René Permalore
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Résumé :
« L'orthographe n'est pas la science des imbéciles » comme le prétendent certains. Et malgré ses « bizarreries », reconnaissons, au contraire, qu'elle est inhérente au sens de la phrase. La graphie correcte d'un mot dépend ainsi du contexte. Or, si en classe l'on contrôle l'orthographe des élèves par la fameuse dictée, elle reste, néanmoins, un problème parce qu'elle n'est pas véritablement enseignée.
La dictée, en effet, n'est qu'un moyen de vérifica... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Dans cet ouvrage René Permarole, professeur de français en secondaire, dit que l'essentiel ( mais ce n'est pas facile pour autant, ajouterons-nous) est de
« A. Tenir compte de plusieurs éléments, dont :
1. le sens du texte, en priorité : que veut dire l'auteur ? Ou que voulons-nous dire ? Quel est le sens de cette phrase ?
2. Les prétendus petits "riens" qui peuvent tout changer (ponctuation, accents, intonations, liaisons, majuscules, etc)
3. Les règles de grammaire (règles d'accord)
4. La nommentaclure et les outils grammaticaux (déterminants, pronoms, mots invariables, etc)
5. La conjugaison et les différences d'emploi des modes et des temps
B. Avoir la "gymnastique" de l'orthographe, c'est-à-dire :
1. Se poser des questions et savoirs lesquelles
2. Utiliser "trucs" et procédés mnémotechniques (notamment pour l'orthographe d'usage)»
Le premier chapitre est consacré à des problèmes de vocabulaire, des mot par exemple comme "radical", "locution", "diphtongue" sont définis. du second au huitième chapitre, on a l'explicitation des points A et B énoncés précédemment. Des exercices d'application suivent toujours, avec leur correction en fin d'ouvrage.
Des procédés mémotechniques sont fournis en appui, ainsi derrière "ten", il n'a jamais doublement du "n", saut avec "tennis", ce qui donne l'adage : "il a fait deux noeuds à ses tennis" (page 192). Parfois des rappels simples vont éviter bien des doutes, ainsi par rapport au fait d'orthographier la fin d'un adverbe "emment" ou "amment" , il suffit de se référer à la terminaison de l'adjectif correspondant, qui est soit du même type que "savant" ou que "prudent" (page 64).
Aux pages 229 à 232 sont donnés la plupart des homophones, soit qu'ils s'écrivent différemment (comme "aire" et "ère" voire "hère", ce dernier non donné par René Permarole , ou "cygne" et "signe") soit qu'ils changent de sens selon qu'ils sont d'un genre ou l'autre ou au singulier et au pluriel ( comme "la foudre" et "le foudre" ou "l'aigle" et "les aigles"). Des pages comme celles-ci seront prétexte à l'invention de phrase avec des élèves.
On doit suivre la progression donné dans chaque chapitre mais l'on peut choisir les chapitres que l'on désire travailler selon ses manques.
« A. Tenir compte de plusieurs éléments, dont :
1. le sens du texte, en priorité : que veut dire l'auteur ? Ou que voulons-nous dire ? Quel est le sens de cette phrase ?
2. Les prétendus petits "riens" qui peuvent tout changer (ponctuation, accents, intonations, liaisons, majuscules, etc)
3. Les règles de grammaire (règles d'accord)
4. La nommentaclure et les outils grammaticaux (déterminants, pronoms, mots invariables, etc)
5. La conjugaison et les différences d'emploi des modes et des temps
B. Avoir la "gymnastique" de l'orthographe, c'est-à-dire :
1. Se poser des questions et savoirs lesquelles
2. Utiliser "trucs" et procédés mnémotechniques (notamment pour l'orthographe d'usage)»
Le premier chapitre est consacré à des problèmes de vocabulaire, des mot par exemple comme "radical", "locution", "diphtongue" sont définis. du second au huitième chapitre, on a l'explicitation des points A et B énoncés précédemment. Des exercices d'application suivent toujours, avec leur correction en fin d'ouvrage.
Des procédés mémotechniques sont fournis en appui, ainsi derrière "ten", il n'a jamais doublement du "n", saut avec "tennis", ce qui donne l'adage : "il a fait deux noeuds à ses tennis" (page 192). Parfois des rappels simples vont éviter bien des doutes, ainsi par rapport au fait d'orthographier la fin d'un adverbe "emment" ou "amment" , il suffit de se référer à la terminaison de l'adjectif correspondant, qui est soit du même type que "savant" ou que "prudent" (page 64).
Aux pages 229 à 232 sont donnés la plupart des homophones, soit qu'ils s'écrivent différemment (comme "aire" et "ère" voire "hère", ce dernier non donné par René Permarole , ou "cygne" et "signe") soit qu'ils changent de sens selon qu'ils sont d'un genre ou l'autre ou au singulier et au pluriel ( comme "la foudre" et "le foudre" ou "l'aigle" et "les aigles"). Des pages comme celles-ci seront prétexte à l'invention de phrase avec des élèves.
On doit suivre la progression donné dans chaque chapitre mais l'on peut choisir les chapitres que l'on désire travailler selon ses manques.
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