3/09/2018
Chez Librinova

J'ai été contacté directement par Jean-Félix Monies. le titre m'interpelle ainsi que la 1ère de couverture. Donc c'est parti, je relève le défi de ce service de presse.

Alcaline, c'est le petit surnom plein d'amour que ses parents lui ont donné. À votre avis pourquoi ?
Aline est une vraie pile, elle déborde d'énergie, comme le petit lapin rose que l'on voyait dans une pub. Une famille heureuse... jusqu'au jour d'une journée d'août 2005, Aline ne donne plus signe de vie. Inquiets, ses parents préviennent la police.

Quelques jours plus tard, Aline est retrouvée sous un pont, torturée, bafouée, battue... Dans un état très critique, elle est évacuée dans un hôpital, dans un service de réanimation. Va-t-elle s'en sortir ?

À son réveil du coma, elle n'est plus cette jeune fille pleine d'énergie !!! Son regard est vide et elle ne parle plus... La famille est anéantie par cette tragédie et elle se brise peu à peu...

Quelques années après, son père reçoit une boîte à chaussures, avec à l'intérieur, un livre et un dessin d'Aline !!!! Que représente ce dessin ? Les coupables ? Et là... Son père va tout faire pour retrouver les coupables !!!! Jusqu'où ira-t-il ? Découvrira-t-il les coupables avant la police ?

Un bon roman noir, même très noir, une descente vertigineuse dans la douleur de la perte d'un être aimé, la vengeance et tout ce que cela implique ! Une enquête menée par la police, mais surtout par le père.
Une écriture fluide, des descriptions très développées (un peu trop peut-être), les ressentis des personnages à gogo. J'ai passé trois bonnes soirées de lecture. Et une fin qui présage une suite.
À découvrir rapidement.
Commenter  J’apprécie          10
Le commentaire de Nathalie :
Aline amoureusement appelée Alcaline par ses parents. Elle vit dans une famille heureuse avec ses parents, son chien et son grand-père (militaire à la retraite).
Malheureusement, ce bonheur prend fin une journée d'août quand on la découvre sous un pont laissée pour morte. Elle survivra, mais la joie sera de courte durée.
Puis ce drame sera suivi de plusieurs autres autour du père.

Quelques années plus tard, le père reçoit une boîte à chaussures par la poste contenant un livre et un dessin fait par sa fille Alice. Quelle est la signification de ce dessin : trois hommes (2 blancs et un noir) et une femme. Qui sont-ils ?
À partir de là, c'est un réveil mental et physique pour le père, un choc électrique.
La chasse est ouverte pour découvrir les coupables.
Rien ni personnes ne sera laissé au hasard. Il s'entoure des gens de métiers, les amis les plus fidèles de son grand-père avec chacune une spécialisation particulière.
Tout sera fait à la perfection : espionnage, traque, filature, questionnement, parfois à la limite de l'illégal mais il faut se qu'il faut. Pour réussir là où la police semble avoir échoué.

Un bon polar avec comme sujet de fond le ressenti d'un père face à la perte cruelle de sa fille. Sa vengeance, le mal qui le ronge, et son combat pour la vérité.
Une enquête un peu hors norme. Une belle écriture malgré certaines longueurs, et ce, à plusieurs reprises. Des personnages attachants me rappelant même, certaines typiques des banlieues campagnardes. On s'y attache. Et que dire de la fin qui nous laisse présager peut-être une suite...

Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Vous me dégoûtez. Même un vieil animal estropié aurait eu droit à plus d’égards. Vous n’êtes qu’une ordure. Une pourriture, même, d’ailleurs vous en avez déjà l’odeur. Je vais vous laisser poursuivre votre calvaire jusqu’à ce que l’on vous euthanasie. Ce sera la pire des vengeances. Je vais vous laisser crever en vous souhaitant d’en baver autant qu’elle a pu en supporter pendant ces quatre jours avant d’être obligée de se jeter par la fenêtre !
Commenter  J’apprécie          00
Il se replia donc sur un « Notre Père », vestige plus profondément ancré de la période où enfant il servait la messe dans un camp militaire. Après tout, dans ces moments-là, il vaut mieux se mettre bien avec tout le monde. Non loin de ce superbe endroit, ils trouvèrent un resto ouvrier. Partager une tranche de vie du monde extérieur leur fit du bien. Et que ce ragoût de veau avec des mogettes, sorte de cassoulet local, était bon.
Commenter  J’apprécie          00
C’était une enfant nerveuse qui toute petite avait fait d’impressionnants spasmes du sanglot. La médecine traditionnelle n’avait rien pu y faire, alors ils s’étaient résolus sans trop y croire, à l’emmener chez une rebouteuse et guérisseuse réputée dans toute la région. La salle d’attente était bondée, beaucoup d’estropiés en particulier.
Commenter  J’apprécie          00
On ne tire pas sur une ambulance, à plus forte raison sur un corbillard ! Tout ce temps passé à espérer une vengeance pour tomber sur cette « chose infâme » qui se croit encore vivante. Il fut obligé de l’aider pour qu’elle puisse s’asseoir à la table en formica jaune.
Il ne savait par où commencer. Il n’osait même pas la regarder.
Commenter  J’apprécie          00
Il y a de l’argent beaucoup plus qu’il n’en faut et en plus ton père n’avait jamais touché à sa part. C’était « SA » poire pour « TA » soif éventuelle, en quelque sorte. Tu étais un peu dur à une certaine époque, j’ai cru comprendre. Tu lui en avais fait baver mais il était très fier de ce que tu étais devenu.
Commenter  J’apprécie          00

Lire un extrait
autres livres classés : comaVoir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs (9) Voir plus



Quiz Voir plus

Complétez les titres de Pierre Desproges

Chroniques de la haine ...

annoncée
ordinaire
amoureuse
nécessaire

10 questions
88 lecteurs ont répondu
Thème : Pierre DesprogesCréer un quiz sur ce livre

{* *}