La lumière était si parfaite

📸Un brin de liberté 📸
Hello vous ! Comment allez-vous ?
Je suis très heureuse de partager avec vous ma dernière lecture. La lumière était si parfaite de Carène Ponte est simplement splendide. Elle aborde en douceur, humilité, modernité le rôle, archaïque, de la femme au foyer. Je vous rassure, le sujet est très bien traité car il fait vraiment partie intégrante de l'histoire. On y découvre Megg, qui est mère au foyer, marié avec Stéphane et ensemble, ils sont deux enfants, Lalie et Malone. Megg passe ses journées à suivre sa liste de tâches dans son carnet
Mais, à un moment donné, elle n'a plus la force...que se passe-t-il ? Elle n'a guère de soutien de la part de mari... l'écoute et la compréhension ont presque disparu. Quant à sa relation avec sa fille, en pleine adolescence, elle est compliquée.
Et pour couronner le tout, Megg a perdu sa maman il y a quelques mois. Bref, tout va bien C'est alors, en compagnie de Romy (sa pétillante voisine ) qu'elles vont faire une découverte surprenante et inattendue au sujet de sa mère. Je vous laisse la chance le découvrir en lisant le livre.
Va s'en suivre alors un voyage afin de percer le mystère autour de cette révélation. (Ah ah, tu vas envie de savoir maintenant)
Alors, si tu as envie de connaître la suite, je t'invite à te procurer livre, plein de sentiments, de surprises, de remise en question, de "j'en peux plus", de la place de la femme au sein d'un couple, d'empathie, de réflexions, alors il est pour toi !
Carène Ponte, de sa plume caractéristique, sait amener en douceur, subtilement, en conscience, le lecteur a s'interroger sur des sujets d'actualité et bien sûr, suscite la réflexion. Merci à elle d'avoir abordé ce thème, qui parlera a énormément de femmes et je pense qu'il serait également intéressant que des hommes le lisent
Bizettes, causette

Je ne suis jamais déçue avec les romans de cette autrice on sait que l'on va passer un bon moment de lecture
Avec des touches d'humour, l'autrice aborde différents thèmes : la femme au foyer, la relation mère-fille au moment de l'adolescence, l'amitié, le regard de l'autre

qu'est-ce qu'une femme parfaite, doit obligatoirement s'oublier ? la reconnaissance du travail d'une femme au foyer

Dans ce roman nous découvrons Megg, mère au foyer, dépassée par sa vie. Elle a subitement perdu sa mère et a du mal à s'en remettre, sa relation avec sa fille adolescente empire de jour en jour, et à part les tâches ménagères qu'elle fait seule toute la journée sans l'aide de son mari, elle a l'impression de ne rien faire de sa vie.

En vidant le grenier de sa mère, elle va découvrir des secrets auxquels elle ne s'attendait pas, et va essayer d'en découvrir plus.

Le stéréotype de la femme qui doit tout faire à la maison est assez mis en avant ici, avec la réaction de Megg quand elle finit par s'en rendre vraiment compte, et j'ai beaucoup apprécié ça. Elle va essayer de changer son quotidien, de se redécouvrir en tant que femme, et plus en tant que femme au foyer.

J'ai adoré le personnage de Megg, dès le début on est attaché à elle, et la suite ne fait que confirmer cette sensation.

Ce n'est un secret pour personne, j'adore cette auteure. Alors retrouver son style est toujours un réel plaisir. Ici l'histoire est écrite à la première personne et à une voix.

En bref, j'ai adoré suivre Megg dans ses aventures, ses relations, sa vie. Elle est attachante et son histoire très touchante. Je suis maintenant encore plus pressée de lire le prochain roman de Carène Ponte !

C'est avec beaucoup d'émotion que je referme ce livre qui m'a fait voyagé, qui m'a émut mais surtout qui m'a bouleversé.

Il est évident que beaucoup de femmes vont se reconnaître en Megg.

Cette histoire c'est un peu une histoire d'émancipation, ne plus être juste une ménagère et une mère mais être une femme. Savoir se respecter, savoir prendre du temps pour soit, savoir se trouver en tant que femme.

C'est un exercice vraiment compliqué qu'à fait Carène Ponte, à travers ce roman, que de retranscrire avec justesse et bienveillance l'impact de la charge mentale sur la vie des femmes. J'aime me dire "mais oui c'est tellement ça" durant me lecture, et là c'est un sans faute.

Nous retrouvons ici Megg qui est mère au foyer et qui s'est englué dans une routine qui ne lui correspond plus. Entre un mari qui se décharge totalement sur elle pour la gestion du quotidien et une relation avec sa fille qui se dégrade a vu d'oeil, il lui est de plus en plus difficile de faire face et de ne pas craquer.

Alors quand elle trouve cette vieille pellicule dans le grenier de sa mère et qu'elle découvre une partie de sa vie qu'elle ne connaissait pas, embarqué par son excentrique voisine Romy, elle décide de partir sur les traces du passé de sa mère et emmène de force sa fille Lallie dans ce périple un peu fou.

Ce voyage va lui apporté bien plus que ce qu'elle aurait pu s'imaginer et nous allons découvrir Megg, la femme, celle qui revit, qui reprend vie petit à petit.

C'est un beau coup de coeur pour moi, cette histoire restera ancrée en moi un moment et elle m'a apporté beaucoup, un grand merci #careneponte !
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Megg est femme au foyer et maman de 2 enfants. La charge mentale ça la connaît. Il faut dire que son mari, Stéphane, travaille beaucoup et se repose beaucoup sur elle pour la maison et les enfants. Sa fille, quant à elle, est une ado en crise. Elle ne lui parle plus et l'ignore autant que faire se peut. Heureusement, son petit garçon n'est pas arrivé à l'âge ingrat.
Il y a six mois, Megg a perdu sa maman suite à un infarctus. Elle se décide finalement, avec l'aide de Romy, sa voisine, à vider la maison de ses parents.
Elle y découvrira alors un cliché qui pourrait bien bouleverser le cours de son existence.

Quelle lecture estivale parfaite! L'histoire me transporte instantanément. C'est frais, léger et pétillant.

J'ai découvert l'auteure grâce à ses comédies de Noël. J'avais adoré son écriture fluide, délicate et avec une note d'humour. Et je suis donc heureuse de me plonger dans son dernier roman.

Le récit me plaît. Les personnages sont attachants et il est plaisant d'évoluer avec eux. J'ai un petit coup de coeur pour la pétillante et originale Romy.

Et si ce roman a une allure bien légère, il traite néanmoins de problématiques quotidiennes que beaucoup rencontrent ; la charge mentale des femmes, les relations parents-ados, le handicap...
L'auteure a le don de mettre tout cela en avant avec beaucoup de finesse.

J'ai passé un merveilleux moment et un agréable voyage avec cette lecture que je vous conseille.

Tout d'abord, je remercie NetGalley France et les éditions Fleuve pour leur confiance dans la découverte de ce roman de Carène Ponte. Pour moi, lire un roman de Carène Ponte, c'est l'assurance d'un très joli moment de lecture et ce dernier roman n'y a pas échappé ! L'auteure nous captive tout en jouant avec nos émotions et nous faisant rire tout en gardant une aura de mystère tout au long de son écrit. Les personnages sont tous attachants, avec un coup de coeur pour la pétillance de Romy ! Avec sa plume fluide, l'auteure traite avec une légèreté incroyable de sujets plus ou moins forts et tellement actuels. Ce roman ne se lit pas, il se dévore ! Merci Carène !

Quel plaisir de se perdre dans les lignes de Carène Ponte et celui là est un coup de coeur.

Megg, mère de 2 enfants au foyer, perdue dans les tâches domestiques jusqu'à tenir un carnet de listes et de tâches à faire ou à ne pas oublier.
Au bord de la dépression et aidé de sa voisine, Romy, elle va faire la découverte d'une pellicule de photos dans le grenier de la maison familiale.

De là, commence l'histoire d'un départ en voiture vers la Bulgarie.
Accompagnée de sa voisine, l'excentrique et
pimpante, Romy, fan de jeux télévisés et de son aîné, Lalie, en pleine crise d'adolescence.

Le but du voyage est de retrouver la personne qui lui permettra de répondre aux questions qu'elle se pose sur les photos développées montrant, sa maman enlacée par un autre homme, que son père.

J'ai aussi adoré les dialogues de son fils, «son canard »

Merci pour ce roman qui permet à nous, lectrice, de nous évader et de lire avec un grand plaisir !
Merci Carène !

Un roman feel-good pour passer un bon moment de détente. Megg est une femme au foyer en plein doute. Comment sa vie a-t-elle pu prendre ce tournant ? Face à une ado qui la méprise et un mari très éloigné des tâches ménagères, elle se remet en question suite au décès de sa maman et la découverte d'un secret de famille. Elle part alors dans un road-movie accompagnée de sa voisine déjantée, Romy et de sa fille, elle va se retrouver. le voyage européen est rafraichissant et on s'y croirait. L'écriture est fluide, les personnages sympathiques et on tourne les pages très rapidement. J'ai aussi beaucoup apprécié la couverture ! #Lalumièreétaitsiparfaite #NetGalleyFrance

nous sommes en compagnie de Megg. Une mère de famille qui a laissé de côté sa carrière pour devenir la parfaite Bree van de Kamp. Son mari Stéphane est très pris par son boulot. Son fils Malone est un petit gars très enjoué et sa fille, Lalie, une ado au comble de l'insolence. On le sent venir gros comme une maison. Megg n'en peut plus de cette vie mais se met une pression monstrueuse pour garder le cap. J'ai eu envie de lui dire plus d'une fois : « Plaque donc tout et pars prendre l'air quelques jours et laisse donc à ton ingrat de mari les enfants, la maison et tutti quanti »

Et c'est justement ce qu'elle fait avec Romy une voisine déjantée qui l'embarque en Bulgarie pour tenter de retrouver l'amant mystère de la mère de Megg décédée il y a un an

Escapade parfaite pour voir du pays, laisser tomber ses listes et pourquoi pas retrouver un peu de sa féminité

J'ai eu envie de chanter « quand on partait sur les chemins quand on partait de bon matin ... À bicyclette ... » en lisant ce roman, de suivre ce joli trio, frais, décapant pour voir où le vent les emmène

Au delà de cette fraîcheur estivale qui enveloppe le roman, Carène Ponte interroge le fameux statut de la femme au foyer qui pour beaucoup disons-le « n'a rien à faire de ses journées et se prélasse sur le canapé une fois les enfants à l'école », le rôle de mère et d'épouse qui passent souvent bien avant le plus important : rester en phase avec soi-même. Elle interroge également le souvenir laissé par une défunte. Que faire quand on découvre un secret post mortem ? Comment vivre avec cette part cachée de l'autre sans pouvoir lui poser des questions et lui demander pourquoi ?

Megg est femme au foyer, toute sa vie tourne autour de ses enfants et l'entretien de la maison familiale pendant que Stéphane, son mari, est au travail. Elle se sacrifie au quotidien pour eux, même un peu trop. Un après-midi, accompagnée de son amie Romy, elle doit se résigner à vider le grenier de sa mère décédée six mois auparavant d'un infarctus. Beaucoup de souvenirs surgissent et les émotions se présentent à la pelle. Au fond d'un carton, elle découvre pourtant une pellicule qu'elle se presse d'aller développer sous l'impatience de Romy. le choc est brutal, les deux femmes découvrent un secret improbable sur ces photos. Mettre en lumière ce passé bouleversant, c'est décider de prendre une voiture et traverser l'Europe pour le comprendre coûte que coûte, au dépit du reste.

N'étant pas adepte du genre littéraire feel good ou de comédies romantiques, je n'avais jamais lu les romans de Carène Ponte. C'est donc le regard et l'avis innocent que je me suis plongée dans ce neuvième roman de l'auteure. Et quelle intrigue ! Je suis bien certaine d'une chose après cette lecture, c'est que je ne me suis absolument pas ennuyée. La trame et l'organisation narrative sont très bonnes et ne laissent pas spécialement apparaître de longueurs dans le texte. Pour un roadtrip, c'est un point fort qui garde le lecteur attentif aux différentes étapes du voyage.

Les personnages quant à eux sont un peu plus problématiques pour moi. S'ils sont loin de d'être identiques dans leur façon de penser ou d'agir, ils manquent un peu trop de profondeur. Megg et Romy, que l'on peut caractériser de personnages principaux, sont totalement opposées. L'une est sensible, fragile, parfois soumise, et l'autre est forte, indépendante et volubile. Pourtant, nous ne savons en réalité que peu de choses sur leur profondeur d'esprit, leur réflexion interne. Rien ne sublime réellement leurs failles ou leurs retranchements afin de ne pas faire d'elles quelques fois des clichés.

Un sentiment que j'ai également pu ressentir à propos du cadre spatial. J'apprécie énormément l'idée d'un voyage à travers l'Europe pour en découvrir davantage sur l'essence même des photos retrouvées, c'est beau et insensé à la fois. Mais l'Italie, la Croatie, la Serbie, ou la Bulgarie sont des pays magnifiques, j'aurais aimé y être à travers les détails et l'écriture, ressentir les impressions, les odeurs, la culture et les traditions. En somme, quelque chose de plus pittoresque que les chambres des hôtels, le bruit de la mer, ou les boutiques de vêtements. Cela aurait égayé mes émotions et bien sûr une meilleure visualisation des lieux.

La lumière était si parfaite n'en reste pas moins un roman léger et grave à la fois où se confrontent les rêves d'une femme et la réalité dont elle peine à se sortir entre l'esprit versatile de sa fille en pleine adolescence et les tâches ménagères qui n'en finissent plus. Solaire, ce roman met en lumière l'idée selon laquelle notre présent ne détermine en rien notre futur si l'on prend conscience que l'on souhaite plus que tout être heureux. Un agréable moment de lecture !
Lien : https://troublebibliomane.fr..