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Un joli moment de lecture tout en harmonie, plein de saveurs gastronomiques, de senteurs fleuries, de tendre pudeur, de prévenance et de finesse, d'arômes…
C'est lumineux, délicat et bienveillant.

Papeterie. Calligraphie. Culture et traditions japonaises.
J'ai beaucoup aimé retrouver le petit monde de la « Papeterie Tsubaki », me rappeler le talent d'écrivain public de la jeune et pétillante Hatoko, et partager ces moments de leur quotidien.

Un instant suspendu de douceur et d'introspection aux côtés d'Hatoko, Mitsurô et sa petite fille, à Kamakura ; sillonnant les jardins, se recueillant dans les temples, flânant dans les boutiques, se régalant des mets et thés japonais. J'ai aimé savourer toutes les inspirations de cette histoire.

Une atmosphère paisible et une invitation à la réflexion sur notre rapport aux autres, à l'existence.

« A l'entrée du jardin
Fleurit le blanc d'un camélia » (Onitsura)
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Envie d'un peu de calme et de sérénité ? Alors, faites bouillir de l'eau puis infuser un bon thé (vert du Japon, de préférence), et laissez-vous transporter à Kamakura !
Pas besoin d'avoir lu "la papeterie Tsubaki" pour se laisser emporter par cet opus, même si, pour ma part, j'ai adoré retrouver Hatoko, alias Poppo, entourée de sa nouvelle famille. La famille prend d'ailleurs une place toute particulière dans ce livre ! Et quelles que soient les aleas du quotidien, chaque moment se doit d'être cultivé et cueilli avec une infinie douceur. Quel bonheur de pouvoir exprimer ses émotions par la gratitude, la préparation des bons petits plats, l'art de la calligraphie et les lettres...
Je ne me lasse pas d'y penser, alors maintenant, je vous laisse savourer cette dose de bonheur !
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Où j'ai retrouvé Hatoko qui tient toujours la papeterie familiale et la fonction d'écrivain public.

Elle s'est mariée avec Mitsurô et, grâce à sa petite fille, elle découvre les joies de la maternité, même si elle n'a pas mis au monde QP.

Un temps d'adaptation à sa nouvelle vie, à gérer les sentiments avec la première épouse décédée de Mitsurô, puis, aprè savoir rencontré sa famille,ils ont pris la décision de vivre ensemble, Mitsurô déménageant son restaurant.

Un roman plus brouillon que le précédent, où l'accent est davantage mis sur la vie quotidienne de Hatoko.

On retrouve cependant en toile de fond quelques lettres écrites pour des clients ayant à clore des vieilles rancunes ou devant faire la paix avec un mort afin d'en porter enfin le deuil.

Les amis sont eux aussi laissés un peu de côté, mais j'ai apprécié les promenades dans les bois, les descriptions des feuillages si apaisantes ... 

Une suite semble nécessaire pour terminer ce cycle en laissant les personnages vivre leur vie, ce volume ne peut pas être le dernier ...

A suivre, j'espère ! 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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C'est avec joie que j'ai retrouvé Hatoko et les doux virages de son existence d'écrivaine publique japonaise dans une cité balnéaire de l'archipel.
Désormais elle est mariée, et adopte l'enfant de son époux. C'est délicieux, même si j'avoue avoir préféré ses jours solitaires du premier volume "la papeterie Tsubaki".
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Voilà une lecture qui finit bien l'année 2022 !

J'ai retrouvé avec un grand plaisir le style de Ito Ogawa dans la suite des « aventures » de Hatoko dans sa jolie ville Japonaise de Kamakura.

À la fin du premier tome, nous avions quitté la jeune écrivain public dans le début d'une relation amoureuse avec son voisin Mitsurô, restaurateur. Hatoko s'était prise d'une grande affection pour la petite fille de celui-ci, QP, avec qui elle entretenait une correspondance régulière.

Ce roman fait l'éloge de la lenteur, de la douceur, de la joie de vivre les choses simples de la vie. On se promène aux côtés de Hatoko dans les recoins de la ville, où on y découvre les fleurs, la nature, les temples et leur divinité, les différents mets, le tout au travers des différentes traditions qui jalonnent une année.

À la lecture de ce livre, on a une seule envie, s'immiscer dans la vie de Hatoko et qu'elle nous prenne la main pour nous apprendre ce mode de vie tout en sérénité.

Bien que l'autrice fasse mention de quelques tensions ici et là, ces moments ne sont pas légion et semblent même irréels tant ils ne s'inscrivent pas dans la lignée du roman. La protagoniste parvient à faire de chaque événement de sa vie quotidienne un apprentissage du bonheur.

Le seul point qui m'empêche de lui décerner le titre de coup de coeur vient de quelques formulations un peu bancales tout au long du livre. Alors que le style est empreint dans la grande part du livre de beaucoup de douceur, certains termes ou expressions très modernes, voire argotiques, sont en complet décalage. ce qui m'a parfois dérangée. Je ne saurais dire si cela vient de la traduction ou de la version originale…

C'est un moment hors du temps, hors du quotidien qui est venu à point nommé pour la clôture de cette année 2022 et accueillir 2023.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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La papeterie Tsubaki m'a tellement charmée que je n'ai pas attendu longtemps pour mes retrouvailles avec Hatoko. Ce n'était pas tant de la curiosité comme lorsqu'on enchaîne les tomes d'une saga attendant les prochains rebondissements. Mais j'espérais retrouver cette sensation de félicité qui m'avait rapidement gagné à la lecture du premier tome de notre écrivaine publique. Une sensation de calme intérieur fort agréable.

Le charme n'a pas opéré cette fois-ci. Je n'ai pas trouvé le même intérêt aux missives et à leurs préparatifs, aux descriptions alléchantes de plats. Une sensation de réchauffé, d'une recette qui manque d'un ingrédient inédit pour enchanter mon palais. La pudeur du premier tome qui m'avait conquise m'a semblé souvent ici transformée en mièvrerie, notamment dans tout ce qui évoque la vie intime de notre jeune couple marié.

Cela ne change en rien mon affection pour la Papeterie Tsubaki que je relirai, c'est sûr.
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Ayant tellement aimé La papeterie Tsubaki, je me suis précipitée sur la suite, la république du bonheur pour retrouver avec bonheur, Poppo, l'écrivaine publique, maintenant bien installée dans son métier, et tous les charmants personnages qui l'entourent. Poppo s'est mariée à Mitsurô et est devenue la maman de sa meilleure petite amie, QP. Poppo s'acclimate et apprivoise son nouveau rôle de mariée, alors que son rôle de mère, lui, s'impose très naturellement.
Même si j'ai retrouvé la délicatesse d'écriture et d'histoire dans la République du bonheur, je crois que mes attentes étaient trop importantes et que j'en attendais plus. J'entendais moins "la voix" de Poppo, je la trouve plus effacée, moins prononcée. Hatoko (Poppo) me paraissait, à la fois, plus confiante dans ses compétences d'écrivain publique mais moins affirmée voir moins mature dans son rôle d'épouse. Ou peut-être est-ce juste une pudeur exacerbée japonaise que j'ai du mal à appréhender? Ou peut-être est-ce juste lié à un moindre intérêt de ma part envers sa recherche de place au sein de sa famille. J'aurais aimé plus de place aux personnages secondaires, comme l'adorable Madame Barbara et ses amoureux, ou le baron, même QP ne semble pas si présente que ça.
Néanmoins, je reste sous le charme de cette petite papeterie et de ce métier d'écrivain publique qui me laisse tant entrevoir de la société japonaise. Et j'aime particulièrement le plaisir de Poppo racontant les mets qu'elle affectionne. Tous mes sens gustatifs étaient en éveil lors de ces descriptions, la palme étant le tableau fait du curry de chinchard pané, préparé avec amour par Mitsurô.
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Comme il est doux de retrouver "Popo" et la librairie Tsubaki.
La même délicatesse, la même poésie s'agrainent de pages en pages et me font entrer à mon tour dans la république du bonheur.
Je fais un voyage au Japon à chaque fois que je plonge dans ce livre. J'ai des envies de temples, de visites, de calligraphie et... de mets japonais. Ogawa Ito semble ne jamais oublié longtemps la cuisine. Moins puissant que "La Librairie Tsubaki" ou que "Le restaurant de l'amour retrouvé", un merveilleux feel-good novel néanmoins.
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Suite de la papeterie Tsubaki. Nous retrouvons notre jeune femme écrivain public et sa nouvelle famille: son mari et la fille de celui-ci.
Ce roman, agréable à lire, et doux, a néanmoins été une déception. J'avais été sous le charme du premier roman, mais celui-ci s'est traîné. Il n'y avait plus l'attrait de la nouveauté. Il y a moins de personnages aussi et j'ai regretté qu'on voie si peu Madame Barbara. J'ai aussi eu du mal avec le couple formé et sa manière de vivre, que j'ai du mal à comprendre (peut-être une différence de culture).
Bref, un moment pas déplaisant mais je n'ai pas été emballée.
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Un livre feel good qui redonne le sourire, chargé d'ondes positives pour profiter de la vie. A chacun de créer sa république du bonheur en mariant le passé chargé de souvenirs et d'enseignement , pour trouver son équilibre et avancé.
Bercé par la philosophie japonaise, on chemine avec Popo et Qp sur les chemins de leur nouvelle vie de famille.
Exotique et dépaysant , un peu intemporel aussi , j'avais du mal à ancrer cette histoire dans notre vie tourbillonnante alors que dans cette république , le temps s'écoule lentement.
Une belle ode aussi au plaîsir d'écrire.
A noter que je n'ai pas lu le premier.
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