Auteur, réalisateur, animateur, Pleau raconte son parcours de transfuge de classe dans le courageux Rue Duplessis : ma petite noirceur [...]. C’est un récit dur, implacable, sans fard ni faux-fuyants, de la pauvreté économique, culturelle et intellectuelle du milieu ouvrier dont il est issu. Un portrait sans compromis, tout sauf édulcoré, de son enfance meurtrie par l’intimidation, de sa jeunesse malheureuse à Drummondville, et de sa migration sociale par l’éducation.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Dans «Rue Duplessis», Jean-Philippe Pleau fait le récit du passage de son milieu d’origine à un statut plutôt enviable dans «le monde bourgeois».
Lire la critique sur le site : LeDevoir