Les lames du Cardinal, tome 2 : L'alchimiste des Ombres

Le livre attaque d'emblée sur la transformation en dragon de l'Alchimiste traqué par les soeurs de l'ordre de Saint-Georges. L'Italienne, une espionne qui mange à tous les râteliers, propose d'apporter les preuves d' un complot contre le roi en échange de la protection de Richelieu, et donc des lames du Cardinal. Bonus, toutes les versions apparentées aux dragons entrent en lice pour alimenter l'aspect fantastique du récit …


Le récit est toujours aussi fragmenté entre les multiples personnages, cela occasionnant les redites habituelles et l'obligeant et collant guide du touriste parisien est vraiment lassant nous refusant l'immersion dans l'action. de fait comme dans le premier tome nous sommes appâtés pour finalement nous perdre dans des digressions oiseuses.


Un roman historique mêlé de fantastique un peu simpliste et pas vraiment prenant, un livre quelconque dont on peut se passer …

Deuxième tome qui débute en fanfare avec une bataille avec un dragon ... La menace se précise et les craintes se multiplient pour le royaume de France.
Les lames du Cardinal font face à tous ces dangers et trouvent sur leur route une intrigante italienne qui semble joue un double (triple?) jeu.
Beaucoup de péripéties encore dans ce tome, le suspense est toujours présent et les personnages sont bien décrits, chacun ayant une vie et une personnalité propre.
Une très bonne lecture.

(...)
C'était une bonne lecture, ça se lit vite et facilement, l'univers est sympa, les personnages aussi, il y a un tas d'idées originales et intéressantes… Ce 2e tome ne manque ni d'action, ni d'aventures en tous genres. Mais il me manque un truc. ça semble un peu brouillon par moments et je trouve que les personnages ne sont pas assez approfondis, entre autres. Une centaine de pages de plus n'auraient pas nui à l'ensemble… Malgré tout, c'est une série distrayante et plaisante, pas prise de tête et qui se lit vite. le tome 3 sera lu très bientôt.
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Idée de départ / Accroche du début de livre : 3/10
Développement des personnages : 2/10
Style de l'écriture : 1/10
Rendu de l'histoire : 3/10

Note globale : 9/40 Babelio 1/5

Disons le franchement j'ai encore plus détesté cette seconde partie que la première, il faut dire que cela fait quelques années que Bragelonne ne sait plus me convaincre dans ces choix littéraire. Ici il y avait une petite note qui aurait du m'indiquer que j'allais m'ennuyer profondément dans ce roman le prix Lycéens aux imaginales 2009. Cela fait un bout de temps que je suis plus lycéens et lorsque que je l'étais je me différenciais des autres par mes choix littéraires. Je suis quelqu'un qui va souvent à contre courant de la plèbe. Dans ce cas pourquoi lire ce second tome me direz-vous ? Masochisme ? Pas du tout j'ai reçu ce livre en cadeau je lui ai donc donné sa chance. Mais après deux romans au scénario faiblard je n'irai pas lire la troisième partie qui doit être aussi ennuyeux que les deux premier tome. Et si c'est pas le cas et bien tant pis. Mais je suis certain de pas rater grand chose compte tenu que ce roman est en contradiction total avec mon âme de lecteur.

Il faut dire que ce livre commençait mal avec sa première scène, très risible. La châtelaine grâce à ses pouvoirs magiques fait voler en éclat la double porte du manoir, mais n'utilise pas ses pouvoirs pour faire voler une misérable petite porte de la cour intérieur en éclat. Mort de rire à la première scène, je ne pense pas que s'était le but recherché.

Le pire c'est que plusieurs imperfections, pullulent dans cette seconde partie. J'ai fait du JDR grandeur nature et quand je vois des personnages aussi crétins ça m'exaspèrent profondément.

Je comprend que l'auteur à voulu rendre hommage à Patrice Duvic (dédicace début de livre) qui dirigeait il me semble la collection des royaumes oubliés avec Jacques Goimard. Alors qu'on vienne pas me dire que c'est pas pompé sur ce style d'univers. Il faut bien se l'avouer les Royaumes Oubliés à part quelques exceptions s'était pas trop ça, car les scénarios venaient directement du JDR sur table. Ici avec Pierre Pevel (malgré le nombre d'éloges) on se retrouve avec un scénario qui vol aussi bas qu'avec cette vieille collection. Même si à cette époque j'aimais ce type de scénario Basic (il faut aussi dire qu'a l'époque on avait que ça) j'ai évolué avec le temps.

Ce livre trop décousu, trop prévisible, n'aurait jamais du croiser ma route. Et tel aurait été le cas s'il ne m'avait été offert par un ami proche aimant Dumas qui m'avait fait en me l'offrant "ça peut le faire" et bien non finalement ça l'a pas fait. Et Alexandre Dumas lui aussi n'a pas du s'en remettre pour tout vous dire.

En Lorraine, une Soeur et des Gardes de Saint-Georges traquent l'Alchimiste, qui s'échappe en se transformant en dragon. La Soeur a alors une vision de la destruction de la France…

Nous retrouvons avec bonheur les Lames du Cardinal, ces épéistes hors pair au service de Richelieu et de la France. Chacun d'entre eux a son caractère bien trempé, voire un brin caricatural, mais on ressent le plaisir de l'auteur à les mettre en scène dans une ambiance prononcée de roman de cape et d'épée. Les Lames cherchent à déjouer des complots, tout en sachant que leur patron — Richelieu lui-même — ne leur dévoile pas tout et peut les abandonner si la raison d'État l'exige, ce qu'il a déjà fait par le passé.

Dans ce second volet entrent en scène de nouveaux personnages, notamment l'Alchimiste des Ombres, ce redoutable agent des loges draconiques dont les Lames gardent un souvenir cuisant. Plusieurs intrigues s'entremêlent dont les fils sont tirés par les nombreux ennemis du royaume. En trame de fond, un complot visant le trône de France ourdi par la Griffe Noire.

Ce tome conserve le rythme enlevé de la saga, avec ses multiples rebondissements et ses secrets enfouis, ses manigances et ses doubles jeux. On peut regretter parfois un excès de deus ex machina, mais c'est pardonnable tant la lecture est agréable.

Un roman qui offre un bon moment de détente, même si je commence à être étonnée que la saga soit considérée comme une référence en Fantasy française, car je trouve qu'il manque un « petit quelque chose » qui rendrait l'histoire marquante, et que le tome 2 ne renouvelle pas beaucoup le tome 1. Je vais lire le dernier volet pour me faire un jugement final.

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Une trilogie éblouissante qui nous plonge dans le passé mais dans un passé où le cardinal de Richelieu côtoie les dragons.
J'ai été impressionnée par la qualité de cette trilogie car l'auteur parvient à allier L Histoire et la fantasy, avec beaucoup de talent, dans une sorte d'uchronie captivante.
Comme toujours chez Pevel, les personnages sont passionnants et leurs caractères les rendent singuliers. Lafargue, quant à lui, se démarque des autres. Son code de l'honneur, son sens du devoir, sa loyauté, sa force, son agilité à manier l'épée et son charisme le distinguent des autres.
Vous l'aurez compris, Lafargue est le héros sans lequel la trilogie Les lames du cardinal n'aurait pas la même saveur.

La troupe des lames du cardinal n'est pas sans rappeler celle formée par les trois mousquetaires (+ 1) de Dumas sauf qu'une femme, comme souvent chez Pevel, intègre le groupe, du côté des combattants.

Il s'agit de la deuxième partie d'une Trilogie « Les lames du cardinal » . C'est de la bonne héroïc fantasy française avec un parfum de Dumas puisqu'on y croise , D'Artagnan,(et même Cyrano) : Richelieu est l'un de protagonistes principaux ,la touche HF est apportée par la présence de dragons ( et autres salamandres , Wywern..) dans le paysage historique . Cela se lit avec un grand plaisir .

On retrouve donc les Lames du Cardinal dans ce tome 2, on est immédiatement plongé dans l'histoire avec La Fargue, Almadès et Saint-Lucq qui ont pour mission de rencontrer l'Italienne : Alessandra di Santi. Cette jeune femme est une escroc bien connue, très intelligente et qui est là pour prévenir d'un complot contre le trône. Un personnage que j'ai adoré !
Mais quelle raison la jeune femme aurait à dénoncer ce complot ? Car, les Lames pensent qu'elle a en effet une idée derrière la tête.
En plus de ça, on fait la rencontre de l'Alchimiste de l'Ombre qui semble avoir une mission qui risque de mettre le trône en péril.

C'était un vrai plaisir de se plonger dans ce tome 2, de renouer avec les personnages auxquels je me suis si bien attachée et pour lesquels je ne cesse de m'inquiéter. On retrouve aussi Laincourt, qui était apparu dans le tome 1, et qui va devoir prendre une décision. Faire partie des Lames ou non.
Et tous ensemble, ils vont être embarqué dans une nouvelle aventure.

Difficile de reprendre son souffle dans ce tome 2, les événements s'enchaînent pour finalement s'entrecouper. Les mystères pèsent et l'on voit petit à petit le noeud se resserrer. Les Lames mettent leur vie en danger sans y réfléchir à deux fois et on craint pas mal pour eux. Marciac m'a en revanche un peu énervé à jouer double jeu entre les Lames et Rochefort et je voulais qu'il arrête de donner des informations à Rochefort – surtout que je déteste Rochefort.
On en apprend un peu plus sur leur passé aussi. Sur ce qu'il s'est passé il y a cinq ans. Sur Agnès également et ce qu'elle a failli devenir.

C'était un vrai régal à lire, on n'a pas le temps de s'ennuyer, c'est toujours aussi bien écrit, et on a toujours envie de continuer l'aventure aux côtés des Lames.

Par contre, l'auteur est un sadique habitué aux fins affreuses. Car celle-ci m'a encore cloué sur mon lit où j'étais en train de lire. Il me tarde de me plonger dans le tome 3, même si en même temps je le crains un peu.

En bref, un deuxième tome passionnant, des personnages toujours aussi attachants dont j'aime la relation et le lien qui les uni. Une intrigue bien menée, dont les événements finissent pas se croiser. J'adore.
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un tome 2 plus fourni que le tome 1 dans sa structure. l'auteur approfondit également son univers avec ses complots, ses alliances, ses dragons et ses société secrètes. Il semble s'être très bien documenté sur l'époque pour rendre son récit le plus ancré possible dans l'époque de Louis XIII. J'ai adoré croiser D'Artagnan, même furtivement! L'intrigue est sympathique, le roman est sympathique, même si les lames du cardinal s'en tirent vraiment très facilement ( bon Leprat a un peu plus de mal, Marciac fait une chute mémorable et même Saint-Lucq saigne un peu mais globalement, ils gagnent presque Fingers in the nose!).

Après un premier tome qui relève plus de l'introduction et de présentation des personnages, l'Alchimiste des Ombres mêle avec brio la fougue d'un roman de cape et d'épée et la magie de la fantasy (plus présente que dans le tome 1).
Mention spéciale pour le final extrêmement cinématographique. Ainsi que le mystère final qui donne très envie de lire le dernier opus des Lames du Cardinal version Pierre Pevel.