Dans ce numéro, deux rencontres qui nous rappellent
François Mitterrand, mais c'est peut-être un hasard ! La plus courte, c'est la petite bibliothèque spirituelle de
Mazarine Pingeot. L'autre, qui est plus longue, est la conversation avec
Marie de Hennezel dont
François Mitterrand avait préfacé le livre "
La mort intime."
Au-delà de l'anecdote, l'échange avec
Marie de Hennezel est très riche : elle parle avec bienveillance de son expérience dans l'accompagnement des malades en fin de vie, de sa propre vieillesse, de sa foi et de ses questionnements.
Il y a aussi un bel hommage à
Madeleine Delbrêl, sous la forme d'une longue lettre imaginaire que lui écrit un religieux assomptionniste.