L’ensemble des textes n’en constitue qu’un seul : chaque nouveau poème, rouage de cette mécanique parfaite et fragment prenant le relais du tempo, vient se greffer naturellement dans la perpétuation du mouvement. Cette poésie rimée, comparable à la plupart des musiques de Bach, est sous-tendue par une dynamique fluide. Le poème coule comme un ruisseau, sans entraves, si bien que le lecteur, pris dans cette cinétique déterminante, ne peut qu’avancer toujours vers ce ... >Voir plus