On dirait à regarder son œuvre, que le photographe c’était très tôt persuadé que les choses ne s’offrent qu’à celui qui sait garder ses distances. Car alors tout devient clair, aisé, déchiffrable. Et le monde consent enfin d’avouer qu’il n’est, en réalité, « qu’un grand livre ».
(fin de l’introduction de Danièle Sallenave)