Cette histoire d'usurpation d'identité n'a pas été très palpitante malgré une introduction assez intriguant. le style parait assez vieillot, voir figé. L'imagerie austère semble d'un autre temps sans parler de la calligraphie. La narration sans être pesante m'est apparue comme un brin ennuyeux. On n'arrive pas à entrer dans ce récit avec la meilleure volonté du monde. Bref, cela le fait ou pas.
La substitution d'identité sur fond de campagne militaire mené par Charles XII de Suède sur la Pologne au début du XVIIIème siècle donnait de larges possibilités. Elles n'ont pas été exploitées à bon escient. On va se perdre au milieu de cette embrouille. Subtilité et raffinement pour les uns, classicisme et déception pour les autres.
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Un cavalier suédois qui nous entraîne dans l’impitoyable décor enneigé de la Pologne du début XVIIIème siècle. Un régal!
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Avec son trait en pointe sèche et ses couleurs raffinées, Jean-Pierre Mourey donne une facture à la fois classique et moderne à ce roman. Par ses jeux esthétiques, il attribue un espace singulier, presque distancié, à des personnages autant fagotés par le vent glacial de la plaine polonaise que par les aléas du conte.
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On dit qu'une fois l'an, le fantôme du menier revient ici.