Et il me parla de cerisiers, de poussières et d'une montagne...

Lu en 2016. Un court roman initiatique, introspectif et positif.
La peur nous coupe de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Elle nous paralyse, nous inhibe, nous rend impuissant, mesquin, colérique, violent. Elle nous détruit à petit feu... Une lecture plaisante mais une intrigue un peu trop attendue, et un positivisme tout de même trop "facile" (du genre coaching mental). L'on ne se défait pas si simplement de ses peurs !

Je classerais ce roman dans la catégorie des "livres qui font du bien".

Où ai-je vu ce bouquin? Sur quel blog? Je ne sais plus mais j'ai été attiré par ce titre un peu spécial et par la couverture qui rappelle les estampes japonaises.

Un livre de 140 pages qui m'a fait de l'oeil dans ma librairie. Je l'ai emporté et j'ai bien fait.

Le thème de ce roman est la peur. Tout le monde a peur même si personne ne l'avoue. On a peur de la souffrance, de la mort, de ne pas être aimé, de ne pas être à la hauteur, ...

Souvent il s'agit de fausses peurs, des peurs que nous créons dans notre esprit mais qui n'existent pas et dont on peut se débarrasser à condition d'en prendre conscience.

Le livre parle aussi du passé qui est bien passé et qui n'existe plus. Sa seule importance, c'est qu'il sert à vivre l'instant présent et à préparer l'avenir.

J'ai souligné pas mal de passages dans ce bouquin, ce qui est bon signe.
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Voilà des livres qui racontent des contes de fées. C'est bien écrit et c'est amusant difficile de les lâcher avant la fin. Cela reprend chaque fois un thème de philosophie, développement personnel, je ne sais trop bien et donc , c'est plein de clichés. Qui dit conte dit histoire pas réaliste, mais on oubliera facilement le côté "à l'eau de rose" parce que c'est amusant et que chacun trouvera dans ces contes son compte . Bonne lecture.

Ce petit livre traite de développement personnel et plus particulièrement de la peur et de l'importance qu'elle prend dans nos vies.
Par le biais du personnage de Paul Lamarche, l'auteur étaye son propos et nous fait prendre conscience de l'emprise qu'elle a sur nous. Intéressant même si je l'ai trouvé un peu court.

Court récit mais très intéressant. Ca m'a rappelé, par certains côtés, "les hommes n'habitent pas tous la planète de la même façon": Un homme cherche un sens à sa vie et s'appuie sur des rencontres inspirantes.
C'est un livre qui donne agréablement à réfléchir.

Quand j'ai lu ce livre en juin dernier, j'étais dans la rédaction de ma toute première conférence pour un colloque international. Et j'avais peur de me lancer dans l'écriture, j'anticipais toutes les questions pièges qu'on pouvait me poser, je lisais encore et encore plus de bouquins pour m'assurer de ne rien louper mais... je n'écrivais pas parce qu'écrire : c'était rendre le tout encore plus réel.
Et puis je me suis lancée dans cet ouvrage, le deuxième que je lisais de l'auteur et découvrais un genre de roman-essai sur la peur de se lancer pleinement dans la vie et de donner du paraître pour ne pas trop être atteints. La foirade totale du personnage principal et ses rencontres avec son prêtre-compagnon de cellule, son chef d'entreprise japonais et sa rencontre ultime qui met une consécration sur tout le reste m'a touchée. Cet homme égoïste qui se cache derrière sa pseudo réussite pour au final prendre conscience de ce qu'il a construit : pas grand chose au final.
La sagesse qui se dégage de cet écrit m'a permis de, moi aussi, faire comme le personnage principal : de ne plus ramper en me levant avec beaucoup d'efforts, de prendre à bras le corps ma peur et de marcher une bonne fois pour toutes.
Un livre à lire pour tous les peureux de la vie ! Vous allez déplacer des montagnes après !

"Il y a des rencontres qui changent une vie" et par moment il faut avoir fait un bout du chemin pour s'en rendre compte.

Paul Lamarche est un homme soumis à ses peurs, sans même en avoir conscience. Tout dans ses échanges n'est que conflit de domination ou de soumission. Peur de décevoir, de ne pas être aimé, d'être jugé... Nous ne nous en rendons pas compte mais nos vies sont souvent soumises à des peurs irrationnelles, des projections de futur qui ont pourtant peu de chance de voir le jour. Mais la peur "intérieure" nous met dans des positions malsaines de domination, de soumission ou de prostration.
Pourtant quand on arrive à se détacher de ses peurs nous nous mettons enfin a vivre, libre.

Tel est le cheminement de Paul Lamarche au travers de son récit.

Une lecture toujours agréable, qui mène à une introspection, la plume d'Antoine Paje est pleine de poésie et de pensée d'éveil qui me plait toujours autant.
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Dans cette courte mais efficace histoire, on rencontre Paul, un personnage qui n'a qu'une seule ambition : réussir, réussir, réussir. Mais cette réussite est guidée par une chose qui ne peut que l'empêcher de s'accomplir pleinement : la peur. Peur d'échouer, peur de son supérieur, peur de s'engager, peur de tout. Mais dans son court périple, il va rencontrer ce qu'il appelle dès Yodas (je suis fan de la référence), des guides qui vont le remettre sur le droit chemin, l'aider à être enfin lui-même.

J'aime ce sujet, celui de la peur, qui dit qu'elle guide nos vies, nous empêche de vivre, d'être nous-mêmes. On s'identifie a ce sujet, on le reporte sur nous, on se question. J'apprécie vraiment ce roman introspectif qui me rappelle beaucoup ceux du talentueux Laurent Gounelle, même si je trouve qu'il fait peut être un peu trop roman type "développement personnel".

En définitive, un petit roman bien sympa et sans prise de tête qui nous rappelle qu'on a tous dans nos vies des petits Yodas qui nous ont marqués. C'est mon cas personnellement, j'espère aussi que c'est le vôtre !

Je n'en avais lu ni le résumé ni la moindre critique, je me suis lancée sans rien en savoir et pour la première fois, cela m'a joué un drôle de tour : il m'a semblé lire un ouvrage de développement personnel sur la peur, mais.. avec des clichés au milieu et du racisme à la volée. Partie pour découvrir un roman et après trop de sourcils froncés, j'ai refermé le livre avec la volonté de m'y replonger peut-être plus tard, lorsque le moment serait adéquat. Là, je n'avais pas le cerveau disponible.
Je me suis lancée dans un autre livre. Après avoir découvert ce matin "Mes mots sont les fleurs de ton silence" et rouvert quelques portes dans ma tête, j'ai pensé que le moment était bien choisi pour rouvrir les cerises et la montagne, celui qui parlait de la peur donc : il ne pouvait pas être si mauvais.

Je n'avais pas totalement tort concernant la première impression, j'avais tout de même un roman déguisé en développement personnel - ou l'inverse, les deux sont valables.
Je le dirais très intéressant pour les personnes n'arrivant pas à lire du développement personnel, c'est une porte sur le sujet. Il se lit très rapidement, frôlant tout de même le coaching et ça, ça m'a agacée : l'auteur en fait trop. La poésie contenue dans le titre - en deuxième lecture, cela fait tellement Paolo Coelo.. - a disparu entièrement du livre. Les personnages sont improbables, caricaturaux... Dommage, il est intéressant dans le sujet, moins, bien moins dans la réalisation.

Un livre trouvé au hasard d'un bouquiniste et que j'ai adopté en pensant qu'il avait un rapport avec le Japon. Je me demande si les éditeurs ont choisi un titre et une couverture japonisants pour attirer les amateurs du Japon, mais il n'est nullement question de la culture nipponne dans ce livre. Dans ce court récit initiatique, le narrateur nous livre des réflexions philosophiques et nous explique son parcours vers une meilleure version de lui même. Grace à des rencontres qui ont changé sa vie, l'auteur revient sur les moments clés qui auront permis à Paul de dépasser ses peurs et d'oser être une "vraie personne" vivant pleinement sa vie.
Une histoire qui inspirera sans doute les adeptes de Gounelle, mais qui, pour moi, était trop fade et bourré de clichés pour être intéressant.