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sur 1384 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Mon dieu !
Il fallait que je remplisse un challenge littéraire, alors j'ai lu ça, mais que je me suis ennuyée !
J'avais déjà du mal avec l'auteure, et là c'est décidé, jamais plu.
Je ne comprends pas le pourquoi de ce livre ; comment peut on avoir du succès avec ce genre de écriture ?
Ça marche pour Amélie Nothomb, tant mieux pour elle, mais maintenant, pour que je la lise, il faudra me payer, et cher.
Ce récit est creux, pas d'histoire intéressante, désolée pour les personnes qui aiment, mais ce livre est nul.
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Première lecture de Nothomb … et quelle déception. Il faut l'avouer, je suis complètement passée à côté de ma lecture. Je n'ai pas compris le but de ce livre qui parle de copines de beuverie. Je n'ai rien ressenti. J'ai trouvé le personnage très égocentrique. Bref je n'ai pas adhéré à son univers. Désolée pour les fans de l'auteur, mais j'ai détesté ma lecture.
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Décidément, je n'ai pas trouvé ce petit roman léger comme une bulle de champagne. Bien au contraire, il est franchement indigeste. On oscille entre pédantisme et nombrilisme dans cette histoire futile et prétentieuse qui n'a pas réussi à me captiver un seul instant. Amélie Nothomb pérore encore et encore, tandis que l'on s'enfonce dans un ennui toujours plus profond. La fin, inepte, est finalement comme le roman tout entier. On ne m'y reprendra plus.
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Prenez un prénom peu commun. Ajoutez-y du champagne (mais du bon !). Mettez de l'érudition en pagaille. Shakespeare ou Johnson, par exemple, excellents choix. Voyagez un peu en Europe. Ne cherchez pas à dire quelque chose. Surtout pas! Travaillez votre style jusqu'à l'indigestion. Saupoudrez d'un brin de penchant homosexuel. Parlez de vos précédents livres. Et ne pondez surtout pas plus d'une centaine de pages.

Et voilà.

Et voilà quoi? Une lecture inepte, creuse, sans le moindre relief qui ne veut rien dire et ne me semble pas mériter le peu de temps passé à la tâche.

C'est dur, mais franchement je me suis demandé à plusieurs reprises ce que je lisais. Par contre, les romans attribués à Pétronille Fanto, je serais sans doute plus intéressé de les lire...
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J'ai fini la lecture par ''respect'' pour cette auteure que j'appréciais jusque là... Simplement, cet égocentrisme que Nothomb maniait avec élégance est allé trop loin dans ce roman autobiographique qui m'a clairement ''dérangée''. Sans doute l'effet recherché ?
Une grande déception mêlée à un certain dégoût. Oui, le terme est fort!
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"Pétronille" est un extrait de roman dans lequel on entre sans repères et duquel on ressort comme expulsé. Un titre apparemment réservé aux fans les plus assidus de l'auteure tant l'aspect biographique prend le dessus. Pour quelqu'un comme moi qui n'a lu que trois de ses romans et ignore tout de cette auteure, il n'est possible que de passer à côté.
Un livre dédié au champagne, à ses bulles, mais qui ne pétille jamais. Si humour il y a, je suis passé à côté. Les anecdotes sont toutes aussi ordinaires que les miennes, ce qui aurait tendance à montrer qu'Amélie Nothomb n'est pas aussi décalée qu'on me l'a vendue. Un livre centré sur une amitié improbable entre deux femmes issues de mondes opposés. de telles rencontres génèrent souvent quelque chose d'enivrant et drôle, ici le cru est éventé. Entre la brute trop lourde et l'excentrique trop légère, je me suis ennuyé alors que la lecture a duré à peine plus d'une heure...
Une chose est claire, la publication du livre est ratée. C'est avec du champagne qu'il aurait dû être vendu. Probablement qu'ivre d'avoir vidé un Dom Pérignon à jeun, j'aurai touché du doigt le pétillant censé imprégné ces pages.

Challenge MULTI-DÉFIS 2019 : Un roman dont le personnage principal a un rapport particulier à l'alcool
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Amélie recherche une compagne capable d'apprécier le nectar qu'elle préfère entre tous : le champagne. Elle découvre la « convigne idéale » au cours d'une séance de dédicace : Pétronille Fanto, une jeune fille qui étudie la littérature anglaise, plus exactement Shakespeare. Mais cette rencontre tourne court ; il lui faut attendre 2001 et la publication d'un roman de Pétronille pour reprendre cette amitié à peine ébauchée.
Pétronille a de la personnalité. Fille de prolétaires, elle ne dédaigne pas la provocation dans les soirées germanopratines et ses rapports avec Amélie sont aussi parfois un peu bousculés par son caractère ombrageux et fantasque. Cependant, leur amitié l'emporte toujours sur les sautes d'humeur de Pétronille. Lorsque cette dernière décide de s'éloigner pour un long séjour dans le désert, elle confie à Amélie le soin de trouver un éditeur pour son dernier manuscrit, ce dont elle s'acquittera non sans difficultés. L'aventurière de retour la remercie à peine, retrouve ses habitudes de feu follet avant de disparaître à nouveau. En 2010, elle échoue à l'hôpital Cochin d'où la sort Amélie pour l'installer chez elle. La cohabitation est parfois difficile et Pétronille s'enfuit à nouveau après une dispute et reprend sa vie errante à l'étranger. En 2014, Amélie apprend qu'elle s'adonne à la roulette russe dans une boîte de nuit. Elle s'y rend, revoit la jeune femme et après une soirée bien arrosée et une ultime dispute, celle-ci appuie son pistolet sur la tempe d'Amélie et la tue.
Notre célèbre écrivain belge nous livre une farce à sa mesure où – mine de rien – elle tient le beau rôle. Cela suffit-il à faire un livre ? On peut en douter, comme les bulles du champagne, les anecdotes d'Amélie pétillent (ah, la visite à Vivienne Westwood!) avant de se dissiper aussitôt avalées. Amélie et son affreux pyjama orange, Amélie et ses crus champenois, Amélie chez les communistes, Amélie et ses fans... difficile de supporter un récit où elle est omniprésente, ombre bienveillante de Pétronille qui envahit chacune des pages. Elle finit par nous saouler de ses attentions égocentristes et termine en beauté, par sa propre mort. Stéphanie Hochet serait Pétronille (avec toutes les libertés que se donne un écrivain pour parler de son entourage), mais phagocytée par la plume de Nothomb, elle devient un personnage secondaire au lieu d'un alter ego. Dommage, une amitié entre deux écrivains, voilà qui aurait fait un beau sujet !
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Le roman s'ouvre sur un passage pas inintéressant sur l'état d'ébriété (au champagne, s'il vous plaît), et de ce qu'il apporte de rassurant et confortable à notre écrivain préféré (enfin, pas le mien, c'est juste une formule).

Donc Amélie boit et elle aime ça, mais pas seule, parce que ce n'est pas pareil de boire seule. du coup, elle se cherche un convigne, néologisme pour compagnon de beuverie. Il faut croire que cela ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval (en même temps qui a trouvé quoi que ce soit sous le sabot d'un cheval ?) et on en reste là. Puis au hasard d'une signature dans une librairie, Amélie rencontre Pétronille, venue comme tout le monde (sauf moi) chercher une dédicace. Il se trouve que Pétronille a déjà écrit à Amélie, et Amélie lui a répondu. C'est mignon, une histoire de correspondante comme au collège. Sauf que Pétronille est un peu spéciale, au point qu'elle devient pour un soir, et puis d'autres la convigne d'Amélie (vous avez suivi pour l'histoire des convignes ?)

Bref, on fait connaissance avec une « prolo » étudiante douée et cultivée, pleine de Shakespeare, de Marlowe, De Montherlant, mais aussi un peu frappée. En même temps là aussi, quel personnage d'Amélie n'est pas un peu frappé ?

Bon, en fait tout ça c'est juste un prétexte à pondre cent-soixante pages environ, pour rater, comme d'habitude, la chute, car en fait il n'y a pas d'histoire structurée, il n'y a pas non plus de non-histoire, il n'y a rien.

J'arrive à lire six-cent pages de certains auteurs qui ne racontent rien que le vent dans les arbres, leur cerveau fêlé ou leurs pieds qui bruissent sur l'herbe, et je trouve cela beau et indispensable.

Par contre cent-cinquante pages d'Amélie et je suis estomaquée que tant de « rien » prenne autant de place dans nos librairies et bibliothèques, et à la télé et dans les journaux.

Tout est dans le costume. Elle se déguise en Amélie, l'écrivain frappée, et cela suffit. Coucou, l'habit fait le moine !

Pour en revenir à Pétronille, je n'ai pas aimé la fin, car c'est une putain de pirouette à la Marc Levy (Marc, si tu nous lis…) qui tombe A PLAT BORDEL DE NOM DE SA MERE !

A un moment, Amélie Nothomb s'amuse à citer dans son roman Montherlant et Les Jeunes Filles, à propos d'un des romans de Pétronille (car oui, Pétronille va devenir écrivain au fait) et du rapport entre les lectrices et les auteurs (si tu n'as pas lu Les Jeunes Filles, De Montherlant, fonce !). Il y a une mise en abîme évidente, puisque Pétronille est d'abord lectrice d'Amélie. C'est dommage qu'elle n'aille pas plus profond dans cette idée. Je comprends le danger qu'il y a à écrire, le danger vital, physique : c'est là qu'Amélie commet pour moi la faute impardonnable. Elle se contente d'effleurer cette idée, alors qu'elle se veut au coeur de son ouvrage (je suppose ?). Difficile d'en dire plus sans dévoiler la (lamentable) fin, mais il y a là matière à tellement mieux. Pourquoi se contente-t-elle de si peu ?

Écrire est dangereux à bien des égards, oui Amélie. Par contre, te lire est juste un peu chiant, guère dangereux.

Sinon pour finir, mention spécial à la flopée de clichés que l'auteur nous sert sur le prolétariat. Amélie met en opposition culture et pauvreté, intelligence et pauvreté, curiosité et pauvreté, finesse et pauvreté. La famille de Pétronille est composé d'un couple de communistes, avec le père un peu beauf, pas méchant mais inculte et légèrement concon, la mère fatiguée et soumise. Il y a des passages proprement insultants sur ce qu'elle croit être la classe ouvrière. Je suggèrerai à Amélie Nothomb de fignoler un peu ses recherches sur le terrain la prochaine fois qu'elle se pique de sociologie, histoire de constater que tous les ouvriers français ne sont pas des communistes qui s'accrochent à la Corée du Nord et à Cuba.
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Le pitch : Amélie a trouvé une bonne copine avec qui boire du Champagne.

On est content pour elle mais le lecteur lui n'a le droit qu'à un verre de mousseux : c'est pas bien cher, c'est pas très bon et vite oublié. Pas de risque d'avoir mal à la tête : le verre est si petit!

Bon, Amélie, c'est pas le tout de parler Krug, Roederer ou Perrier-Jouët, mais tu la fais péter quand ta bouteille ?
Lien : http://lavieerrante.over-blo..
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Un texte d'une platitude affligeante ! Comment peut-on passer d'un bon premier roman (‘'Hygiène de l'assassin'') à un récit d'une médiocrité absolue. Même la scène à Londres, sensée faire rire, n'est vraiment pas drôle du tout ! Pire même…

Olivier (Meulan et Bouafle)
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