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3,69

sur 15120 notes
Amélie Nothomb, on aime ou on n'aime pas.
Eh bien j'aime. "Stupeur et tremblements" est le 1er roman que j'ai lu d'elle, je ne savais pas trop à quoi m'attendre en commençant la lecture.
C'est drôle, grinçant, fulgurant.
Roman autobiographique, il retrace le parcours de la narratrice, Amélie-Chan, jeune femme fraîchement diplômée qui arrive en tant qu'interprète dans la grande firme Yumimoto.
Toutefois, ne pas connaître les us et coutumes japonais est fatal pour elle et c'est ainsi que d'impair en impair, elle finit par se retrouver "dame-pipi" de son entreprise.
On passe un bon moment à la lecture de ce roman! Et j'ajouterai que si vous avez un ado, par là, qui ne sait pas que lire, ça peut marcher! Je l'ai étudié avec une classe de 3ème, ils ont adhéré :)
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Comme à chaque lecture d'un roman d'Amélie Nothomb, mon sentiment est mitigé, le verre d'eau à moitié plein ou à moitié vide. Et avec une question récurrente, pourquoi cet auteur est-elle aussi adulée ?
« Stupeur et tremblements » fait partie indiscutablement du meilleur Nothomb, les pérégrinations de la jeune héroïne dans cette entreprise sont un vrai chemin de croix, la définition d'harcèlement moral trouvant un incroyable exemple dans ce que subit la jeune Amélie ; Nothomb enchaine les scénettes vachardes et humiliantes avec un sens du rythme qui rend son histoire plutôt intéressante. Hiérarchie désagréable, humiliante au possible, la jeune femme encaisse avec un aplomb et une force de tolérance qui laisse pantois.
Alors oui un roman efficace, agréable, vite lu comme tout ces romans, mais tout de même rien de quoi susciter une allégeance totale à l'auteur belge. Un mystère, je vous dis.
A noter la belle et fidèle adaptation du regretté Alain Corneau avec Sylvie Testud dans le rôle titre.
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La jeune Amélie est ravie d'être embauchée pour une durée d'un an par Yumimoto, une grande société japonaise. Il faut dire qu'Amélie aime le Japon, pays dans lequel elle a vécu enfant. En connaissant les usages (du moins, le croit-elle) et la langue, c'est pour elle une façon de rendre hommage à ce pays qui l'a tant marqué. Mais au pays du Soleil Levant, il n'est pas si simple pour une stagiaire belge de prendre ses marques et de se fondre au milieu d'un personnel d'entreprise régi par des codes très différents de ceux en usage en Europe.



J'ai toujours dit que je ne voulais pas mourir bête. Alors, il m'arrive d'essayer des choses pour lesquelles je ne suis pas très convaincue : le Tai Chi Chuan, le poisson cru, ou les chaussures à talon aiguille. Des fois, je suis ravie, j'aime beaucoup le Taï-Chi. Des fois, je n'arrive pas à prendre le "truc" pour marcher à 10 cm du sol, et je n'aime pas le gout prononcé et la texture du cru.

Côté lecture, je me dis aussi qu'il faut que j'essaie. Alors de temps en temps, je tente : Musso, Coehlo, plus récemment Gounelle. Ce coup-ci, c'était Amélie Nothomb. Après tout, les avis sont partagés : il y a ceux qui détestent, et ceux qui adorent, mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'elle est lue et qu'elle fait parler d'elle. J'ai donc voulu savoir si finalement, je me positionnerai parmi les "pour" ou parmi les "contre" (bon ok, j'avais quand même une idée sur la question mais comme je dis toujours : celui qui n'essaie pas ne se trompe qu'une seule fois !). Je me suis donc lancée dans la découverte de son roman le plus connu (enfin, je crois ?) : Stupeur et tremblements.

Sans surprise pour ceux qui me connaissent, je n'ai vraiment pas aimé.

Je n'ai pas aimé le fond : le choc des cultures, ça m'intéresse toujours, ça ouvre l'esprit à d'autres pratiques, etc… Là, pour le coup, j'ai trouvé les propos surtout caricaturaux et limite désobligeants pour les habitants du pays du soleil levant (bon, carrément désobligeants même !). Je n'ai pas adhéré au "positionnement" de l'héroïne qui semble surtout hésiter entre affirmer sa culture occidentale et son désir de se comporter comme une bonne japonaise. En gros, quel que soit son modèle de référence, elle choisit exactement et systématiquement celui qui est le pire à la situation présente. Maladroite, Amélie, ou plus simplement masochiste (ou en manque d'inspiration ? tsssssssssss je suis mauvaise langue !) ?? Et puis, enfin, en terme de contenu, soyons honnête, il n'y a pas grand-chose, ça sonne creux, pas que quoi caler une dent ni même combler une petite envie de lecture facile et rapide pas prise de tête.

Je n'ai pas accroché à la forme non plus. Si l'écriture est très imagée, j'ai trouvé les images inappropriées ou gratuites ; par exemple, Amélie, pour son premier jour, se fait "cracher" par l'ascenseur à l'étage de Yumimoto ; une image un peu abusive d'autant que, contextuellement, n'ayant pas commencé à travailler, elle est sur un petit nuage ! Pour continuer (rapidement) sur le chapitre, eh bien, des chapitres, il n'y en a pas. le texte est "rythmé" par des paragraphes. Ça se veut drôle (je semble insensible à ce genre d'humour de situation) mais je trouve que c'est surtout verbeux, bavard.

Ça ne sert à rien d'épiloguer sur le sujet (307 critiques sur Babelio !!), je suis contente de pouvoir dire aujourd'hui : Amélie Nothomb ? Je connais, mais ce n'est pas pour moi ! Allez, zou, j'oublie tout ça et je passe à autre chose !
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Ce joli petit bouquin et sa jolie petite auteur méritent-ils leur succès planétaire ? Deux attitudes, toutes deux idiotes, tentent le commentateur, l'attaque ou la défense. Soit on adhère corps et âme, comme les milliers d'adolescentes qui ne jurent que par Amélie Nothomb, soit on rejette tout en bloc parce que quand un bouquin marche, c'est qu'il est mauvais, le peuple étant un animal qu'on n'abreuve qu'à coup de débilités. Si l'on cherche à être juste avec Stupeur et tremblements on se doit cependant, ouf, de nuancer. le livre est agréable à béqueter. Il ne tombe pas des mains. Il séduit. Cool ! Mais force est de constater que cette petite descente comique aux enfers n'est pas renversante pour un lecteur sensible à une certaine épaisseur dans les textes. le style Nothomb est joli, rigolo, mais jamais véritablement beau. On sourit mais on est loin de son compatriote Toussaint, dormir dans les ordures et enlacer un ordinateur étant moins drôle, sous la plume d'Amélie Nothomb, qu'arroser les plantes vertes ou jouer aux fléchettes chez Jean-Philippe Toussaint. On se surprend, en lisant, à espérer les mêmes éléments sous la plume d'un autre. On reste sur sa faim. On garde constamment l'impression de lire un bouquin, un bon bouquin même, pour adolescents. Mais on se dit aussi que c'est peut-être ça qui, justement, fait l'intérêt d'Amélie Nothomb, cette naïve simplicité adolescente dans la description d'un monde adulte pas tout à fait absurde mais en tout cas hors de portée de l'héroïne. On n'apprend certes pas grand chose sur la vie d'entreprise au Japon, mais on découvre un monde intérieur sympathique et un style un peu simplet mais néanmoins original. de là à faire de ce petit bouquin un chef-d'oeuvre, il y a un pas qu'on ne saurait cependant franchir.
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Stupeur et tremblements, ce titre pour souligner le trouble face à un acte de soumission.

"Je pris donc le masque de la stupeur et je commençais à trembler."

Conjointement à la force de cet adage, dont j'aime la symbolique, je suis fascinée par l'accouplement de ces deux mots. Un singulier et un pluriel doublés d'un féminin et d'un masculin. Ce mariage apporte un bel érotisme au sens premier attaché à la peur.

Bien que charmée par le thème et l'écrivaine, je ne lis ce roman qu'aujourd'hui. J'ai découvert Stupeur et tremblements par le cinéma, dont l'interprétation par Sylvie Testud et la qualité de mise en scène par Alain Corneau m'avaient séduites. J'avais dû cependant voir et revoir les premières vingt minutes plusieurs fois, suite à un épisode technique fâcheux qui a failli avoir raison de ma patience.

De ce roman, j'aime un ensemble harmonieux. La qualité d'écriture de Nothomb dévoile une sensualité à fleur de peau.
La peau étant ma fleur préférée, j'ai apprécié être dans la sienne, avec l'empathie qui fait de nous, lecteurs, des êtres sensibles.
Un vocabulaire de choix, quelques mots qui portent le sourire à mes lèvres, avides de nouveauté et d'originalité. Des mots et des expressions que j'aime parce qu'ils m'amusent.

Ce roman est lascif et charnel. Amélie Nothomb, généreuse, y dévoile ses atours personnels.

"Deux mètres devant moi, le spectacle de son visage était captivant. Ses paupières baissées sur ses chiffres l'empêchait de voir que je l'étudiais. Elle avait le plus beau nez du monde, le nez japonais, ce nez inimitable, aux narines délicates et reconnaissables entre mille."

Une femme a cette capacité émotionnelle de se livrer à la contemplation féminine sans pour autant se sentir attirer sexuellement par l'objet de sa convoitise. Amélie Nothomb écrit ses fantasmes avec beaucoup de naturel et de mystère. Cette note enveloppe le lecteur, les sens en éveil, avec délectation.

Maintenant que son lecteur est apprivoisé, Amélie Nothomb contraste franchement la première couche suggestive, avec une soudaine laideur, vive et violente. La descente aux enfers d'une employée qui plus bas ne pourra pas tomber.

Asservissement, humiliation, accablement, désespérance, absurdité...
Stupeur et tremblements.
Bienvenue dans une entreprise japonaise au Japon.

La deuxième raison pour laquelle ce livre a pris du temps pour être dans mes mains, est que j'ai dû travailler en partenariat avec une grande compagnie japonaise le temps d'un projet de quelques mois. C'est une expérience à vivre. Belle, non. Intéressante, moui. Fatiguante, clairement oui. Mes homologues japonais auraient souhaité faire de moi leur chose prête à répondre à tout, tout le temps, le jour, la nuit. Par affirmation et confiance en moi, j'ai su m'imposer. Face à ma hiérarchie, j'ai su convaincre par mes arguments. Factuelle, j'ai surtout exposé la nécessité de conserver sa culture d'entreprise en proposant des priorités, des étapes, des délais et de la faisabilité. Pour un japonais, tout est prioritaire, sans distinction aucune. Vous pouvez vite vous retrouver ensevelis par une charge de travail exponentielle.
J'en garde un souvenir professionnel enrichissant. Je revois mon homologue m'envoyer des emails à une heure où elle aurait dû dormir depuis longtemps... et lui demander de rentrer chez elle. Oust! Mes décisions ayant été entendues par les hautes sphères, elle a dû imaginer que mon poste était plus important que le sien, elle m'a écoutée pour aller se coucher. Il était 1h du matin à Tokyo.

J'ai beaucoup d'affection pour les personnes avec lesquelles j'avais eu l'occasion d'interagir. J'ai surtout une grande empathie, face à une civilisation dont le taux de suicide est très marqué.

Le final de ce roman est un des plus merveilleux manifestes qu'il m'ait été donné de lire.
L'histoire d'Amélie Nothomb et Mori Fubuki.

Lu en septembre 2019.
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Voila un des titres anciens d'Amélie Nothomb que je n'avais pas encore lu. Nous sommes au début des années 90 et Amélie travaille pour un an pour la compagnie Yumimoto. Et l'on ne peut pas dire que ça soit une très bonne expérience, entre es multiples gaffes, les différences culturelles et les bassesses, il ne lui arrive que des ennuis. Elle passera d'interprètes (ce pour quoi elle a été recruté) a comptable pour finir a nettoyer les toilettes.

J'ai eu un peu de mal avec le premier tiers du livre mais ensuite, je suis vraiment rentrée dedans et j'ai beaucoup aimé. Amélie regroupe tous les petits travers nippons pour les caricaturer et les regrouper dans ce romans. C'est forcement vraiment très drôle

J'en ai profité pour voir son adaptation et il n'y a pas photo pour moi, le livre est bien meilleur. Je ne sous entend pas ici que le film est mauvais mais certaines blagues tombent a plat comme un soufflé et forcement la plume d'Amélie perd de sa force et de son style.

Sylvie Testud joue très bien mais c'est le personnage de Fubuki, interprétée par Kaori Tsuji, qui m'a le plus plu et touché. Je trouve qu'elle est plus mise en avant dans le film que dans le roman.

Malgré tout le film est extrêmement fidèle au roman, la chronologie est respectée et puis on retrouve les répliques du livre..
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Amélie-san est une jeune belge qui a obtenu un contrat de un an dans une des plus grandes compagnies du Japon. L'auteure a revendiqué l'authenticité de son livre en prétendant que c'est une autobiographie. J'ai fait quelques recherches, les avis sont mitigés et j'en fais partie. le vocabulaire est riche, on subit une véritable immersion dans le monde du travail au Japon. Un bel humour est présent, des anecdotes banales deviennent hilarantes. Amélie-san est un personnage attachant, ambitieux et courageux. Ce livre très accrocheur nous expose une vraie leçon de vie, l'utilisation de mots spécifique est surprenante et l'écriture est très fluide.
La différence culturelle avec la France est palpable. Ce livre montre un peu trop les points négatifs du travail au Japon même si certains éléments sont tout à fait véridiques comme le fort taux de suicide dû au stress causé par le travail. Néanmoins, j'ai bien aimé ce premier roman de Amélie Nothomb, je le conseille pour découvrir son univers atypique.
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Dans la production d'Amélie Nothomb, il y a du malsain, et puis il y a ça. L'aveu d'une expérience désastreuse, si plein de fausse naïveté, si délicieusement catastrophique, qu'on ne peut qu'hésiter entre rire et pitié. ‘'Stupeur et tremblement'', c'est un peu une suite de ‘'Lost in translation'' où Bill Murray et/ou Scarlett Johansson aurait persévéré, appris le japonais, et même trouvé un boulot à Tokyo. Malheureusement, même quand on comprend leur langue, même quand on vit avec eux, la conclusion est rigoureusement la même : les Japonais demeurent une énigme.

Nous suivons donc les tribulations, les déconvenues et la dégringolade sociale d'Amélie-san. Embauchée par une grande entreprise japonaise, personne ne lui donne de travail. Elle essaye d'en trouver, et commet l'irréparable : elle prend une initiative. Sévèrement réprimandée, on lui donne des travaux de compatibilité, qu'elle se révèle incapable de mener à bien, ayant la phobie des chiffres. Elle est alors reléguée à l'entretien des toilettes. Mais quelle que soit sa position, une seule chose compte vraiment : son lien tumultueux et sadomasochiste avec sa supérieure hiérarchique directe.

Beaucoup de choses ont été dites sur la spécificité de la culture du Japon, curieusement proche de l'Europe à certains égards, typiquement asiatique par son confucianisme, et rigoureusement unique pour l'essentiel. le fait est qu'Amélie-san, malgré toute sa bonne volonté, n'est pas plus prête de s'y intégrer que si elle était débarquée de la veille. Ce qui, en un sens, lui rend service : seul son statut d'européenne la met un peu à l'abri du machisme complet de la société japonaise, ce même machisme qui bloque sa chef très compétente à un poste subalterne.

Il y a tout de même une question sans réponse : pourquoi a-t-elle été embauchée ? Pas pour son esprit d'initiative, en tout cas. Pour avoir un quota d'européens à exhiber, peut-être. Ou pour une raison incompréhensible à nous-autres d'européens, tout simplement.
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Amélie a vécu au Japon, pays dont elle admire la culture. C'est donc tout naturellement qu'elle postule pour un poste d'interprète dans une prestigieuse entreprise japonaise. L'admiration pour le pays est loin de suffire, la culture japonaise bien différente de la culture européenne. Dans ce contexte, tout devient compliqué, servir le café se transforme en épreuve. La narratrice peut vous le dire, après avoir servi le café à une vingtaine de personnes, il lui est désormais interdit de parler japonais. Et ce n'est que le commencement.
L'écriture est énergique et primesautière. Ce livre est à ce jour et de loin, le meilleur ouvrage d'Amélie Nothomb que je n'ai jamais lu.
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Au début des années 90, la jeune Amélie, narratrice, est embauchée comme traductrice dans une grande compagnie nippone. Elle réalise ainsi un rêve : travailler au Japon, pays où elle a vécu quand elle était enfant et qui la fascine depuis lors, au point qu'elle a longtemps cru qu'elle était elle-même japonaise. Pas de chance pour elle, elle est Belge, c'est-à-dire Occidentale, ce qui lui vaudra bien des déboires dans son nouvel emploi. En effet, Amélie maîtrise assez bien la langue et les codes compliqués de la société japonaise mais, dans le feu de l'action et des situations kafkaïennes qu'elle est amenée à vivre, sa spontanéité toute occidentale (comprenez : totalement déplacée au Japon) reprend le dessus et lui fait commettre bourde impardonnable sur gaffe monumentale. Elle se voit ainsi progressivement rétrogradée de son poste déjà très subalterne à un placard à balai, en l'occurrence celui de Madame Pipi.

Entre cynisme et autodérision, ce roman (largement autobiographique, apparemment) est hilarant, en même temps qu'effrayant dans son compte-rendu de l'infernale culture d'entreprise japonaise, exploitante et humiliante au possible. Sans parler de la pression monstrueuse et schizophrénique que subissent en particulier les femmes (« S'il faut admirer la Japonaise – et il le faut, c'est parce qu'elle ne se suicide pas ». Ou « Le Japon est le pays où le taux de suicide est le plus élevé, comme chacun sait. Pour ma part, ce qui m'étonne, c'est que le suicide n'y soit pas plus fréquent »).

« Stupeur et tremblements » est donc un roman sur le choc des cultures entre Japon et Occident. On éprouve de la compassion pour cette anti-héroïne qui s'acharne en dépit du bon sens et de sa fierté personnelle, et de l'incompréhension pour cette société japonaise dans laquelle l'idée même de rébellion contre l'absurdité hiérarchique semble sacrilège. le meilleur Nothomb parmi ceux que j'ai lus jusqu'ici.

#LisezVousLeBelge
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