Difficile de juger une bd qui fait partie de notre plus tendre enfance. Je l'avais presque totalement oubliée lorsqu'une de mes connaissances a offert plusieurs volumes à mon plus jeune fils.
En me replongeant avec lui dans cette lecture, je me suis aperçu à quel point, elle faisait partie d'une époque bien révolue. Cela fait même un peu "mormons"... Il faut dire que je les lisais chez mon cousin qui faisait partie d'une famille très pieuse.
C'est politiquement bien correct et surtout très niais dans les dialogues. Sylvain et Sylvette servent surtout de faire valoir aux pitreries des compères.
Ah, les leçons de morale... "S'il y en avait, il y aurait moins de problème" diront les plus vieux. Je n'entrerai pas dans ce débat. Si ce conte populaire peut permettre aux jeunes lecteurs de tirer une leçon dans un cadre drôle et touchant, pourquoi pas après tout ?
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Que de nostalgie ! J'ai découvert cette bande dessiné lorsque j'ai été en pension à 9 ans, le surveillant nous conter les histoires à l'aide d'un rétroprojecteur.
Les dessins sont bien faits, et les deux personnages attachant, sont accompagnés de plusieurs animaux avec Cui-Cui, le sanglier, l'ours, etc.
Je ne sais pas s'il existe de tels BD en notre époque si marquant ?
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J'ai découvert les aventures de Sylvain et Sylvette en 1973. Simpliste mais attachant et drôle. Aujourd'hui je les recherches pour ma petite fille. J'en ai une dizaine à ce jour.
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Le premier tome d'une longue série qui continue encore aujourd'hui. C'est l'une des toutes premières Bd que j'ai lu, mon père les achetait à ma soeur lorsque nous étions petites. C'est gentillet et drôle. Aussi bien pour les enfants que pour les adultes, ça se lit à tout âge même si ça reste relativement simpliste.
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Livre à partager d'une génération à l'autre... histoire et graphisme, un vrai plaisir!
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Vis à la campagne pour toi, au lieu de vivre à la ville pour les autres.
Après leur dernière déconvenue, les compères sont restés quelque temps sans importuner nos amis, mais cela ne saurait durer.
La nuit passe...
Les compères dorment dans la ferme abandonnée.
Vidéo de Jean-Louis Pesch